Du coup, rien de changera vraiment, car rien de compte en dehors de nous. Nous sommes le rocher au milieu de l'océan du monde.
Le flot des actions humaines peut déferler autour de nous, mais nous sommes éternelles
A cet instant, Makepeace et l'Ours comprirent tous deux quelque chose. Parfois, il fallait endurer la douleur avec patience, autrement les gens vous faisaient encore plus souffrir. Parfois, il fallait survivre à tout prix et accepter les blessures. Avec un peu de chance, et si tout le monde croyait que le dressage vous avait maté... le moment viendrait peut-être de frapper à votre tour. Page 77
Ses cheveux étaient châtains, son visage d’une laideur agréable avait une expression volontaire.
- Vous étiez une erreur , ma petite, dit-elle simplement. Mais une erreur faite en toute honnêteté.
Les morts sont comme des gens qui se noient. Ils se débattent dans l’obscurité en essayant d’agripper tout ce qu’ils peuvent. Même s’ils n’en ont pas l’intention, ils te font du mal si tu n’y prends garde...
Tu vas dormir ici cette nuit. Ils vont essayer de s'introduire à toute force dans ton esprit. Quoiqu'il arrive, ne les laisse pas entrer.
- Je n’ai pas changé. Vous ne m’avez jamais connue. Aucun d’entre vous ne m’a jamais connue.
La pensée la traversa au même instant qu’elle avait elle-même peut-être ignoré qui elle était réellement
Si nous laisson nos ennemis en moin bon état que nous les avons trouvés, ç'aura été un belle journée
L'espace d'un instant, elle eut l'impression que le château avait entendu son heure en la regardant se démener, avant de tendre une longue patte indolente de chat et de la clouer au sol comme un oiseau blessé.
Les humains sont vraiment d'étranges d'animaux, songea-t-elle. Nous nous adaptons si vite à n'importe quoi. Peut-être serions-nous capables de nous habituer même à l'enfer.