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3,86

sur 1386 notes
1) Intro et ressenti général
2) Résumé du début
3) le style de l'auteur
4) le scénario
5) le reste de la série

1) Il y a déjà une dizaine d'années, je découvrais cette série qui allait devenir une de mes préférée durant ma jeunesse. Les multiples péripéties de Violette, Klaus et Prunille m'ont tenu occupé bien plus longtemps que je le prévoyais puisqu'il s'agit d'une série de 13 tomes (que j'ai lu 2 fois de surcroit). Preuve que cette série m'a marquée, les évènements sont toujours très clairs dans ma tête et je pourrais résumer chacun des ouvrages sans difficultés.

2) Les 3 enfants se retrouvent contraints de vivre avec un lointain parent, le Compte Olaf, suite à l'incendie qui a ravagé la maison de leur famille, les laissant, vous l'avez probablement deviné, orphelins. Leur hôte est une personne détestable ne cherchant qu'a s'emparer de leur fortune, et pour cela, il est prêt à toutes les bassesses et tout les stratagèmes. Les enfants, quant à eux, peuvent compter sur leurs connaissance et capacités pour lutter contre ces situations horribles dans lesquelles ils sont entrainés bien malgré eux. le tout se déroule dans un monde réaliste au premier abord, mais menant à des situations et des dialogues à l'absurde délicieusement bien dosé dans un monde ou les adultes semblent désespérément stupides.

3) La première chose qui frappe immédiatement, c'est le style de l'auteur qui est très particulier ; il définit des termes, parfois même quand il n'y a pas lieu de le faire, donne des exemples, à priori sans queues ni têtes mais qui prennent tout leurs sens si on les relis après ce tome, ou parfois même, après avoir découvert la série entière. Ses constantes divagations et ses tentatives de vous décourager de poursuivre la lecture vous feront aller de l'amusement à l'agacement, puis, (je vous le souhaite) vous les accepterai comme étant partie intégrante de son style. Si vous poursuivez dans les tomes suivant, vous en viendrai même à attendre ces passages avec impatience dans l'espoir de déceler des informations cachées dans ses disgressions. le tout reste simple à lire sur la forme, puisque c'est accessible aux adolescents, mais parfois indigeste.

4) L'histoire est bien ficelée, elle pose les bases des personnages, mais ne se perds pas en longs développements. après tout, le livre est assez court. l'attachement / aversion à certains personnages se crée au fil de la série. La résolution de ce premier opus m'a laissé mitigé. Elle n'est pas mauvaise, mais un peu anti climatique au vu de la situation de grand stress dans les dernières pages.

5) Si vous hésitez à vous lancer dans une série de 13 livres, sachez ceci :
Le style de l'auteur ne va pas changer par la suite, il me semble d'ailleurs qu'il s'accentue. Si vous y êtes allergique, mieux vaut arrêter la torture ici. Il pourra par ailleurs, vous sembler que le schéma narratif se répète d'un épisode à l'autre, et c'est en effet fort le cas au début. chaque histoire reste néanmoins agréable à lire même si la qualité des livres peut être inégale. A partir du 5ième, et encore plus au 8ième tome, l'histoire commence à s'ouvrir, on s'aperçoit que tout est connecté, qu'énormément de mystères planent et que les évènements dépassent complètement les orphelins. c'est à ce moment que je suis devenu fan. Les infos sur ces mystères sont distribuées très lentement à partir de la fin du tome 5 et vous ne saurez probablement jamais tout. c'est un terrain extrêmement propice à faire marcher votre imagination (ou a vous frustrer si vous préférer les histoires claires).

De mon côté, vous l'aurez compris, c'est une très bonne expérience. Je ne peux que vous la recommander tout en sachant pertinemment que ça ne plaira pas à tout le monde.

