C'est la seconde fois que ça "me fait le coup" avec
Almuneda Grandès: je l'adore en espagnol et, en français, pshit... Est-ce sa traductrice qui est nulle ou, est-ce ma mauvaise maîtrise de l'espagnol qui crée une illusion de qualité ? Bref, jusqu'à la page 146 (après j'ai abandonné)
Almuneda Grandès essaye d'écrire comme
Jaume Cabré: avec de fréquent aller-retour entre le passé et le présent mais, ce qui donne le vertige chez Cabré donne la nausée chez Grandès. Je n'y comprends rien et n'éprouve aucune empathie pour les personnages. On y trouve pèle-mêle , un mauvais danseur de flamenco homosexuel, une brave fille inintéressante, un aristocrate qui joue les anarchistes pour s'encanailler, des prisonniers politiques et, pourtant, qu'est-ce que c'est plat ! Bref, j'arrête de perdre mon temps.