La première partie n'est pas convaincante. Les digressions sur le vide politique à l'ère berlusconienne sont ennuyeuses. La deuxième partie, elle, combinant recherche personnelle et ballades en Italie est plus réussie. Un bon moment de lecture.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.