PS : Il existe une série Netflix racontant l'histoire des orphelins intégralement. Elle a remarquablement bien adapté le style des romans, est un peu plus "joyeuse" et moins avare en renseignement. N'hésitez pas à y jeter un oeil si vous êtes curieux, ou juste si les livres ne vous convainquent pas ;-)

Bonne lecture!
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15 ans plus tard après ma première lecture, j'ai décidé de me replonger dans Les Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire.
Du haut de mes 12 ans, j'avais adoré cette saga, je les avais tous lu à la suite en passant des heures au CDI. du haut de mes 27 ans, j'adore toujours autant et cette relecture fut un réel plaisir.
Violette, Klaus et Prunille sont toujours autant attachants, un exemple parfait d'amour fraternel. Leur perspicacité et leur intelligence permettent, dans tout ce malheur, de se sortir des situations les plus cocasses.
Je déteste toujours autant le Comte Olaf qui est, pour moi, le pire des méchants dans tous les livres que j'ai pu lire... Il est odieux et machiavélique mais heureusement pas très futé comparé aux jeunes Baudelaire.
Des histoires de la sorte vous n'en lirez pas souvent. Il y a quelque chose de très original dans la plume de Daniel Handler qui fait que très vite, on aime ou on aime pas. Personnellement, ce côté inexpérimenté, "jamais vu", me plaît beaucoup. Il y a beaucoup de mystère qui s'installe dès le premier tome et on a envie de continuer pour avoir des réponses à nos questions. Même adulte, c'est plaisant à lire car ce style d'écriture bien particulier n'est pas destiné qu'aux enfants. Je vais lire la suite avec plaisir...
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En vrai, je ne fais pas que lire.
Parce qu'il faut faire à manger, la poussière qui attend depuis des mois d'être chassée pour mieux revenir, être maman, faire du piano, écouter de la musique, sentir la colline, partager un verre entre amis, chercher un travail (social, en plus) et regarder des séries plus ou moins bonnes suite à l'offre d'abonnement à une plateforme de streaming que vous a généreusement offert un ami.
Sur cette plateforme, il y a Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire.
Les enfants comme moi avons été conquis par l'ambiance, l'humour et la finesse de l'intrigue. Aussi ai je mandatée ma cadette d'emprunter au CDI (le cdi, c'est le mal ! Mais ça n'est pas le propos ici) le premier tome de cette saga.
Lu en quelques heures, j'ai été aussi emballée que la série.
Oh bien sûr, il est un âge où l'on pourrait attendre plus que ce récit en matière de lecture mais finalement, j'étais plus élitiste à l'aube de mes onze ans qu'aujourd'hui.
A plusieurs reprises, j'ai souri et ri.
Et comme je suis sympa, je vais partager d'abord mon sourire :
"Des livres, il en existe de toutes sortes, dans tous les formats, dans tous les genres ; il est bien normal que chacun souhaite lire ce qui lui plait"
Puis mon rire :
"De temps à autre, Klaus sentait ses paupières tomber. Il se surprenait à relire la même phrase encore et encore. Il se surprenait à relire la même phrase encore et encore. Il se surprenait à relire la même phrase encore et encore."
Rien d'extraordinaire mais c'est décalé, drôle, sans prétention. Les ingrédients d'un bon moment de détente pour les enfants (et les grands aussi !)
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La première fois que j'ai entendu parler des Orphelins Baudelaire, c'était il y a très longtemps, à l'occasion de la sortie du film et c'était ma meilleure amie qui m'en avait parlé, mais je ne m'y étais pas intéressée à l'époque. Et puis, un jour, avec une autre amie, on est tombée sur le premier épisode de la série et là, j'ai plongé dedans direct. L'univers loufoque, le narrateur et son style inimitable, l'ambiance particulière, ça m'a tout de suite plu. Et puis, dans la foulée, je suis tombée sur le film à la télé, et j'y ai retrouvé ce qui me plaisait dans la série. du coup, je me suis dit « essayons les livres ! ». Et j'ai essayé.

