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2,73

sur 46 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Une tragédie qui vous met K-O
*
Et un crochet du droit, un uppercut, un jab et te voilà dans les cordes.
Eh oui, le premier roman d'un auteur canadien parle de boxe. L'auteur est lui-même ancien boxeur et cela se ressent.
N'y connaissant rien de rien à ce sport de combat, cela ne m'a pas freiné dans ma lecture.
Une lecture attentive, concentrée sur les actions qui s'enchaînent à toute vitesse.
*
Bienvenue dans le monde de Daniel "Dan", jeune boxer à la retraite, marié à Sarah et papa de Madelyn. Tous trois forment une petite famille très soudée, dans un coin paumé de la province d'Ontario.
Dan a raccroché les gants après s'être blessé et a perdu son rêve de devenir champion. Dans cette contrée âpre et un peu hostile, le travail est difficile à obtenir. Il faut pourtant "faire bouillir la marmite". La famille se fait aider par leurs voisins amis (sorte de grand-parents adoptifs). Mais cela ne suffit pas. Dan devra se mêler à la mafia locale....malgré sa promesse.
Et là les ennuis commencent....jusqu'à l'apothéose finale.
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J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans le récit. Une multitude de personnages entrent en scène rapidement, les actions s'enchaînent, les scènes de combat sont époustouflantes. Je me revoyais jouer à "Street fighter" sur ma console.
Puis au milieu du livre, je me suis fait happer dans cette spirale descendante, dans une noirceur glauque et terriblement malsaine.
On se rend vite compte que l'espoir d'une vie meilleure est vaine et que la tragédie que tout le monde ressent arrivera bien vite.
Je me suis attachée à ce petit bout de femme qu'est Sarah, une épouse attendrissante et bienveillante.
Le dernier uppercut est donné en finale, quand on ne s'attend plus à rien de pire. Et c'est là tout le talent de l'auteur. Nous embrumer, nous endormir puis nous donner son coup de poing .....là où ça fait mal.....
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Quand la violence à l'état brut a tout donné mais qu'elle essaie encore de tirer sa révérence , de sortir du ring avec brio : voilà , c'est ça la tragédie.
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Même si je n'ai pas réussi à m'imprégner du personnage de Dan (excepté lors de ses combats de free fight ), j'ai eu tellement de peine pour ce "laissé-pour-compte "trash-white" .
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Quand un choix difficile fait il y a longtemps peut faire saborder l'équilibre des années après.
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L'écriture est nerveuse. Des scènes tout à fait envisageables pour le cinéma. Des détails et descriptions justes et surtout précises (par exemple la boxe). Un décor sordide et poisseux collant bien au contexte misérable et violent.
Si vous aimez le fre-fight et le genre "pulp fiction" , vous serez servis.

PS: un roman conseillé par le Picabo River Bookclub sur FB.
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Je commencerai par remercier Babelio et les éditions Albin Michel pour m'avoir confié cet ouvrage avant sa date de publication dans le cadre d'une opération masse critique.

Daniel est un boxeur qui rêvait de la gloire quand une méchante blessure du lui faire abandonner les rings et retomber dans l'ornière sociale qu'il voulait quitter. A l'occasion, pour améliorer l'ordinaire, il prête main forte à Clayton et sa bande. Daniel est marié avec Sarah, aide soignante dans une maison de retraite. Ensemble ils ont une petite fille, Madelyn, qui ressemble à sa mère mais qui aurait plutôt le caractère de son père. Sarah aime profondément Daniel mais ne cautionne pas qu'il fasse l'homme de main de Clayton. Daniel non plus, quand la violence de Clayton et de sa bande vire carrément au meurtre. Daniel tente de décrocher et de se trouver un travail de soudeur mais dans cette campagne reculée, l'embauche est rare. Il décide alors de se remettre au combat pour gagner sa vie et reprend l'entraînement...

