N’oublie pas : la vie n’a jamais dit son dernier mot… Confiance et foi. Ne baisse jamais les bras : on est souvent, sans le savoir, à deux doigts du miracle.
Et si le secret du Grand Amour,
c'était de savoir tendre à l'autre le miroir
de ce qu'il porte en lui de plus beau ?
"la grande affaire des gens, c'est "depuis combien de temps vous êtes ensemble" Comme si l'exploit se mesurait en nombre d'années. La seule arithmétique valable en sentiments, c'est le nombre d'étoiles que vous accrochez dans les yeux de l'autre".
"l'homme garde toujours en lui ses instincts de chasseur. Même s'il aime la quiétude et la sécurité du foyer, il est parfois bon de lui rappeler qu'il ne doit jamais se sentir en territoire conquis. L'homme préhistorique se battait pour le feu. Aujourdh'ui le feu a changé de nature. Personne ne veut voir s'éteindre le feu de son grand amour. Mais beaucoup oublient avec le temps , combien cette précieuse flamme demande de soins, d'efforts, de prévenance et de créativité......
"tout ça m'a fait penser à l'usure des histoires d'amour, qui finissent comme des chewings gum trop mâchés : sans plus aucun goût. Beaucoup d'histoires sont d'ailleurs tout simplement jetées à la poubelle.....Il suffirait d'un peu d'efforts, d'y croire encore, pour donner une deuxième vie à sa relation....et m...à la fatalité, au temps qui passe, à l'usure, à l'habitude;
capacité au bonheur : capacité à faire son miel des jolies choses de l'existence + capacité de résistance aux aléas et aux frustrations de cette même existence.
Le véritable amour débute après l'étape de la déception.
On s'est cherché. On s'est plu. On s'est porté aux nues. Et puis, enfin, on s'est déçu... Et c'est tant mieux.
Car, quelle plus grande pression que de devoir se montrer éternellement sous on jour le plus flatteur ?
La déception est l'épreuve du feu. Ça passe ou ça casse. Le jeune amour y résistera-t-il ?
La peur, c'est comme la douleur, plus on se crispe, plus ça fait mal. L'accueillir comme appartenant à un processus de transformation permet peut-être d'en atténuer les effets...
Tant que l’on ne s’est pas trouvé soi-même, il est difficile de bien aimer l’autre.
REGLE DU JEU DE L’AMOUR : ACCEPTER QUE L’AUTRE EST UN AUTRE (page 210)
Quel est donc le secret pour s'en sortir ?
La communication, d'abord. La souplesse, ensuite.
Cerner les besoins de l'autre, les laisser s'exprimer, même en dehors de la relation s'il le faut. Laisser à l'autre son espace de liberté, la possibilité de s'appartenir.
Le serment de fidélité proclamé dans les mariages devient vite le serment d'Hypocrite.