Tout d'abord, concernant ce premier tome, je dois vous dire que je ne m'attendais pas à le lire aussi vite ! J'avais oublié, je crois, que c'était avant tout un livre destiné aux enfants. Il se lit donc très bien et très facilement, sans pour autant que ce soit trop facile. le lecteur est loin d'être pris pour un idiot. Mais les chapitres sont relativement courts aussi, ce qui donne l'impression qu'on avance bien. Et puis il est vrai qu'il n'est pas très épais.

J'ai retrouvé avec plaisir dans ce livre tout ce qui m'avait plus dans la série et dans le film, à commencer par le ton dramatique de l'histoire. La narration, à mon goût, est vraiment excellente. Chacune des interventions du narrateur contient sa dose d'avertissement, de second degré et d'explications parfois hors contexte, mais c'est qui en fait son charme. Car finalement, le narrateur (qui n'est autre que Lemony Snicket), se positionne comme un observateur qui nous rend compte de ce à quoi il a assisté (et c'est très bien rendu dans la série).

L'histoire en elle-même est franchement sympa. Nous suivons les trois enfants Baudelaire qui se retrouvent orphelins et à qui il arrive tout un tas d'horreurs. Alors oui, dit comme ça, cette histoire est relativement affreuse, triste, glauque, etc… Mais c'est là que l'art de la narration intervient pour nous la rendre captivante. Entre les injonctions à ne pas continuer parce que c'est vraiment trop triste et les spoilers que Lemony Snicket nous fait ici et là, on en oublierait presque d'être tristes pour ces pauvres enfants. Les personnages qui gravitent autour d'eux et qui ne font pas preuve d'une jugeote exceptionnelle y contribuent aussi énormément, en apportant une dose d'humour et de grotesque qui rendent notre lecture très plaisante.

Voilà un livre qui se dévore, qu'on soit petit ou grand !
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Les Orphelins Baudelaire et moi, c'est une histoire de longue date. C'est la saga à laquelle je ne pense jamais lorsque l'on me demande les livres qui ont marqué mon enfance, ou même les livres qui m'ont fait aimer les livres. Et pourtant, c'est une chose presque certaine : les treize tomes de Lemony Snickett sont des livres qui font aimer les livres.
Alors, pour vous dresser rapidement la chose, j'avais dû les lire aux alentours de mes onze-douze ans et j'en avais un souvenir vif. Pour bien des raisons : je me rappelais d'une originalité absurde des intrigues, en faisant des récits très hauts en couleurs, avec des personnages que l'on oublie pas (et croyez-moi, le comte Olaf n'en est qu'un parmi d'autres). Je me rappelais également d'une certaine lassitude devant la répétitivité des mécanismes usés par Snickett, qui même s'il livrait des bouquins si pétillants que tout le reste de la littérature jeunesse faisait pâle figure à côté, les formatait selon une formule qui elle ne variait jamais d'un tome à l'autre. Si vous les avez lus, je pense que vous comprendrez aisément ce que je veux dire. Je me rappelais également d'une déception terrible dans ma vie de jeune lecteur d'alors : Snickett, au cours de son intrigue, développe une toile de fond passionnante car très mystérieuse et patiemment installée. Et à la fin du treizième tome, je me rappelle de cette sensation terrible qui m'a étreint pour la première fois, et qui m'étreindrait bien des fois encore : l'impression d'inachevé. L'impression d'avoir des milliers de questions sans réponses.
Bon, je ne vais pas vous raconter ma vie trop longtemps, d'autant plus que j'ai dans le projet, au cours de l'année, de m'en lire un de temps en temps, et donc de relire en entier la saga. Je pourrai donc sereinement confronter mes souvenirs d'adolescents à ces relectures. Mais parlons, pour le moment du premier tome, « Tout commence mal ».