Un roman qui nous plonge dans l'Amérique profonde, dans une campagne désolée, au Canada. le rythme est assez lent, le style travaillé. le livre se divise en chapitres, alternant les chapitres courts et d'autre plus longs. Certains d'entre eux sont écrits en italique et nos plongent dans le passé des personnages. L'auteur nous offre des descriptions précises, tant des personnages que de l'environnement. Tout doucement, on avance, sans trop savoir qu'elle direction nous empruntons. On alterne aussi entre la vie de Daniel et de Sarah, leur quotidien difficile, leur vie de famille surendettée et Clayton et sa bande qui deviennent de plus en plus cruels. Daniel se montre très courageux pour tenter d'échapper à la vie facile que lui offre le gangster. Ils vivent sur le fil du rasoir. Les descriptions des combats ou des entraînement de boxe sont très techniques. Mais je trouve que toutes ses descriptions paysagères, celles des personnages, celles des combats et aussi celles des actions violentes de la bande à Clayton ralentissent très fort le rythme de la narration et parfois tire l'histoire dans de long s et ennuyeux passages. Mais c'est glauque, noir à souhait et c'est vraiment la fin, peut-être un peu précipitée, qui est le point d'orgue du récit.

Ce roman se révèle digne d‘un scénario des frères Cohen, du style « Fargo » et au final m'a laissé une impression positive d'avoir vécu un bon moment de lecture.
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Daniel petit truand, bon boxeur semi-pro s'est rangé des voitures depuis sa rencontre avec Sarah l'infirmière qui lui a si bien recousu son arcade éclatée.

Daniel ouvrier soudeur méritant, bon père de famille, bon mari se retrouve au chômage. Alors forcément ses anciens potes rappliquent et ils lui veulent du bien. de l'argent vite gagné, il suffit de remonter sur le ring.

Polar gris et rouge sang dans le Canada profond, violence urbaine crue et envolée panthéiste comme un paradis inatteignable. Petit polar intimiste, rapide et bien construit qui entre, quelques bastons, de bonnes tripotées et aussi des fusillades carabinées nous parle de déterminisme social. Daniel, Sarah, Madelyn, une petite famille de Colombie Britannique, un tableau idyllique, un rêve impossible.

Si l'histoire n'est pas très originale, il faut reconnaitre que Kevin Hardcastel a le sens du rythme et un sacré souffle qu'il tient la distance.
Petit polar efficace et bien écrit.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Bonjour,

Avant tout je souhaiterai exprimer un grand merci à Babelio et aux éditions Albin Michel pour m'avoir offert ces épreuves non corrigées de « Dans la cage » de Kevin Hardcastle.

J'ai passé de bons moments de lecture (je suis assez lent dans mes lectures…) et j'avoue avoir apprécié ce thriller plutôt noir.
Il est bien écrit et admirablement fluide, alternant des chapitres que j'appellerai « familiaux » décrivant ainsi l'intimité du héros, et d'autres « actions » décrivant des scènes d'actions ou purement thriller.
Ce roman joue aussi formidablement avec la psychologie du protagoniste : homme fort maîtrisant l'art du combat, plutôt très secret et taciturne.
Le style est tonique, ciselé et nerveux histoire de bien nous tenir en haleine.

Seulement voilà, j'ai tout de même eu quelques déceptions…
La première est que le bandeau promotionnel signé d'un grand écrivain (John Irving) gâche malheureusement le plaisir de lecture car il nous dévoile indirectement, ou nous aide plutôt à anticiper la fin de l'histoire…
La deuxième est que le titre est prometteur pour les fans de boxe et/ou combat, hors j'ai trouvé que le « milieu » des compétitions était malheureusement que trop peu développé et que l'intrigue n'a peu de rapport avec les luttes en cage….
Et la troisième est de tomber sur quelques coquilles invraisemblables comme je cite :
« le matin venu, il attendit près de la porte dans ses chaussures renforcées et sa combinaison pendant que sa femme se garait dans l'allée et sortait du pick-up. le laissait tourner. Il l'embrassa au moment où elle passait près de lui et lui tendait les clés », bref la voiture tourne mais sans clés….
Ou bien celle-ci : « …Celui-ci avait des têtes de mort tatouées sur les bras et une grenade au dos de sa main droite. … Les deux hommes ne se touchèrent pas les gants,… », Je trouve intéressant de décrire l'apparence des individus voire essentiel, mais cela est difficile à imaginer que l'on puisse observer un tatouage au dos d'une main lorsqu'elle est gantée…

