Le spleen du pop-corn qui voulait exploser de joie

La peur qui érige des freins, des résistances au changement. Souvent, elle truque ta vision de la situation, c'est la championne de la renégociation. Elle te fait croire que ce que tu as n'est déjà pas si mal, elle met un voile entre toi et tes aspirations profondes, parce que même si ta situation actuelle n'est pas idéale, tu la connais par coeur, donc elle semble plus rassurante, plus facile à gérer que l'inconnu...

Quand on fait du popcorn, en fin de cuisson, il y a toujours quelques grains de maïs qui ne se sont pas transformés, qui sont restés tout dur et immangeables. Peut-être que c’est ça, le sort qui m’attend ? Peut-être que l’amour ne voulait pas de moi, et le bonheur non plus ?

De pression à dépression, il n’y a qu’un coup de dés.

Suis ton intuition, et surtout, là où il y a de la peur, mets de la confiance.

N'importe qui aurait perçu ma panique mais, chez eux, les capteurs enpathiques ont dû tomber en panne il y a bien longtemps.

Le marchand de sable a bien changé. Autrefois, le soir venu, il jetait gentiment dans les yeux des bambins des grains de sable magique pour les endormir. Aujourd’hui, il sonne à leur porte tous les matins, et leur livre des gros sacs d’enquiquinements de cinq, dix, quinze kilos jusqu’à leur en mettre plein le dos. Ils ont beau expliquer qu’ils n’ont pas demandé à participer à Koh-Lanta, il s’en moque bien, le marchand de stress, il est déjà parti sonner chez le voisin. Ils rêvaient d’être des Petit Prince, mais se retrouvent bien plus souvent cloués au sol que la tête dans les étoiles.

Si il existe des silences pesants, il existe aussi certains jours de chance, de beaux, vrais silences heureux...

De même qu'on ne se voit pas prendre du poids , on ne se voit pas devenir triste.

Ce que vous paraissez devient plus important que ce que vous êtes.

Quand une situation bloque, il faut ouvrir d’autres tiroirs.