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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
La chronique jubilatoire de Dany Flingueuse pour Collectif Polar
Le monde des fous est infini de Poli Gyronnase
Surprenant ce livre, je dirais même inclassable. A la fois chronique de la vie de flic et polar sur un casse atypique.
En effet ce roman débute comme un thriller classique, dans la peau d'un protagoniste de holdup, Poli Gyronnase lui-même, qui relate son expérience de flic sous forme d'un recueil de nouvelles qui propose à la lecture de sa compagne. Elles s'avèrent révélatrices de ses questionnements « éthiques » et prouve que la vie est plus aisée avec la dérision.
C'est la construction du roman qui est ambiguë, mêlant la fiction à la réalité.
De fait le lecteur assimile ce livre à une autobiographie … c'est ce qui m'a posé question.
Le flic-auteur est un adepte des canulars et autres plaisanteries. Elles sont le reflet de ses questionnements. On le voit confronté à son premier mort, on l'accompagne pour son premier suicidé. On partage ses joies et ses douleurs quand il s'agit de violence sur un enfant. Surprenant même parfois quand il frôle l'humiliation des gardés à vue, des interrogés, pour mieux parvenir à ses fins et à la vérité. le lecteur se demande si ces mises en scènes sont bien réalistes ou « enjolivées » comme un bon souvenir s'il voit ce titre comme une autobiographie ; il est d'avantage prêt à l'accepter si c'est une fiction. L'auteur laisse le doute mais l'action se situe de 1985 à 2007 et quel que soit de degré de véracité, je ne suis pas sûre que cela serait reproductible de nos jours dans la vraie vie, sauf à risquer les boeufs-carottes à chaque interrogatoire …
Un ton plaisant pour un agréable témoignage sur la vraie vie de flic urbain.
Lu en version numérique. epub 0.99 €
Je remercie l'auteur pour m'avoir fait confiance
Autres extraits :
« La morale de l'histoire : la bonne humeur, l'humour, les sourires, les regards, les voix appropriées et les comportements nonchalants sont souvent plus communicatifs et plus professionnels que certains emballements et explications judiciaires de certains jeunes flics. »
« Quand on tombe sur une affaire sérieuse avec une belle crapule, la finalité est toujours la même : on est emmerdé par le système et la crapule est protégée. La victime, elle, est toujours oubliée. Je n'ai plus confiance non plus en la justice. J'ai vu trop d'incohérences. Pour résumer, quand le Policier agit, on lui reproche de trop agir et quand il n'agit pas, on lui reproche de ne rien faire. C'est kafkaïen. En plus, on se retrouve dans une politique de culture du chiffre, plus rien n'a de sens. Les flics, nous n'avons jamais de reconnaissance. Nous ne sommes pas là pour être aimés, je le savais en signant. Mais nous ne sommes même pas aidés par notre hiérarchie, la justice, les politiques, et aujourd'hui, l'homme de la rue. Nous sommes des boucs émissaires, de la viande à média et des numéros matricules, c'est tout. Cette administration est composée d'une addition d'individualités qui travaillent, soi-disant, pour la collectivité, foutaise. Je veux partir car je sens que je ne pourrai pas tenir jusqu'à ma retraite. Aujourd'hui, tu vois, j'en veux à tout le monde, j'ai peur de devenir fou… »
Lien : https://collectifpolar.blog/..
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bonjour les babeliophiles aujourd'hui petit compte rendu du livre " le monde est fou" de Poli Gyronnase. Un braquage assez violent mais qui prête à sourire ,un manuscrit que Poli remet à Ornella sa complice ,vous allez me dire quel rapport dans tout cela ?? et bien que Poli raconte dans ce manuscrit ses 18 ans passés dans la police, car oui Poli était flic avant de devenir braqueur.Roman que j'ai lu d'une traité,chaque chapitre raconte une anecdote,une planque ,une gav, qui parle aussi sur le manque de formation lorsqu'il faut aller enquêter, quelques anecdotes qui prêtent à sourire des moments de gentilesse les relations entre collègues. On suit Poli dans son quotidien c'est drôle décapant et surtout on voit que le métier n'est pas facile (même si l'on s'en doutait)Chaque chapitre ma apporté son lot d'émotion.Un roman qui ne paye pas de mine au premier abord mais qui s'avère dérangeant et profond. libre que j'ai bien aimé mais comme je dis toujours ceci n'est que mon avis personnel. ah oui pour la fin à vous de la découvrir en lisant le monde est fou!!!!!
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Surprenant ce livre, je dirais même inclassable. A la fois chronique de la vie de flic et polar sur un casse atypique.
En effet ce roman débute comme un thriller classique, dans la peau d'un protagoniste de holdup, Poli Gyronnase lui-même, qui relate son expérience de flic sous forme d'un recueil de nouvelles qui propose à la lecture de sa compagne. Elles s'avèrent révélatrices de ses questionnements « éthiques » et prouve que la vie est plus aisée avec la dérision.
C'est la construction du roman qui est ambiguë, mêlant la fiction à la réalité.
De fait le lecteur assimile ce livre à une autobiographie … c'est ce qui m'a posé question.
Le flic-auteur est un adepte des canulars et autres plaisanteries. Elles sont le reflet de ses questionnements. On le voit confronté à son premier mort, on l'accompagne pour son premier suicidé. On partage ses joies et ses douleurs quand il s'agit de violence sur un enfant. Surprenant même parfois quand il frôle l'humiliation des gardés à vue, des interrogés, pour mieux parvenir à ses fins et à la vérité. le lecteur se demande si ces mises en scènes sont bien réalistes ou « enjolivées » comme un bon souvenir s'il voit ce titre comme une autobiographie ; il est d'avantage prêt à l'accepter si c'est une fiction. L'auteur laisse le doute mais l'action se situe de 1985 à 2007 et quel que soit de degré de véracité, je ne suis pas sûre que cela serait reproductible de nos jours dans la vraie vie, sauf à risquer les boeufs-carottes à chaque interrogatoire …
Un ton plaisant pour un agréable témoignage sur la vraie vie de flic urbain.

