Mon beau sapin, roi des enfoirés (que j'aime ton fessier)

Voici une mignonne romance de Noël.
Pour commencer, Jeremy et Fauve on été en couple plusieurs années. Mais le départ en tournée avec son groupe de musique de celui-ci a causé leur séparation. On se retrouve deux ans plus tard : Jeremy est de retour prêt à tout pour reconquérir sa belle, quitte à endosser le costume du père Noël dans la galerie marchande où Fauve travaille.
J'ai lu ce roman en une soirée, j'y ai passé un agréable moment de lecture. Les personnages sont attachants avec une touche d'immaturité. Les dialogues sont dynamiques avec une pointe d'humour. Cette romance sans prétention, est adaptée en cette période où les fêtes arrivent à grands pas.

Une histoire très drôle, dans le mood de Noël, c'est sans prise de tête même si les personnages ont début se crêpent un peu le chignon. Fauve et Jeremy se retrouvent après deux ans sans se voir suite à une séparation qui les a tous les deux ébranlés. Jeremy est très patient et persévérant avec Fauve, il fait tout pour la reconquérir alors que pendant un long moment Fauve fait un peu l'autruche car elle a trop peur de se faire briser le coeur une nouvelle fois. Les intrigues sont assez multiples, en plus de l'histoire entre Fauve et Jeremy, Fauve doit faire face à une crise au niveau du travail, elle ne trouve pas de boulot en tant qu'architecte, cependant, miracle, elle doit faire ses preuves. Elle devient très combattante, et c'est très plaisant de la voir évoluer, s'affirmer et être sûre d'elle.

La plume est prenante, fluide, très drôle et communicative. Bref pour une romance de Noël, sans trop de prise de tête, cette histoire est pas mal !

Bon, j'avoue avoir été au bout de cette lecture, mais il a fallu s'accrocher sérieusement.
Le résumé est tentant, mais je ne sais pas si c'est l' histoire, l'écriture, enfin, il y a eu une chose qui m'a empêché d'aimer et je suis très déçue de ce livre.
Finalement, aucune attache avec les personnages, aucun ressenti qui fasse frémir dans un sens ou un autre.
Bon, il en faut pour tous les goûts et là, ce n'était pas pour le mien.