Première étape nécessaire vers les désastreuses péripéties des Baudelaire, ce tome est loin, très loin d'être le plus original, mais il installe les personnages récurrents des tomes suivants (enfin pas tous, mais presque). On y découvre le style de Snickett, extrêmement intelligent et parfaitement adapté à de la littérature jeunesse. La richesse de son propos, et au final le peu de facilité avec lequel il traite ses lecteurs en fait un auteur jeunesse majeur, proposant des livres intelligents, pas épargnant pour un sou, et d'une richesse au départ insoupçonnée.
On n'oubliera pas, également, tous les petits clins d'oeil lugubres que Snickett glisse dans ses écrits, à commencer par le nom de nos orphelins pleins de spleen, et même de ce M. Poe, qui ne respire pas la joie. C'est également très amusant de se dire que Baudelaire a traduit Poe, et que de manière imagée, c'est ce que font en permanence les orphelins avec notre cher M. Poe.
L'intrigue coule toute seule, même si le ressort final est un peu convenu (je me rappelle l'avoir deviné avant la fin à ma première lecture). Ce tome n'est pas à mettre dans la pure ligne directrice de la saga, étant en fait un point de départ un peu à l'écart des récits auxquels nous aurons droit par la suite.

A n'en pas douter une lecture jeunesse de très grande qualité, qui n'abrutit en rien l'adulte curieux qui voudrait se lancer dans cette saga vertigineuse et, évidemment, désastreuse.
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C'est en voyant un projet de Netflix sur l'adaptation de la série que j'ai décidé de m'y plonger (enfin !). Je ne me souviens que très peu du film et c'est donc avec plaisir que je suis entrée de nouveau dans l'univers de Prunille, Klaus et Violette.


Ces derniers sont orphelins à la suite d'un tragique incendie. Or, d'après le testament de leurs parents, ils doivent être placés dans leur famille la plus proche au point de vue des liens du sang. Il se trouve que le Comte Olaf est ce qu'ils ont de plus proche, même s'ils ne l'ont jamais vu. Et on comprend très vite pourquoi : reclu dans son manoir en ruines, l'odieux personnage n'apparaît que pour donner des corvées aux enfants et disparaît aussitôt en direction de son théâtre. Pourtant, Olaf se sent plus proches d'eux qu'il n'y paraît, enfin… surtout de leur fortune…


Je regrette d'être passée à côté de cette lecture quand j'étais plus petite, il s'agit réellement d'un colosse de la littérature jeunesse. Et on comprend pourquoi ! le style d'écriture est pour un jeune public mais travaillé malgré tout. Voilà un parfait exemple d'un bon livre jeunesse : assez proche de son public de base mais tout en élevant la voie d'un narrateur mature qui distrait l'adulte qui le lit. Vous savez pourquoi on aime autant les Disney même plus vieux ? Les références tout public et ds ce livre, on retrouve le même procédé. de plus, les enfants sont attachants et permettent une identification. Les thèmes sont variés et pour tout public : les plus grands aimeront les questions d'héritage et de magouilles tandis que les plus jeunes sursauteront face à la malveillance du comte, son inquiétante maison et ses idées saugrenues. Leurs aventures sont réellement désastreuses et dramatiques, si bien que l'on tombe immédiatement ds leurs drames sans pour autant être immergé dans un pathos dégoulinant de mièvrerie. Klaus, Prunille et Violette ne tombent pas dans le pathos et c'est en cela qu'ils sont attachants : ils traversent la mort et les épreuves sans tomber. Si Lemony Snicket avait voulu écrire pour un public plus âgé, cela aurait été tout aussi génial et autant adapté au point de vue des aventures. Cette histoire est tout simplement addictive : originale tout en reprenant les grandes lignes du genre initiatique. Je comprends que Netflix veuille en faire une série, il y a matière !