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😊 A la découverte de 🙂
Le monde des fous est infini de Poli Gyronnase
Auto-édité

Merci à l'auteur pour sa confiance. Un livre dont j'ai lu quelques retours qui m'ont donné envie de découvrir à mon tour cette histoire.
Un roman né dans la tête d'un flic qui un jour a fini par perdre ses illusions et a démissionné de la police nationale.

Poli et Ornella sont en plein braquage! Et Ornella s'en donne à coeur joie avec les otages de la banque, à croire qu'elle a fait ça toute sa vie!
Comment un ancien flic a pu en arriver là et entraîner sa femme dans cette histoire! C'est peut-être ce que l'on va découvrir dans ce manuscrit qu'Ornella va lire le temps de cette échappée à la Bonnie and Clyde.
Dedans Poli y a écrit des nouvelles, des bribes de son ancien métier et du pourquoi il en est parti.
On va alors remonter le temps et suivre le parcours de ce jeune adolescent qui se destine assez tôt au métier de policier, à cette jeune recrue en formation qui apprend son métier et les risques de celui-ci, son service militaire à tout juste 19 ans en tant que policier auxiliaire, la fierté des débuts et carrière, puis le quotidien dur, triste, sale mais aussi fait de belles rencontres et d'amitié.
Ornella découvre en même temps que nous l'histoire de Poli au sein de la police, ses coups durs et ses désillusions, et pourquoi il a tout plaqué un jour pour se lancer dans un casse avec sa femme.

Alors que l'on entre dans ce livre une scène de braquage surréaliste où la braqueuse improvise un défilé et se fait livrer un mc do, on enchaîne sur des scènes beaucoup plus simples, réalistes. Des scènes de vie qui nous racontent Poli et son histoire. le choc de la vision idéalisée d'un métier et de la réalité.
Mais ce livre n'est pas qu'une suite de scènes dures ou tristes, c'est aussi les bons moments, les rencontres et les fous rires.

L'auteur a habilement mêlé la fiction avec ce braquage démentiel organisé avec sa femme et leur fuite pour s'échapper de France, et sa propre expérience au sein de la police.
Cela nous donne au final un livre à la fois déjanté et plein d'émotions. Je trouve ça pas mal d'avoir été au-delà du simple récit témoignage et d'avoir créé un cadre fictionnel autour.

La plume de l'auteur est très agréable à lire. On voit beaucoup de flics ou ex flics se lancer avec succès dans l'écriture, visiblement ce métier donne une belle inspiration à son personnel!
On suit avec beaucoup de plaisir ces tranches de vie qui nous livrent le quotidien d'un policier face à la réalité du métier. Des hommes tout simplement qui se retrouvent à gérer des situations dures, compliquées, où la notion du bien et du mal n'est pas toujours simple à définir. Car derrière ces délits graves ou plus anodins il y a des histoires, des hommes et des femmes.
On pense aussi à ce mélange d'amour-haine entre la police et les français. Ces hommes adorés aux lendemains des attentats, insultés pendant les manifestations, caillassés dans les banlieues...
Derrière le quotidien d'un boulot et l'image de l'homme fort de la loi se profilent toutes les difficultés de ce métier : le sentiment d'impuissance, d'abandon, le manque de moyens, les suicides de policiers...

