Vénéneuses

Ce 4e tome était vraiment de trop. Je crois que cette histoire de jeunes filles immatures, superficielles et irréfléchies n'était franchement pas assez intéressante ni assez profonde pour mériter autant de pages. D'une banalité et d'une inutilité extrêmes!

Les intrigues restent dans la même trame que les tomes précédents. Les personnages n'ont pas tellement gagné en maturité, à part peut-être Henry Schoonmaker dont la vie n'est pas des plus faciles. Se déroulant dans le Manhattan des années 1900, ce récit se veut sans doute historique, mais tombe plutôt dans le "potinage" et l'anecdotique comme Gossip Girl.

Le point final de cette représentation arrive, le rideau se fermera bientôt la vie de ses personnages.
Si l'amour reste toujours aussi fort entre Henri et Diana, Penelope se prend au jeu dans une aventure amoureuse lorsque Caroline réalise son rêve de devenir favorite la société new-yorkaise. Seule, Elisabeth se bat pour 2 et tente de garder la face dans un mariage qui n'a pas fini de révéler de sombres secrets du passé de sa famille.
Le venin du début est de retour, pour terminer son tour.