" Oui je l'aime. Malgré ses erreurs, ses secrets, ses mensonges, son passé et malgré lui aussi. Ce n'est pas l'homme bon et parfait que j'imaginais, l'étoile brillante qui illumine le ciel de Boston"
Il y a quelque chose de... déconnecté, chez moi. Une sorte de fusible, peut-être celui de la tempérance, qui a grillé avant ma naissance. Je ne sais pas comment l’expliquer : soit je ressens trop, soit je ne ressens rien. Je n’ai pas de juste milieu, d’entre-deux confortable, et c’est épuisant émotionnellement que de passer sans cesse d’un extrême à l’autre.
Il n’y a rien a bâtir sur un bonheur brise, à part les ruines de ce que l’on aurait pu être si l’on avait fait l’effort de mettre nos cœurs en danger
Elle est tout pour moi. Le soleil et la lune de mon ciel. L’ombre et la lumière de ma vie. Mon début et ma fin.
« 𝓞𝓷 𝓼’𝓮𝓼𝓽 𝓹𝓻𝓸𝓶𝓲𝓼 𝓭’ê𝓽𝓻𝓮 𝓪𝓶𝓲𝓼 𝓹𝓸𝓾𝓻 𝓵𝓪 𝓿𝓲𝓮, 𝓮𝓽 𝓶𝓪 𝓿𝓲𝓮 𝓷’𝓮𝓼𝓽 𝓺𝓾’𝓾𝓷𝓮 𝓶𝓸𝓻𝓽 𝓼𝓪𝓷𝓼 𝓯𝓲𝓷 𝓼𝓲 𝓽𝓾 𝓷’𝓮𝓼 𝓹𝓵𝓾𝓼 𝓵à 𝓹𝓸𝓾𝓻 𝓯𝓪𝓲𝓻𝓮 𝓫𝓪𝓽𝓽𝓻𝓮 𝓶𝓸𝓷 𝓬œ𝓾𝓻. »
Gabriel est surtout un fervent pêcheur - de la gourmandise à la luxure, en passant par l'envie, il excelle dans l'art de sustenter tous ses plaisirs coupables.
Que la santa muerte vous protège.
Donne-moi tes mensonges, Gabriel. Et étouffe-toi avec mes vérités.
La bonne vieille Gaby avec laquelle il s’envoie en l’air quand il n’a pas envie de faire d’effort pour se trouver une nouvelle conquête ou qu’il a la flemme de se raser le torse et les couilles. Je ressemble un peu à ce pantalon trop grand et hyper confortable que l’on a tous dans notre penderie et que l’on enfile à la va-vite quand on est en retard et que la lessive n’est pas faite. Pratique et familier, mais plus trop à la mode. Ce n’est pas notre pantalon préféré, mais c’est celui dans lequel on se sent le mieux pour affronter une journée de galères.
Lui n’était pas vierge, mais ça n’avait pas d’importance pour moi ; c’était un service qu’il me rendait. Ça n’avait rien de romantique.
J’étais intriguée, et il avait un pénis.
Deux plus deux rendent le quatre inévitable. C’est mathématique.