Un livre témoignage d'un ex policier qui ne cherche pas à faire le procès de son ancien métier, mais juste un besoin de mettre les mots sur 18 ans d'existence et sur le virage qu'il a décidé de prendre un jour.
Une jolie lecture très intéressante où l'on découvre le parcours d'un flic, loin de l'image brossée dans les polars habituels.

Pour retrouver ce livre, c'est par ici https://www.librinova.com/librairie/poli-gyronnase/le-monde-des-fous-est-infini-4
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J'ai eu du mal à entrer dans cet ouvrage, car l'incipit me paraissait outré. Heureusement, j'ai persisté et découvert une galerie de témoignages racontés sans fioriture, certains sont poignants, d'autres drôles, la plume de l'auteur devient sincère et addictive. Certes, la trame romanesque sert d'écrin à ce récit chargé d'autobiographie, mais elle est succincte, ce qui importe c'est l'égrenage de ces souvenirs marquants. Malgré la critique du système et les situations terribles, les déceptions accumulées, les scènes insoutenables, on ressent parfois une nostalgie pour la force de certains liens. Derrière des situations extrêmes, reste le sentiment que le rapport humain est l'essentiel. Longue vie au policier romanesque
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il y longtemps que ce livre à la couverture un peu iconoclaste m'intriguait… un roman déroutant, mais qui, malgré le récit atypique, colle à une certaine réalité de l'univers policier ! un fond autobiographique au constat un peu déprimant, l'enthousiasme de la première heure se transforme, au fil du temps, en une amère désillusion… ce livre reflète une certaine forme d'actualité. L'humour, omniprésent, rend le récit moins déprimant… le parcours d'un flic devenu braqueur. J'ai essayé de décrypter le nom des villes avec plus ou moins de succès, mais Gones Ville, sa Bourges Bank et son pont Mourand, m'a immédiatement fait penser à Lyon ! (aucun mérite, j'y habite !). J'ai beaucoup aimé ce livre qui sort de l'ordinaire… rien à voir avec un « polar » classique ! un objet livresque non identifié ! une pépite…
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Bonjour à toutes et tous,

Je viens vous parler de ma dernière lecture « le monde des fous est infini » de Poli Gyronnase.

J'ai tout d'abord été surprise par l'ambiance dans laquelle m'a embarqué l'auteur, ça va vive, c'est tendu, et intriguant. Puis au fils des pages une découverte, une claque...
Avec tendresse, amertume parfois, tristesse aussi l'auteur nous dévoile un univers que l'on connaît généralement que par les films. Avec des conversations dignes de Audiard j'ai voyagé dans ce milieu des flics souvent bien plus sombre que l'on imagine.
Que vous dire d'autre, la plume de l'auteur est musclée, belle, poétique à ces heures, c'est un vrai plaisir.
Merci pour ce roman cette découverte.
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Alors qu'est-ce qu'il se passe ici ? Nous avons un homme désabusé, bafoué et mal dans sa peau qui n'a d'autres choix que de partir, tout quitter pour aller mieux. C'est à son désarroi face à sa foi perdue que nous avons affaire. Il faut dire que Poli nous conte avec passion, humour, sensibilité, mais aussi colère les différentes zones d'ombres qu'on peut trouver dans nos commissariats. Ça paraît tout bête, mais c'est du génie : mettre le doigt sur ce qui fait mal, ce qui pêche, mais sans jamais porter de jugement. Poli ici est un auteur qui met son talent et ses connaissances en avant sur le sujet qu'il traite, mais croyez-moi, il nous épargne.

Dans une société où le « flic » est vu comme un fasciste, un sexiste ou encore une simple matraque, il se trouve qu'il est bien plus, que le malmenage et les insinuations sont grandes envers ces hommes qui, à la base, veulent faire leur métier, simplement.
Du coup, l'auteur place de l'intelligence dans ses mots, tous bien posés, il n'y a pas d'attaque, pas de « délation fâcheuse »… juste un constat qui nous montre bien que quelques cailloux restent dans les rouages d'un gouvernement, d'une foule désabusée, de forces de l'ordre condamnées. Il faut dire que les relations pourraient être meilleures, mais peut-être y a-t-il trop de manque à gagner ?

