_Malheureusement,l'érotisme féminin est plus mystérieux qu'un temple inca,et rares les vrais explorateurs,dis-je.
On s'est cherché. On s'est plu. On s'est porté aux nues. Et puis, enfin, on s'est déçu... Et c'est tant mieux.
Car, qu'elle plus grande pression que de devoir se montrer éternellement sous son jour le plus flatteur ?
Prendre le risque d'aimer, c'est courir celui de souffrir. Mais aussi se donner la chance d'être heureuse.
Ceux ne sont pas les rides qui font fuir les hommes, c'est le dessèchement du cœur.
La manière dont on dit les choses compte autant que ce qu'on dit.
... à des projets d'artistes qui cardraient mal avec l'idée que ses parents se fesaient d'une vie comme il faut. Études, carrière, mariage, enfants... La normalité. Quel vilain mot.
(Page 33 )
Car, oui, on est locataire de tout.
La vie donne, la vie reprend.
(Page 317)
Prendre conscience de son Cupidon noir me semble une étape indispensable. Comment apaiser cette partie de nous qui souffre ? Sûrement pas en la jugeant mais déjà en la regardant avec tendresse et compassion.
Et moi, quel serait mon profil de Cupidon noir ? Je me trouve un peu bizarre : j'ai l'impression d'être tout et son contraire.
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La vie est un risque. Je suis consciente d'en prendre un en tentant cette expérience, mais ne pas la tenter, c'est renier une partie de ce que je suis.
Les enfants ne connaissent qu'un temps. Celui de l'instant présent.