Hormis ces quelques incohérences, le récit est bon et intéressant, et j'avoue avoir adoré le chapitre 23 décrivant la scène de pèche familiale.
Elle est remarquable et m'a ainsi révélé tout le talent de ce jeune écrivain !

Au final, ce livre est une très bonne lecture pour les amateurs de thriller noir.
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Dans la cage. Pas celle des fauves. Encore que... Celle du fight, des combats sans autre limite que celle de la victoire complète, dans le sang et la sueur. Y retourner ou pas, ou plutôt, tout faire pour ne pas y retourner, voilà ce qui obsède Daniel, ancien champion pro.

Athlète exceptionnellement endurant, il a eu son heure de gloire dans toutes les cages d'Amérique, avant qu'un sale décollement de rétine n'interrompe son ascension. Et ses gains. Et ses rêves de vie en compagnie de Sarah et de leur fille Madelyn. Pour survivre ensuite, il a fallu que Daniel se fourvoie avec Clayton et Wallace, les caïds locaux et véreux de ce petit coin de l'Ontario où il vit désormais. Homme de main résigné, accompagnateur de leurs basses oeuvres vengeresses, il en a cogné des types qui avaient oublié ce qu'ils devaient et à qui ils le devaient. Mais maintenant, il veut raccrocher de tout cela et retrouver le cours normal de sa vie paisible.

Sauf que tirer un tel trait n'est pas aussi facile à faire qu'à décider, surtout quand le besoin d'argent se fait sentir. Remonter sur le ring ? Replonger avec Clayton et Wallace ? Il croit avoir le choix, illusion naïve du mec qui en a trop vu, trop fait et tout cela finira forcément mal.

Kevin Hardcastle - traduit par Janique Jouin - réussit avec Dans la cage à nous plonger dans une atmosphère de spirale inéluctable, qui n'est pas sans rappeler celle des westerns classiques d'antan où les ingrédients du grand moment de règlement de comptes final se mettent en place un à un tout au long du livre, avec une habile maîtrise du rythme crescendo.

Alternant les chapitres courts et d'autres un peu plus développés, il livre surtout avec Sarah et Daniel deux jolis portraits d'un couple qui aspire au bonheur mais qui se retrouve happé et passif par une réalité ou une fatalité qui les aspire chaque jour un peu plus. Non qu'ils soient résignés, mais juste incapables de mettre en oeuvre un semblant de réaction. Et le contraste entre la violence retenue chez lui ou libérée lors de ses entraînements et combats de Daniel, et l'incroyable humanité et sérénité de Sarah dans son travail avec ses résidents de maison de retraite est touchant, reposant. Mais là où j'attendais une Sarah salvatrice, elle ne restera jusqu'à la fin qu'apaisante. C'est déjà ça...

Un livre réussi, bien noir, un brin désespérant, bref, comme je les aime !

Merci à Albin Michel et à sa formidable collection Terres d'Amérique et à Babelio pour cette lecture en avant-première.
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« Dans la cage » de Kevin Hardcastle est roman noir qui se dévore comme un polar et fait songer aux recueils de nouvelles de Craig Davidson, "Juste être un homme" et "De rouille et d'os" : on y retrouve le même mélange de violence et de tendresse, de noirceur et de lumière, de pesanteur et de grâce, et ce même questionnement sur le rapport à la violence, sur ce que c'est que d'être un homme.

