Quelle déception, d'abord très enthousiaste lors de la première partie, j'ai ensuite eu des difficultés à terminer ce livre très particulier.
Un mélange entre l'histoire contemporaine et l'histoire personnelle de l'auteur, jalonnée d'autres histoires parallèles mais toujours reliées à l'auteur.
Je n'ai toujours pas compris l'intention de l'auteur, j'ai dû passer totalement à côté, un tourbillon d'éléments que je n'ai pas su ordonner. Les informations surgissent dans une phase critique de l'auteur, en difficulté dans sa vie de couple.
De la conférence des Nations unies pour l'urgence climatique à laquelle
Paolo Giordani assiste quelques jours après les attentats de novembre 2015, à la rencontre du prêtre Karol qui entretient une relation avec une femme qu'il croit être celle de sa vie, à l'écriture d'un livre sur la bombe atomique ou encore à la jungle de Calais. Sans oublier le séjour en Guadeloupe ou encore les passages à Trieste, pour les cours à dispenser. Et la Tasmanie me direz-vous ? Eh bien, il ne s'y rend pas, le pays est simplement identifié par Novelli comme le refuge idéal en cas de catastrophe climatique.
J'avais adoré
la Solitude des nombres premiers mais cette fois, je dois avouer m'être totalement perdue au milieu de ces nuages sombres et inattendus. Une lecture laborieuse car très ennuyeuse. Si je n'étais pas engagée à l'écriture d'une critique auprès de Babelio (que je remercie pour l''envoi, ainsi que la maison d'édition), j'aurai très certainement stoppé ma lecture afin la fin.