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Méto - Roman (Grevet) tome 1 sur 4
EAN : 9782748506884
246 pages
Syros (02/04/2008)
4.08/5   901 notes
Résumé :
Soixante-quatre enfants vivent coupés du monde, dans une grande maison. Chacun d'eux sait qu'il devra en partir lorsqu'il aura trop grandi. Mais qu'y a-t-il après la Maison ?
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Critiques, Analyses et Avis (162) Voir plus Ajouter une critique
4,08

sur 901 notes
Mes incursions en littérature jeunesse sont plutôt rares mais il se trouve que ce titre m'attirait pour au moins deux raisons.
Pour commencer une couverture sympathique et intrigante, ensuite un résumé évoquant un contexte prometteur et lui aussi intrigant, et quand cela m'intrigue, cela m'intéresse aussi.
L'auteur nous propose un scénario qui fait un peu penser à "1984" avec un contexte disciplinaire de type carcéral et une ambiance délétère pleine de mystères.
Les pensionnaires de la maison sont au nombre de 64, exclusivement des garçons, il sont divisés en quatre tranches d'âges qui se distinguent à leurs couleurs, bleu clair pour les plus jeunes (8-10 ans), bleu foncé, violet et rouge pour les plus âgés.
Des garçons dont les plus anciens souvenirs ne remontent pas plus loin que le premier jour de leur incorporation. Les journées sont rythmées par un programme immuable du lever au coucher, activités sportives éreintantes et souvent violentes, mais aussi une instruction scolaire "classique" sous la férule impitoyable des "Césars".
Les punitions sont fréquentes, dures et parfois dangereuses, voire léthales.
Ce qui va très vite se révéler captivant c'est évidemment de comprendre le fonctionnement et les us et coutumes de la "maison".
Mais ce qui va être essentiel dans cette intrigue sera d'essayer de comprendre à travers le questionnement de Méto et de quelques uns pourquoi ils sont là, que peuvent bien devenir ceux qui atteignent l'âge limite et qui disparaissent tous un jour mystérieusement. Question obsédante pour Méto qui est "rouge" et qui se sent de plus en plus en sursis...
Un premier tome palpitant au suspense assez prenant, on oublie aisément le classement en littérature "pour ados", le style est agréable et le rythme idéal, c'est indéniablement une bonne pioche !
Reste deux tomes à lire, je suis confiant pour la suite.
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WOUA! J'ai ce livre depuis longtemps dans ma bibliothèque et je ne me décidais pas à le lire. J'avais tort!
Méto, c'est l'histoire de 64 garçons qui vivent isolés dans une maison. Ils sont regroupés par tranche d'âge, chacune correspondant à une couleur. Aucune liberté, l'emploi du temps de la journée est minuté. Même les secondes entre chaque bouchée lors des repas doivent être comptées, sous peine de sanction.
Les chefs sont appelés César. Un clin d'oeil ici à l'Antiquité romaine puisque tous les enfants, hormis Méto, ont des noms en "us": Claudius, Marcus, Titus...qui ne sont pas sans rappeler ceux des empereurs.
Plusieurs mystères planent au dessus de cette maison: qui sont ces enfants? Pourquoi sont-ils là? Que deviennent ceux qui du jour au lendemain disparaissent de la maison?
Beaucoup d'interrogations auxquelles ni le lecteur, ni les enfants eux-mêmes n'ont de réponses.
Yves Grevet dresse ici une intrigue époustouflante, au rythme haletant. Les pages se tournent toute seule à une rapidité que l'on voudrait parfois réfréner pour ne pas finir trop vite!
Mais que l'on se console, 2 autres volumes suivent.
D'ailleurs, j'ai déjà le numéro 2 entre les mains!
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Méto est un jeune garçon à l'âge incertain. Depuis 4 ans, il vit dans la Maison, avec soixante-trois autres enfants. Répartis par classes d'âge (les Bleu clair, les Bleu foncé, les Violet et les Rouge), les enfants sont soumis à des règles très stirctes. Leur vie est entièrement cadrée jusqu'à ce qu'ils "craquent". Lorsqu'ils deviennent trop grands, leur lit craque, et ils disparaissent. C'est donc, pour tous, la hantise de grandir, car sans souvenir de leur passé, ne connaissant du monde que la grande maison, et les cruels César qui les encadrent, ils pensent tous avoir beaucoup de chance de vivre ensembles. Mais Méto se pose beaucoup de question. Il est rouge, et la fin de la cohabitation est proche pour lui. Que va-t-il devenir? Quel monde existe-t-il en dehors de la Maison? N'existe-t-il pas un monde meilleur quelque part loin de cette île volcanique?
Yves Grevet crée un univers avec ses règles, ses jeux (l'Inche, un sport étrange et ultra violent), ses lois. Méto apprend à penser par lui-même dans un univers qui cherche à tous prix à former des esprits.