Bref, j'ai grandi dans cette « grande famille » et c'est en ce sens que j'ai été ravie quand Poli m'a proposé de lire son ouvrage. Au vu de certains commentaires, je m'attendais à de la délation, de la colère plus extériorisée, voire de la haine. Non pas parce que les flics sont haineux, mais parce qu'il y aurait des raisons de l'être dans un texte qui se veut exutoire. Non, Poli, il est honnête, sympathique et, même si une rancune profonde l'a poussé à la démission, il y a une bienveillance qui pointe dans ses mots. Que ce soient de bons souvenirs ou de belles personnes croisées, on sent poindre une résilience dans les lignes, une dénonciation certes, mais juste et édulcorée… Bref, des pages poétiques pour des propos réalistes. Excusez-moi l'expression, mais il y a des cons partout, il est donc dommage de faire un amalgame et de croire qu'ils sont majoritaires 😉

En plus de ses nouvelles qui nous mentionnent les différents cas croisés ou encore les mesures prises d'untel ou unetelle… il nous a concocté une petite histoire, au premier abord rocambolesque, afin d'y intégrer son recueil. Cette histoire, elle est touchante et drôle, mais elle a aussi sa part de sombre, et est aussi dénonciatrice à sa façon. Les derniers paragraphes vont rester bloqués un moment dans ma tête, à l'endroit même où se cachent quelques autres anecdotes concernant « la poulaga ».

Du coup, je remercie l'auteur pour ses mots incisifs, ses phrases percutantes et sa plume fluide. Ces pages de douleurs qui montrent que derrière un uniforme, il y a avant tout une personne. Celle-ci parfois « gros dur », parfois sensible, parfois couillonne, aussi, ou encore maladroite. Quoi qu'il en soit, il y a un personne et on ne lui doit qu'une chose en ce sens, le respect.
J'espère sincèrement que les mots pourront panser les maux de cet homme, et que sa résilience sera récompensée
Lien : https://jetdemot.wordpress.c..
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Il y a des auteurs avec qui le feeling passe tout de suite bien. Et ça a été le cas avec Poli. Je ne vous précise pas que nous sommes en présence d'un pseudo, qui m'a fortement intriguée, je l'avoue. Outre l'anagramme de sa réelle identité, il a mélangé un peu du film « Les affranchis » de Scorsese et un jeu de mot en lien avec son passé de policier : un girophare casé est un giro naze. le ton est donné et je me suis plongée dans cette histoire avec beaucoup de curiosité !

Je n'ai pas été déçue ! Tout commence avec ce braquage totalement loufoque. Notre couple de Bonnie and Clyde est déguisé comme s'ils allaient au Carnaval de Rio. Je n'ai pas pu m'empêcher de sourire malgré la violence du hold-up.

Lors de leur fuite, Poli confie son manuscrit à sa femme et complice, Ornella. Il y relate ses 18 années dans la police. Car oui, Poli était flic, avant de devenir gangster ! Notre roman se fond avec les écrits de Poli, chaque chapitre prenant la forme d'une nouvelle et traitant d'une anecdote particulière. Tout y passe, le métier, le manque de formation pour affronter la dureté psychologique et la réalité du terrain, les enquêtes, diverses et variées, les relations avec les collègues. On suit Poli dans son quotidien. C'est drôle, ça décape, et surtout, ça sort des tripes. On sent le vécu. Avec un certain culot, l'auteur nous dévoile le côté obscur d'un métier qui est bien loin d'être facile. Cela permet une prise de conscience non négligeable sur notre société qui part à vau l'eau.

L'écriture est très fluide, agréable, incisive et bourrée de dérision. La construction est vraiment originale, j'ai apprécié lire un roman « différent ». Chaque chapitre m'a apporté son lot d'émotions, toutes distinctes. La couverture prend tout son sens à la lecture du contenu. le récit est truffé de jeux de mots drôles et apportant une bouffé salvatrice de légèreté : MacDorade, France Enfer, Gones-Ville.

Quant au dénouement, bon, ben il m'a mise KO, j'ai pris un dernier uppercut en pleine tronche pour la route. Une lecture dont il faut se remettre, un récit qui ne paye pas de mine au premier abord, mais qui s'avère en définitive profond et dérangeant.

Je ne peux que vous conseiller ce roman.

Je remercie l'auteur pour cette lecture.

#LeMondeDesFousEstInfini #PoliGyronnase #Librinova
Lien : https://soniaboulimiquedesli..
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Poli Gyronnase m'a proposé de lire son roman "le monde des fous est infini", j'ai accepté et je l'ai enfin lu pendant mes vacances, et j'ai beaucoup aimé !
Poli Gyronnase relate son expérience de 18 ans dans la police sous la forme d'un roman : un recueil de nouvelles qu'il propose à la lecture à sa compagne, alors qu'ils sortent d'un casse.
On y suit donc, des tranches de vies pas facile d'un policier pas forcément formé pour tout ce qu'il va rencontrer.
J'ai beaucoup aimé l'écriture fluide de l'auteur et la construction originale de ce roman, une belle découverte !
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