La solitude où ils se trouvaient lui parut, tout à coup, plus dangereuse que celle de Lake Louise, plus oppressante et plus farouche. Une nuée cuivrée, chargée d’orage, passait juste au-dessus de la petite clairière, l’emplissait d’ombre, ternissait les herbes. Un peu penchée, le visage altéré, elle regarda de nouveau le chemin.