J'ai aimé: l'univers, l'ambiance, les recherches, le suspens, les mystères. Il s'agit là d'un bon roman d'initiation d'un adolescent dans un monde répressif.


J'ai moins aimé: l'écriture. J'ai eu du mal à rentrer dans le roman. le style d'Yves Grevet est assez haché, les phrases sont courtes. Mais je m'y suis finallement faite, et j'ai même fini par oublier ce petit désagrément au cours de la lecture.


Un roman qui annonce une délicieuse trilogie, que je conseillerai majoritairement pour les garçons.
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Voici un roman d'aventure comme j'aurai aimé en lire dans ma jeunesse. Mais ce n'est pas grave, car je me rattrape bien aujourd'hui. je ne peux que conseiller ce roman aux jeunes et aux moins jeunes, le contexte est tout d'abord très intrigant, de nombreuses questions ne effleurent l'esprit.

A la fin du roman, tout n'est pas éclairci, loin de là, puisqu'il faut lire les deux tomes suivants pour que les mystères trouvent leur solution, je pense.
J'ai trouvé le personnage de Meto attachant, il est juste, sensible, courageux. Il souhaite retrouver ses souvenirs, des images de ses souvenirs et de ceux de ses camarades lui permettent de garder espoir.
Mais qui sont donc ces "Césars", et d'ou viennent tous ces enfants?

A suivre...
Lien : http://livresque78.over-blog..
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Méto est une saga jeunesse/ado qui a fait assez parler d'elle et plus particulièrement en ce moment, puisque le premier opus a eu le droit à son adaptation BD. Je connaissais les grandes lignes : l'histoire se déroule dans un huis clos exclusivement masculin. Isolés et endoctrinés, ils vivent en suivant des règles strictes, ont intérêt à obéir sous peine de punitions douloureuses et n'ont aucune liberté. Les semaines se ressemblent toutes, mais le pire est à venir, puisqu'une fois considérés comme trop grands, les pensionnaires disparaissent mystérieusement… C'est intriguée que j'ai découvert « la Maison », cet étrange endroit rempli de secrets dirigé par les Césars, des adultes froids, autoritaires, dictateurs, sévères, inflexibles et tyranniques. À côté d'eux, une maîtresse d'antan punissant les élèves à coups de règle en fer sur les doigts ressemble à un enfant de choeur… Ici, tout fait tellement froid dans le dos !

Répartis par des rubans de couleur correspondant à leur ancienneté, les enfants semblent être une sorte de légion que les Césars modulent à leur convenance… Ainsi, les pensionnaires doivent suivre des directives précises comme manger en même temps en laissant un laps de temps chronométré entre chaque bouchée, pratiquer du sport comme l'Inche (une discipline violente), suivre des cours, chanter, subir des piqûres, etc. Certaines choses leur sont interdites comme le fait de ne pas toucher aux lits, ne pas garder d'affaires de leur vie d'avant (qu'ils ont oublié), obéir sans bouger et sans prendre la parole sauf si on leur en donne l'ordre, ne pas regarder dehors puisqu'il n'y a aucune fenêtre ouverte dans la Maison. Ceux qui désobéissent ou se battent subissent des sévices collectifs ou sont envoyés dans le frigo où ils doivent survivre dans le froid parfois plusieurs jours… Et gare à ne pas s'endormir sous peine de perdre des doigts gelés par les basses températures ! Leur quotidien est véritablement réglé comme du papier à musique. Ainsi, les enfants n'ont vraiment pas le droit d'agir ou de parler comme bon leur semble. Ce qu'ils traversent est à la fois révoltant, intriguant et étrange. J'ai été assez perturbée par cette étrange ambiance qui avait tendance à devenir malsaine à cause des conditions ou des punitions inhumaines. Tout cela ne m'a pas laissée indifférente…

