Quand on est gentil, on a tendance à se sentir responsable de ses propres malheurs.
On ne peut pas élever un garçon dans un cocon et ne jamais rien lui laisser faire.
C’était le genre de femme prodigue qui pense que si une chose c’est bien, deux c’est encore mieux.
Je ne crois pas qu’on résolve une affaire criminelle comme une charade.
C’est surtout une question de travail…
Certains lieux agissent comme des aimants.On ne peut les exorciser tant qu’on n’a pas vu leur aspect inoffensif.
L’ennui, c’est que dans une enquête, les petits détails apparemment sans
importance sont souvent les plus importants.
On ne juge pas quelqu’un deux fois pour le même crime. Il faut un fait nouveau, un fait capital. Certes, en théorie l’affaire peut être rouverte, mais ça n’arrive presque jamais dans la pratique.
Des preuves non concluantes ne peuvent être des preuves matérielles. Ce sont des preuves conjoncturelles. Je n’ai pas besoin de préciser que les preuves conjoncturelles ne sont pas concluantes…
Lorsqu’on s’attend à rencontrer un homme, on a besoin d’un temps d’adaptation.
La vie d’un policier est une suite de tragédies.