Des extraits et des infos sur la série TV : http://lecturesdunenuit.blogspot.fr/2016/08/les-desastreuses-aventures-des.html
Lien : http://lecturesdunenuit.blog..
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Trois enfants dont la vie va basculer du jour au lendemain: Avant la catastrophe ils étaient trois enfants riches,sages et heureux! Ils avaient une grande maison avec une grande bibliothèque, des parents… Bref Violette Baudelaire, son petit frère Klaus Baudelaire et Prunille Baudelaire la cadette étaient des enfants qui avaient tout pour plaire. Après la catastrophe leur maison est réduite en cendres et leur parents aussi, ils sont recueillis momentanément par un ami de leur parents: M. Poe un banquier constamment enrhumé. M. Poe les envoient chez leur soit-disant oncle au 3eme degrés le comte Olaf qui fait partie d'un groupe de théâtre. Or cet oncle se monte odieux, vulgaire et mesquin avec les enfants. En plus il veut faire main-basse sur la fortune des Orphelins Baudelaire par n'importe quel moyen…
Super livre des fantastiques aventures. A lire coûte que coûte.
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Je n'ai pas réussi à accrocher à cette histoire que l'on m'avait offerte.
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Une histoire qui se finit toujours mal, écrite simplement et surtout faite pour les plus jeunes. J'ai bien aimé le style de l'écrivain, ses anecdotes, sa façon de nous prévenir que quoi qu'il se passe ça finira mal. Les illustrations sont aussi très jolies. Heureusement que j'ai commandé le tome 2 en même temps que celui là!
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Le conteur annonce dès les premières lignes « Si vous aimez les histoires qui finissent bien, vous feriez beaucoup mieux de choisir un autre livre. Car non seulement celui-ci finit mal, mais encore il commence mal… ».

Les trois enfants Baudelaire, Violette quatorze ans, Klaus, douze ans et bébé Prunille, sont sur la plage de Malamer lorsqu'ils apprennent le décès de leurs parents tués dans l'incendie de leur maison. C'est Monsieur Poe qui leur annonce la douloureuse nouvelle.
La famille étant fortunée, il devient le tuteur des enfants, l'exécuteur testamentaire et le gestionnaire du patrimoine.

C'est dans la demeure étrange et vétuste d'un cousin éloigné, le comte Olaf, que les enfants seront hébergés misérablement. La vie dans cette maison est faite de privation et de corvées en tous genres… ménage, bricolage, cuisine… La vie deviendrait vite insoutenable si le comte ne s'absentait pas autant. Il est comédien et travaille avec une troupe de théâtre, tous des êtres fantasques, vicieux, cupides et alcooliques. A côté de cette maison délabrée, se trouve la charmante voisine la juge Madame Abbot. Sa maison est très agréable et c'est avec beaucoup d'empressement et de béatitude que les enfants vont lui rendre parfois visite. Pour leur plus grand bonheur, cette dame, charmante et accueillante, possède une immense bibliothèque qui servira à solutionner certains problèmes…

Un matin, le comte Olaf se métamorphose en un gentil hôte… framboises au petit-déjeuner… Les enfants se doutent aussitôt que ce simulacre est un piège et se préparent à un retournement de situation… Que leur prépare-t-il ? Serait-ce cette nouvelle pièce « Un mariage merveilleux » qui le stimulerait ?

Les enfants vont se montrer solidaires et ingénieux pour déjouer la machination machiavélique de leur cousin.
Une lecture bien sympathique et bien écrite pour les tous jeunes jusqu'à neuf ans, après, je leur conseillerais autre chose. Cette histoire raconte les tristes débuts de trois petits orphelins aux prises d'un homme démoniaque… Mais leur intelligence arrive dans ce premier tome à les sauver. Cette série compte treize volumes. Je vais lire le second car je voudrais me faire une idée un peu plus ou un peu moins critique. En fonction, je poursuivrai la série ou je l'arrêterai. Cette lecture commune m'a été proposée par Vilvirt. Je n'ai pas longtemps hésité car cela faisait des années qu'elle me clignait de l'oeil sur les étagères d'un de mes fils. La version des éditions Nathan est très alléchante ; la couleur des jaquettes, les illustrations, la tranche reliée… Tout incitait à les lire. Je donne un gros bon-point à l'illustrateur Brett Helquist.
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