La narration est vue du côté de Méto, un adolescent franc, calme, observateur, patient, silencieux et attachant. le pauvre arrive bientôt en « fin de parcours », puisque d'après sa taille, il ne lui reste que trois à six mois avant de disparaître. Loin de paniquer, Méto a plutôt tendance à se poser des questions, à continuer à vivre et à essayer d'ouvrir les yeux sur l'endroit où il se trouve. J'ai beaucoup aimé son caractère posé et paisible en surface, mais en réalité bouillonnant. Il s'interroge énormément et va tenter d'éclaircir certains mystères de la Maison. Malheureusement pour lui, ces découvertes prennent énormément de temps. de plus, comme à chaque fois qu'un enfant trop grand n'est plus là, les Césars intègrent des petits que les plus âgés doivent prendre sous leur aile. Méto va être responsable du petit Crassus et va devoir veiller au grain pour que le bambin comprenne chaque règle et ne commette aucun écart ! En effet, si Crassus se comporte mal, c'est Méto qui payera à sa place… Cette situation renforce le climat de peur et ajoute un soupçon de tension déjà bien présente. J'ai trouvé le tandem intéressant. L'arrivée de Crassus va habilement permettre à l'auteur de montrer les nombreuses facettes de ce pensionnat lugubre. le lecteur va ainsi découvrir l'endroit en même temps que le jeune novice dont les réactions seront souvent les nôtres (effroi, peine, peur, malaise).

Le rythme du récit est d'abord assez lent, ce qui permet de bien saisir toutes les subtilités et le fonctionnement de la Maison. Cela permet également de découvrir les nombreux personnages… Et, à mon grand regret, il y en a beaucoup ! J'ai dû noter quelques noms sur une feuille, car j'étais perdue avec tous ces enfants dont le prénom antique se termine souvent par « us » (Marcus, Paulus, Claudius, Crassus). Il y a de quoi se perdre un peu, car les informations à assimiler sont nombreuses… Une fois que l'on commence à enfin cerner l'atmosphère de l'ouvrage, le suspense va commencer à s'accroître avec les actions et les découvertes de Méto. C'est le passage que j'ai préféré, car j'étais véritablement prise par les rebondissements qui en découlaient. En revanche, le dernier tiers ne m'a pas spécialement captivée… J'ai eu l'impression que le soufflet retombait et que les choses stagnaient un peu. Il faut dire qu'après une telle montée en puissance et la révolte grandissante due au soulèvement de certains protagonistes, je m'attendais à une confrontation plus musclée ou plus haletante… le dénouement incite le lecteur à se pencher sur la suite cependant, même si je suis intriguée, je n'en fais pas une priorité.

