Comme beaucoup j'ai décroché avec Anita Blake à partir de Narcisse enchaîné, le virage à 180 degrés dans le comportement d'Anita et les trop nombreuses scènes de sexe ôtant tout le charme de la série. J'avais tout de même persévéré jusqu'à Arlequin, mais la coucherie finale avec tous les spectateurs du cirques des damnés m'a définitivement fâchée avec notre héroïne et l'autrice. Je ne retrouvais plus la badass que j'aimais tant. Même mon chouchou Nathaniel virait dominant au lit, le comble de l'horreur. Pitié, qu'il retrouve sa place: roulé en boule au pied de sa Maîtressre comme un bon petit léopard-garou obéissant!
Bref, dix ans ont passé et je me suis dit, tiens, et si je réitérais. Avec le 16ème tome donc, Sang noir. Et franchement, je ne regrette pas. L'autrice a dû entendre le désespoir de ses fans je suppose. Quoi qu'il en soit, le sexe est moins omniprésent, les scènes moins longues donc parfaitement digérables. J'ai trouvé la première moitié du roman fade, trop de blabla, ennuyant. Et puis l'action décolle.
Je suis toujours aussi éprise de l'humour de notre héroïne, de son franc parler et de son naturel déjanté. J'espère que les prochains tomes suivront dans cette veine.
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