Daniel fait partie des laissés pour compte d'une certaine Amérique, celle des petites villes dévorées par la pauvreté et le chômage, plus jeune il a failli échapper aux fins de mois difficiles qui se succèdent, et devenir champion de boxe mais une vilaine blessure (le destin?) a brisé sa carrière. Depuis il joint difficilement les deux bouts avec sa femme Sarah, sans doute la véritable héroïne du livre, et sa fille, en devenant soudeur, puis en acceptant de jouer les gros durs auprès du caïd de la ville qu'il connait depuis son enfance. Désabusé par la violence du "milieu", Daniel décide de laisser derrière lui sa courte carrière d'homme de main et reprend le "Free Fight", un mélange de boxe et d'arts martiaux où tous les coups sont permis...

Si l'histoire, la rédemption à l'américaine, a un air de déjà-vu, l'auteur mêle subtilement les instants lumineux du quotidien, la simplicité d'un bonheur qui semble à portée de main, comme une truite arc en ciel qui s'esquive au dernier moment, la tendresse infinie qui unit le couple qui ne cesse d'entrevoir la lumière au bout du tunnel avec une forme de tension diffuse qui ne se relâche jamais, et étreint le coeur du lecteur, saisi par cette ombre glacée qui plane tel un aigle noir au dessus du destin de Sarah et Daniel ...
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Daniel a été l'un des combattants de « cage » les plus redoutés des arts martiaux mixtes, jusqu'à ce qu'une blessure ruine sa carrière. A 27 ans, après avoir été battu, Daniel retourne en Ontario, dans le comté de Simcoe, où il se met à travailler comme soudeur pour offrir une vie décente à sa femme et à sa fille. Il faut se battre chaque jour pour sortir financièrement la tête de l'eau et garder un toit.
Dans ce Canada rural, il y a peu de travail et peu d'options pour survivre. Il accepte occasionnellement de frayer avec la pègre, travaillant comme Monsieur Muscle pour un petit truand qu'il connaît depuis son enfance.
Mais le travail devient de plus en plus violent et les escrocs deviennent de plus en plus assoiffés de sang.
Daniel tente de s'extirper de ce milieu, soutenu par l'amour de sa femme mais le destin s'acharne. Il se trouve confronté à une successions de décisions difficiles, des choix dont la plupart risquent de le ruiner tant financièrement que physiquement.

On comprend alors que le titre ne fait pas seulement référence aux cages de combats mais aussi à la cage métaphorique dans laquelle la lutte contre la pauvreté enferme.
Car « Dans la cage » n'est pas un simple livre sur le fight. Il s'agit de l'histoire dure et désespérée d'un jeune homme qui souffre de la perte de son emploi et qui part en quête d'une vie meilleure et honnête pour sa famille.
C'est un livre sur le désespoir de la classe ouvrière, les pressions de la pauvreté, les pièges des communautés et la nature destructrice et transformatrice de la violence. C'est noir, c'est très noir.

L'histoire est fragmentée, on suit ce long calvaire par petite touches, passant d'une scène à l'autre avec un minimum de dialogues, mettant l'accent sur les non-dits.
Du coup l'émotion a du mal à passer et à certains moments, l'intrigue traîne en longueur.

Un roman fort mais dont j'attendais encore plus, à la lecture du bandeau publicitaire vantant un livre « dont les personnages vous briseront le coeur - John Irving ».

