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Une nouvelle enquête pour le commissaire Jury et son ami Melrose Plant.
Le livre était dans ma bibliothèque depuis des années. Je pensais ne l'avoir pas encore lu, mais finalement deux ou trois détails précis me sont revenus en mémoire au cours de la lecture.
J'ai bien aimé l'ambiance qui règne dans le village natal de Shakespeare, même si celui-ci est le théâtre de plusieurs meurtres et d'une disparition d'enfant.
La résolution de l'intrigue est un peu tirée par les cheveux et parfois on se demande comment les policiers font pour résoudre des crimes sans avoir recours aux éléments de preuve, sans rien connaître des victimes, sans faire grand-chose d'ailleurs à part discuter avec les uns ou les autres un peu au hasard. La solution semble surgir de nulle part.
Cette petite enquête se lit avec plaisir même si visiblement je n'en avais pas gardé un souvenir bien vif la première fois !

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Il ne fait pas bon d'être un touriste américain à Stratford, et ce n'est pas Gwendoline Bracegirdle, massacrée dans une ruelle sombre à la sortie d'une représentation de Comme il vous plaira, qui dira le contraire.
Pendant ce temps, Richard Jury, qui n'est venu à Stratford que pour les beaux yeux de Jenny Kennington (Voir le roman précédent, le Collier Miraculeux) se retrouve à enquêter bien malgré lui sur la disparition d'un petit garçon américain. Il croisera la route de Melrose Plant, fuyant sa tante Agatha et les cousins de celle-ci. Américains.

Ça commence à faire beaucoup d'américains vous ne trouvez pas?

Le Vilain Petit Canard nous entraîne dans le monde de Shakespeare, rempli de trahison, de vengeance, de mort et d'amour. Un monde qui, comme vont le découvrir Jury et Plant, n'est pas si éloigné du notre finalement.
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Lors d'une visite à un ami policier, le commissaire Jury dut très vite se mettre sur la disparition d'un enfant. Un nommé Farraday venait de signaler la disparition de son fils de neuf ans, James Celui-ci fuguait assez souvent. Son ami, Lasko, demanda à Jury de s'occuper de cette affaire.
Jury alla voir la famille Farraday, en simple visite. Elle faisait un voyage organisé. Jimmy fugueur et indépendant s'était lié d'amitié avec Harvey, un dingue d'informatique et de Shakespeare. Penny, soeur de Jimmy, semblait très touchée par la disparition de son frère. Farraday était avec leur mère et comptait l'épouser, mais celle-ci était décédée d'une maladie. Penny était blessée dans son âme depuis le départ de leur mère. Jimmy adorait Shakespeare. Penny supplia Jury de retrouver son frère.
Jury commença à enquêter sur cette disparition. La visite de la maison de Shakespeare ne donna rien. James Carlton Farraday avait sûrement été kidnappé.
Jury fut sur un véritable meurtre, lorsqu'il apprit qu'une certaine Gwendolyn Bracegirdle, avait été sauvagement tuée. Cette femme avait la gorge tellement tranchée, qu'elle ne semblait plus appartenir à son corps. de plus, le meurtrier avait fini son crime en lui faisant une coupure importante entre de la gorge au pubis. Ils trouvèrent une sorte de message  sous forme de poème, près du corps.
Jury alla voir tous les membres de ce groupe dont Lady Dew et sa nièce. Cette femme détestait tout le monde du groupe. Un certain George Cholmondeley était très souvent avec Amélia-Blue. Jury était avec Lady Dew lorsqu'on lui annonça un nouveau meurtre. Honey-Belle, la fille d'Amelia-Blue était étendue à terre, baignant dans son sang. Elle avait la gorge décapité et avait une grande entaille de la gorge au pubis. A côté du corps, la police avait découvert un mot encore sous forme de poème.
Jury était retourné à Scotland Yard avec deux meurtres non élucidés. Apparemment ce ne serait pas le dernier meurtre, car les messages représentaient un poème qui n'était pas fini.
Entre temps James Carlton s'enfuyait de sa prison.
