Oui, il faut savoir que Picasso est un grand armateur de femmes qui naguère niqua bien des conquêtes… Et quand t’es espagnol, souvent les conquises t’adorent. Je me dirige donc vers lui et demande à Pablo est-ce qu’au bar on peut discuter ? C’est à ce moment-là que son ex, Dora, triste, qui commence à en avoir Maar, me montre la sortie.
Aussitôt, René m’agrippe et me demande de ne piper mot car, quand elle se braque, Maar, faut pas trop la chauffer.
[Lady Di]
Ensuite arriva dans son dos, Dodi, dodu, mais très élégant dans son posthume trois-pièces acheté chez Harrod’s, l’équivalent pour nous des galeries AlFayed.
[à NY avec Strauss-Kahn ]
On finit quand même par échanger quelques réflexions, mieux vaut queutard que jamais, sur Big Apple et ses pépins, ses amis de trente ans qui lui ont tourné le dos, et les autres qui au contraire n’osent pas…
Il évoque enfin son Désir de revoir Harlem, seul homme, me dit-il, capable de permettre à la France d’avoir un jour un beur Président.
[Chez Steve Jobs]
... quand je lui demande si chez Microsoft tout est à jeter, l’inventeur du Mac-Pro-s’tâte, et finit par m’avouer que même s’il lui arrive de se réveiller en pleine nuit avec une forte envie de PC, à jamais, pour Steve, Mac wins.
… après cinq heures à courgetter, c’est comme poireauter mais avec une courgette…
… je pris la direction de Genève en métro, l’helvète underground, afin de rencontrer Jérôme Cahuzac en personne. Tellement en personne d’ailleurs, que c’est précisément personne qui est venu. Bien décidé à ne pas reculer, mais pas bien avancé non plus sur le cas Uzac, je décidai de m’éloigner du lac Léman. De ses berges et de ses barges, et de tourner l’alpage du roman de ce fisc caché.