Plusieurs éléments restent plein de mystères. Nul doute que le second opus mettra en lumière quelques questions comme le monde (Est-ce le nôtre ? Un univers post-apocalyptique ou futuriste ? Une histoire se déroulant dans le passé ?), ce qu'il se passe hors de la Maison au cadre totalitariste ou la place des femmes. J'avoue que ce dernier élément m'a beaucoup perturbée. Après une cinquantaine de pages, je me questionnais déjà sur l'absence des demoiselles. Serait-on un mythe ou un sujet tabou dans ce monde d'hommes ? La fin de l'ouvrage apporte quelques réponses grâce à Méto qui va expliquer certaines choses aux plus jeunes. Cela dit, je pense que la suite mettra en avant un personnage féminin. La confrontation devrait être intéressante… Je remercie Mikasa qui m'a permis de découvrir ce premier tome déroutant, atypique, captivant et énigmatique !
Lien : https://lespagesquitournent...
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critiques presse (6)
Ricochet
27 février 2019
Frustration diabolique… On a hâte de connaître la suite soit en se précipitant sur le roman soit dans les autres volumes BD. Au choix, pour des plaisirs de lecture différents ou conjugués !
Lire la critique sur le site : Ricochet
Bedeo
21 septembre 2018
Bien servie par un dessin qui transcrit avec justesse une atmosphère cloisonnée et pour le moins étouffante, ce premier tome propose une histoire bien rythmée.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Sceneario
31 juillet 2018
Le scénario est vraiment très bien mené, avec une montée en puissance et une façon de nous entraîner dans le mystère qui nous prennent aux tripes. Graphiquement, c'est tout aussi bon. Un trait vraiment vif et expressif qui sert une narration extrêmement fluide et prenante !
Lire la critique sur le site : Sceneario
BDGest
29 juin 2018
Enfermé dans cette maison qui laisse suffisamment d'interrogations, l'esprit du lecteur est séquestré par un scénario réellement aguichant. En attendant impatiemment le second tome l'île, nul autre choix que d'abandonner le jeune héros à son triste sort : "Méto", boulot, dodo !
Lire la critique sur le site : BDGest
BDZoom
05 juin 2018
Une histoire envoûtante dont on ne décroche pas qui laisse entrevoir un futur carton en librairie. La parution du second volume est annoncée pour novembre, la conclusion en 2019.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Lecturejeune
01 septembre 2008
Lecture jeune, n°127 - Méto est un « rouge », il fait partie des plus grands des enfants vivant dans la « Maison ». On y arrive tout jeune – comme Crassus que Méto devra initier aux règles de la vie communautaire – et l’on en repart lorsque, trop grand, votre lit « craque ». Que s’est-il passé avant et qu’adviendra-t-il après que le lit ait craqué ? Nul ne le sait. Dans cet internat, le quotidien des enfants est chronométré et régi par des règles strictes : uniforme, ruban de couleur selon l’âge, piqûre de 10 heures, espace de cinquante secondes entre deux bouchées lors du repas, sport défouloir – l’« inche », un jeu de « chien » –, etc. Les jeunes sont encadrés par des surveillants tous nommés César : César 1, César 2, César 3… Un seul écart de conduite, et c’est la sanction – « claque tournante », « frigo »… Méto fait partie de ceux qui s’interrogent, observent et veulent en savoir plus. Peu à peu, il repère les mouchards et ceux qui comme lui remettent en cause l’ordre des choses et les strates de l’organisation totalitaire de la Maison. La lutte s’organise.
Yves Grevet décrit un univers carcéral coupé de tout, une microsociété aux règles propres, où s’exerce un contrôle absolu sur la vie et l’esprit de jeunes enfants. Il observe au plus près comment ces derniers créent, en réaction, leurs propres rituels et modes d’organisation sociale. Il montre surtout comment l’esprit humain ne se soumet pas et, épris de liberté, cherche à comprendre par lui-même. Le plus effrayant tient peut-être au fait qu’aucun élément contextuel ne permet de situer le récit : on peut y voir un scénario d’anticipation mais l’on peut aussi imaginer que tout cela a lieu aujourd’hui même. Un premier tome d’exposition intéressant, mais qui, de fait, manque un peu de souffle ; gageons que les événements s’accéléreront dans les tomes suivants.
Hélène Sagnet
Lire la critique sur le site : Lecturejeune
Citations et extraits (28) Voir plus Ajouter une citation
J'occupe mon esprit en me remémorant les "souvenirs d'avant" des autres.
Alors, Claudius? ah oui, je m'en souviens. Il parle d'un objet qu'il appelle "maman". Il ne sait plus exactement à quoi il ressemble. Mais ce mot ne le quitte pas. Ce dont il est sûr, c'est qu'il y a une relation entre cet objet et le moment du coucher, et aussi qu'il est chaud et doux. Il pense que c'est peut-être une autre façon de désigner un oreiller ou une couverture.
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J'occupe mon esprit en me remémorant les "souvenirs d'avant" des autres.
Alors, Claudius ? Ah oui, je me souviens. Il parle d'un objet qu'il appelle "maman". Il ne sait plus exactement à quoi il ressemble. Mais ce mot ne le quitte pas. Ce dont il est sûr, c'est qu'il y a une relation entre cet objet et le moment du coucher, et aussi il est chaud et doux. Il pense que c'est peut-être une autre façon de désigner un oreiller ou une couverture.
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J'occupe mon esprit en me remémorant les "souvenirs d'avant" des autres.
Alors, Claudius ? Ah oui, je me souviens. Il parle d'un objet qu'il appelle "maman". Il ne sait plus exactement à quoi il ressemble. Mais ce mot ne le quitte pas. Ce dont il est sûr, c'est qu'il y a une relation entre cet objet et le moment du coucher, et aussi qu'il est chaud et doux. Il pense que c'est peut-être une autre façon de désigner un oreiller ou une couverture.
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Un souvenir me revient à propos de tous ces mystères autour de notre avenir. Il y a plusieurs mois, après le sport du matin, une rumeur avait circulé. Il y avait quelque chose dans les toilettes. Une inscription à la craie derrière une porte. J'ai réussi à la lire juste avant qu'on ne l'efface :
"Je veux savoir d'où je viens et ce qu'on devient après. S'il vous plaît."
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Chaque enfant a regagné sa place et attend dans un silence parfait. César 1 commence:
- 1) Kaeso et Décimus se sont battus. Sanction: vingt-quatre heures de chambre froide. Application: immédiate. 2) Les "Rouges" sont intervenus trop tard. Sanction: une claque tournante. Application: à vingt heures ce soir dans le dortoir. Bon appétit.
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Vidéo de Yves Grevet
Dans le cadre du cycle Visiteurs du soir, le Centre national de la littérature pour la jeunesse (CNLJ) de la BnF propose des rencontres avec des professionnels du livre et de l'enfance. Auteurs, illustrateurs, éditeurs ou chercheurs viennent présenter leurs projets et partager leurs expériences.Cette séance invite le romancier jeunesse Yves Grevet, dont l'oeuvre foisonnante nous plonge dans les mondes de l'imaginaire. Rencontre enregistrée le 8 juin 2023 à la BnF I François-Mitterrand.
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