Seules les femmes et plus spécialement les Farraday étaient assassinées. Vengeance jalousie ? Jury eut peur pour Penny.
Un autre horrible meurtre survint. C'était Harvey , l'informaticien, qui était assis sur une chaise, le cerveau en charpie, les yeux crevés...
Jonathan Schoenberg, frère d'Harvey, était arrivé la veille pour rendre visite à son frère. Jury fut surpris que Jonathan n'éprouve pas plus de compassion envers son frère assassiné. Ce meurtre-là ne rentrait plus dans la théorie de Jury.
Jury interrogea Jonathan. Il semblait très mystérieux et mal à l'aise devant Jury. Il parla de son frère et de Nell, la mère de Penny et Jimmy. Mais quel rapport avec ces meurtres ? Plus l'interrogatoire durait plus Jonathan se vit pris au piège. Jury ne lâcherait pas. Cet homme devait s'expliquer, car il savait sûrement des choses sur tous ces meurtres et sûrement sur le kidnapping de Jimmy.
C'est le premier livre que je lis de Martha Grimes. J'ai pas mal lu de résumés de cet auteure, ce qui m'avait fait envie de lire un de ses livres. Je suis assez déçue de la lecture de celui-ci. Comme dit la couverture de fin de livre, ses romans ressemblant peut-être à ceux de Mary Higgins Clark, mais celui-ci comporte trop de personnages et d'inspecteurs. Ce qui donne un ensemble assez ambiguë et pas très structurée, avec beaucoup d'invraisemblances. Ceux de Mary Higgins Clark sont peut-être avec beaucoup de personnages, mais l'ensemble est plus structuré et plus plausible.
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Je me rappelle avoir commencé à lire cette série il y a une bonne vingtaine d'années.et l'avoir appréciée, sans poursuivre jusqu'au bout.
Alors j'ai décidé de remettre ça et de la reprendre depuis le début, mais ce livre-là... m'a ennuyée. Je l'ai trouvé caricatural, tant du point de vue des personnages que des événements. Comme si l'auteure avait absolument tenu à écrire un roman à énigmes britannique et avait utilisé tous les poncifs du genre ou presque.
Ceci dit, c'est lisible. Donc je relirai le prochain afin de savoir si je laisse tomber ou pas.
Un truc sympa : la marotte du pasteur concernant les noms pittoresques des pubs britanniques !
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Lecture difficile et avis mitigé pour ce livre que l'on m'a prêté et qui me confronte à l'univers de Martha Grimes pour la toute première fois.

J'ai trouvé le style parfois redondant, avec beaucoup de digressions au coeur de l'intrigue et qui ne la servent pas spécialement, ce qui m'a rebutée et a failli me faire abandonner la lecture. Malgré tout, je me suis accrochée et ai poursuivi le fil de cette enquête, narrée sur fond d'histoire Élisabéthaine, qui ne m'a pas fait palpiter et est retombée dès l'épilogue et la découverte du coupable comme un soufflé.
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Deuxième ouvrage de Martha Grimes que j'ai lu, après L'Enigme de Rackmoor. J'ai retrouvé avec plaisir les personnages du commissaire Jury et son ami Melrose Plant. Les personnages secondaires sont toujours aussi attachant, Wiggins et Agatha. Par contre je trouve l'intrigue cette fois-ci un peu fade, terne, sans grande surprise. Toutefois, je n'ai pas boudé mon plaisir car je reste très attaché aux personnages créés par Martha Grimes.
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Il y a des jours où il faut être héroïque pour terminer un livre !
Voilà le bel exemple de temps perdu dans une lecture insipide.
Ne commettez pas la même erreur que moi !
La vie est toujours trop courte pour un lecteur....
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En dehors du fait que ce livre était bien trop court (et non, je n'ai pas eu ma dose de Martha Grimes et en plus on n'a presque pas vu Agatha!) l'intrigue comme toujours était parfaite! Et dire que sans Melrose, Jury n'aurait peut-être jamais découvert l'assassin! On peut dire que c'était une sacrée vengeance mais les victimes les pauvres n'étaient pas coupables, ce qui s'est passé il y a plusieurs années n'est pas leur faute, elles ne savaient même rien d'ailleurs, à coup sûr! Je me demande si Penny et James découvriront la vérité un jour? Dans ce cas la chute risque d'être difficile, en particulier pour James!