Merci au groupe Facebook Picabo River Book Club pour cette découverte
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Je remercie Léa du #PicaboRiverBookClub et Albin Michel pour la lecture de ce roman.
Ce roman me laisse un sentiment mitigé.
J ai eu beaucoup de mal à rentrer dans ma lecture et j ai même penser a l abandonné.
Passer les premières pages ou je n ai pas accroché au style que j ai moyennement aimer.
Puis le livre devient intéressant avec le personnage de Daniel et sa famille même si j'aurais aimer une description un peu plus développé des personnages.
Le personnage de Daniel est complexe noir. Il veut échapper à son passé mais le passé reste toujours présent. Il va trouver refuge dans la boxe pour tenter de fuir son destin et retrouver une vie "honorable" et une rédemption.
J ai trouvé la deuxième partie du roman plus prenante avec beaucoup de tension et un rythme plus intéressant ou l auteur installe une atmosphère lourde.
J ai beaucoup apprécié la lecture de ce roman pour sa noirceur.
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Peut-on réellement se refaire une virginité, rompre avec son passé, tirer un trait sur ses actes et ceux que l'on cautionnait dans un passé récent ?

Telle est la question qui se trame tout au long de ce premier roman, que, contrairement à bon nombres de camarades babéliotes, j'ai apprécié, et trouvé abouti.

Daniel est un ancien boxeur, qui a dû, pour des raisons de santé , abandonner son art. Daniel est marié à Sarah, aide-soignante dans une petite maison de retraite, et père d'une ravissante fillette, Madelyn. Daniel, qui a eu l'habitude des gros gains en boxant, doit désormais se contenter de revenus plus modestes, quand le marché de l'emploi ne l'oblige tout simplement pas à débrailler. Alors forcément, forte est la tentation de renouer avec l'argent facile. Et cela passe par fréquenter des gens pas très fréquentables où la violence fait loi.

Daniel souhaite reprendre une carrière interrompue. Y arrivera-t-il ?
Parviendra-t-il à se débarrasser de ses démons ? Et à quel prix ?

Dans la cage est assurément un roman très noir, qui se déroule dans un milieu que je connais peu. Pour moi, il montre donc une certaine originalité.
De construction assez classique, avec quelques éléments du passé qui viennent s'insérer dans le présent, l'auteur use d'un vocabulaire assez raccord par rapport au milieu. Son style est rêche, et nerveux.

S'il n'a pas l'ambition d'un roman noir exceptionnel, "Dans la cage" n'en est pas pour autant un mauvais opus. On peut juste regretter sa sortie en pleine rentrée littéraire. Une parution pré-estivale aurait sans doute été plus judicieuse, selon moi, bien entendu.

Je remercie les éditions Albin Michel et Babélio pour l'envoi de ce livre en amont de sa parution dans le cadre de la masse critique.
Lien : https://leblogdemimipinson.b..
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Une belle histoire très rythmée par les mouvements des corps qui dansent, s'affrontent, se rassurent. C'est un engrenage qui s'accélère pour un personnage principal qui ne contrôle pas grand chose.
Daniel est un boxeur qui a du arrêter les combats suite à un problème de santé. Seulement, pour cet homme bien, personne ne propose de travail décent. Il s'est reconverti en tant que soudeur mais c'est Clayton, un trafiquant violent, qui lui propose du travail.
Motivé par la vue de la maison miteuse qu'il offre à sa femme et à sa fille, Daniel fait des petits boulots pour Clayton, essaie désespérément de trouver du travail en tant que soudeur puis se remet au combat. Il commence par se rendre régulièrement à la salle de sport, reprend confiance. On lui propose un combat pour qu'il puisse gagner de l'argent. Emporté par l'euphorie de la reprise, sa confiance en lui, Daniel passe un accord avec Clayton, tout s'enchaîne, va trop vite, rien ne se passe comme prévu. Durant toute l'histoire il est pris dans des enchaimenents qu'il a à peine initié puis s'y trouve emprisonné.
Ce livre retrace l'histoire d'une petite famille soudée dans laquelle deux jours ensemble sans que l'un ou l'autre ne travaille est une exception offerte par les fêtes de Noël, où chacun veut le bien-être de l'autre.
C'était une belle lecture, un beau premier roman.

Lien : https://www.babelio.com/monp..
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