Les Morsures du passé

Quand on est parent, on fait ce qu'on peut. On aime au-delà du raisonnable. On se bat au-delà du supportable. On espère au-delà du désespoir.

Quand on est parent, on fait ce qu’on peut, on aime au-delà du raisonnable. On se bat au-delà du supportable. On espère au-delà du désespoir.

- Comment guérissez-vous les gens ?
- Le principe est de devenir réceptif aux énergies. Je me mets dans un état de conscience supérieur et je m'ouvre au négatif. Je ressens les traumatisme ou la maladie comme des blocs de glace, comme si un glacier avait pris racine au centre d'une personne. Je rassemble toutes les énergies positives qui est en moi et autour de moi pour la diriger vers mes mains. Ensuite je pose les mains sur cette personne et je laisse l'énergie positive consumer le négatif. Les gens me disent qu'ils le ressentent : une chaleur intense, qui part d'un point et irradie dans tout leur corps. Bien sûr, je travaille aussi avec mes clients pour qu'ils accumulent leur propre énergie positive. Qu'ils se protègent du négatif. Qu'ils tirent parti de la lumière qui les entoure. Tout le monde, dans une certaine mesure, peut apprendre à se guérir et à se maintenir en bonne santé. C'est juste que certains y sont plus aptes naturellement.

Je fait vivre avec plus de lumière dans mon cœur. Je vais continuer mon travail auprès d'enfants en
difficulté. Et je vais tomber amoureuse d'un homme vraiment bien. Je suis la seule survivante, et voilà ce que j'avais pour mission de raconter.

Il se passe quelque chose de terrible. Quelqu'un s'en prend à nos enfants. Il faut que tu parles. Comment tu connaissais Evan ?

En guise de suspects, elle avait le choix entre un père de famille d'une cinquantaine d'années et son fils
psychotique de neuf ans. Le père avait davantage la carrure physique. Le fils d'avantages le profil psychologique.

Réfléchissez un peu à la psychologie des familicides : pourquoi tuent-ils

" Tout à l'heure... Je me trompais, dit D. D.
- Oui ?
- Il y a des jours où j'ai besoin qu'un homme s'occupe de moi."

" Je suis bonne dans mon métier".
C'était important pour elle qu'il le sache.
" J'avais remarqué.
- Je n'ai pas besoin qu'un homme règle mes problèmes. Je n'ai pas besoin qu'un homme me sauve.
- J'avais remarqué."

- Il nous faut plus d'information. Je sais : et si on enquêtait ? En voilà une idée qui est bonne !