Méto, tome 2 : L'île

Il s'est rendu compte que la peur du danger est parfois plus douloureuse que le danger lui-même.  (p.12)

Je sens que des larmes voudraient couler de mes yeux scellés. Mais ici, je n'ai même pas le droit de pleurer.

- Ce qui m'a sauvé, ce sont les livres. J'apprends et je m'ouvre l'esprit en les lisant chaque jour. Certains permettent même de vivre d'autres vies le temps de leur lecture.

Dans ce second tome, Yves Grevet nous offre une horrible mise en abime : La Maison (lieu dur, cruel), autour de laquelle vivent les Oreilles Coupées (peuple cruel qui tire ses origines de la Maison, ils sont bien plus cruels que ceux qui faisaient régner l’ordre dans la Maison) tout ce petit monde complètement déréglé étant abrité

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On m'enfonce une aiguille dans lee bras , puis une autre près de ma plaie . Je sens que des larmes voudraient couler de mes yeux scellés . Mais , ici , je n'ai même pas le droit de pleurer . ( p. 19 )

- Ce qui m'a sauvé, ce sont les livres. J'apprends et je m'ouvre l'esprit en les lisant chaque jour. Certains permettent même de vivre d'autres vies le temps de leur lecture.

Déjà trois semaines que j'ai visité une partie interdite de la maison. Le souvenir de mes découvertes me hante.

Jove est le mâle qui a fécondé une femelle

J'occupe mon esprit en me remémorant les "souvenirs d'avant" des autres.

Comment peut-il envisager une telle existence, uniquement centrée sur la lutte pour gagner ou conserver un peu de pouvoir ? Cela ne peut pas constituer une vie.