Lien : http://labulleasylla.blogspo..
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Afin de parer aux sombres manoeuvres de sa tante Agatha, avide de lui imposer pour les vacances et, si possible, à Ardry End, toute une nichée de cousins américains répondant au nom poétique des "Randolph Bigget", Melrose Plant s'est offert une villégiature à Stratford-on-Avon, ville natale du Grand Will. Il s'y rend avec d'autant plus d'empressement qu'il compte y retrouver Richard Jury, à nouveau dépêché par Scotland Yard sur une nouvelle affaire. Malheureusement, c'est une affaire qui, il faut bien le dire, regorge de touristes américains.
La première victime, Gwendolyne Bracegirdle, a été retrouvée égorgée et éventrée dans l'une des rues paisibles de Stratford. Elle participait à un voyage organisé par la Compagnie du Chèvrefeuille, initialement basée à Atlanta et orientée vers les clients très, très riches. Et, pendant que Gwendolyne se faisait assassiner, le fils de James Farraday, autre membre de ce voyage, était kidnappé.
C'est d'ailleurs sur les instances de Farraday Père, convaincu qu'il n'existe que deux polices valables de par le monde, le FBI et Scotland Yard, que Jury s'est vu refiler l'affaire, au grand déplaisir de son éternel supérieur hiérarchique, le commissaire Racer. Mais, bien qu'il soit, comme d'habitude, assez content de jouer un mauvais tour à son chef, Jury se serait bien passé de pareille faveur. Enfin, heureusement, il a réussi à se faire adjoindre le sergent Wiggins et puis, bien sûr, il sait qu'il pourra compter sur l'aide de Melrose Plant ...
Avec le talent unique qui est le sien pour entrer en contact avec les protagonistes d'une affaire criminelle avant que Jury lui-même les ait interrogés, Plant a été le premier à faire connaissance avec les voyages du Chèvrefeuille, en la personne de Harvey L. Schoenberg - Harve pour les intimes - jeune célibataire littéralement obsédé par son bébé "Ishi" (= son ordinateur portable) et le livre qu'il prépare sur la mort de Cristopher Marlowe, relation de Shakespeare qui mourut assassiné dans une taverne à l'âge de 24 ans.
La théorie de Harvey, c'est que Shakespeare en personne, horriblement jaloux de Marlowe, a payé des sbires pour le tuer à coup de dague. Théorie qu'il étaye à grand renfort de citations élisabéthaines - manie qui énerve prodigieusement Melrose Plant, touché ici dans sa qualité même de concitoyen du Grand Will et profondément agacé toutes les fois que Harvey l'appelle : "Mel."
Quant au "Vilain Petit Canard", vous aurez deviné sans peine qu'il s'agit d'un énième pub, se dressant donc à Stratford et possédant la particularité d'une double enseigne : le Canard, c'est la partie bar mais le restaurant s'appelle "Le Cygne Noir."
Le moins que l'on puisse écrire, c'est que la ville shakespearienne par excellence ne portera bonheur ni aux Farraday (encore que ...) ni aux voyages du Chèvrefeuille.
Un roman allègre où des morts guère sympathiques s'effondrent dans un jeu de quilles sanglant et où l'assassin se révèle capable d'un amour aussi profond que les héros de Shakespeare. le tout parsemé de remarques pleines d'humour sur les tics des Américains en voyage. ;o)
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Une histoire policière agréable à lire, mais sans surprise. Les personnages, récurrents chez Martha Grimes, de Melrose Plant et du commissaire Jury sont forts sympathiques, ainsi que les seconds rôles, comme ici par exemple la tante Agatha. C'est davantage pour les retrouver dans une atmosphère bien british que pour l'intrigue en elle-même que l'on se plongera dans ce roman policier.
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