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sur 85 notes
Nella est assistante dans une grande maison d'éditions new-yorkaise. C'est chez Wagner qu'est paru son livre préféré : Coeur brûlant, écrit par une écrivaine noire et défendu par éditrice noire, elle aussi. Depuis deux ans, elle est la seule femme noire employée dans les bureaux. Elle organise des débats pour sensibiliser l'entreprise à la diversité, elle espère, également, faire évoluer le monde éditorial, qui, selon elle, caricature les noirs dans la littérature. Hélas, elle est seule à se battre et elle n'est pas entendue : condescendance, micro-agressions, préjugés, elle souffre du racisme quotidien et banalisé. Elle est tiraillée entre son envie de défendre ses convictions et la peur de perdre son poste. Aussi, elle se réjouit lorsqu'une autre femme noire est embauchée. Elle se projette : à elles deux, elles vont pouvoir changer les mentalités, d'autant plus que la nouvelle, Hazel, est très affirmée et revendique sa culture afro-américaine.


Nella admire Hazel et est heureuse d'avoir une alliée. Sa collègue est très sympathique et paraît appréciée de tous. Pourtant, lorsque des évènements troublent Nella (elle se sent épiée et reçoit des lettres l'invitant à quitter Wagner), Hazel ne lui apporte pas le soutien qu'elle escompte, elle semble jouer sur plusieurs tableaux et souffle le chaud et le froid.


Black girl est un suspense, cependant le fond est une volonté de montrer le racisme ordinaire et de faire entendre la voix des minorités. Il montre que la discrimination positive entraîne des situations caricaturales, que les préjugés ne sont pas éteints, et que le monde, en particulier celui du travail, a tendance à vouloir faire entrer les gens dans des cases. J'ai été sensible aux messages de l'auteure. Cependant, peut-être parce que je ne suis ni noire et que je ne vis pas aux Etats-Unis, la perception de Nella au sujet des relations interpersonnelles m'a dérangée. J'ai eu la sensation qu'elle les analysait toutes sous le prisme des couleurs de peau. J'ai eu l'impression qu'elle m'accusait d'agression raciste, simplement parce que je suis blanche, alors que je ne me reconnaissais pas dans les attitudes qu'elle dénonce. Même si la volonté de l'auteure est légitime, j'aurais aimé que le propos soit plus nuancé. de plus, certains faits m'ont semblé comparables à ceux que l'on observe dans de nombreux cadres professionnels et qui naissent de la jalousie, de la rivalité ou de l'ambition. J'ai reconnu des comportements d'anciennes relations de travail : ceux-ci étaient simplement liés à leur personnalité et visaient indistinctement les personnes. Ce n'était pas toujours lié à un sentiment d'injustice. Ecraser les autres pour se faire bien voir peut avoir des sources différentes.


J'ai beaucoup aimé le suspense qui entoure les menaces envers Nella. J'ai eu le cerveau embrouillé par le mystère et j'ai apprécié de ne pas savoir de quel côté venait le danger, ni qui avait intérêt à s'en prendre à cette jeune femme. Jusqu'à la fin, j'ai été happée par le climat anxiogène. Même si la conclusion me paraît un peu tirée par les cheveux (cette partie du corps tient une place importante dans l'histoire), j'ai apprécié le chemin pour y accéder.


Mon avis est en demi-teinte, car si j'ai pris plaisir à lire Black girl, que j'étais impatiente de le reprendre et aussi de connaître l'issue, les éléments que j'ai développés précédemment, ont un peu terni mon ressenti.


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Nella travaille dans la prestigieuse maison d'édition Wagner à New York. Lorsqu'Hazel est recrutée, elle est heureuse de ne plus être la seule jeune femme noire à bord, d'autant qu'Hazel revendique haut et fort son identité. Mais au lieu de devenir des alliées, leur rencontre va tourner à l'affrontement...
La peinture du monde éditorial américain (que l'auteure connaît très bien) est à la fois réaliste, cinglante et sans pitié, pointant les abus de l'obsession du politiquement correct sous couvert de progressisme. Nella va se rendre compte, sans pouvoir réagir à temps ou de manière adéquate, que sa collègue prend progressivement sa place auprès de son éditrice, qu'elle la pousse consciemment à l'erreur (par exemple en la poussant à critiquer le dernier texte d'un auteur phare de la maison) et s'attribue ses idées en matière de diversité. Des lettres anonymes en forme d'avertissement commencent également à lui parvenir...
J'ai apprécié tout ce qui touche aux rapports de pouvoir et aux méthodes de travail des éditeurs, la manière aussi dont l'auteure met en place une atmosphère de plus en plus anxiogène pour son héroïne. En revanche, les aller-retour entre passé et présent et tous les personnages afférents m'ont complétement perdue en chemin. Ceci étant, c'est une lecture qui soulève grand nombre de problèmes fondamentaux autour de la discrimination en entreprise, et rien que pour cela elle est très recommandable.
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Avec « Black Girl », nous nous retrouvons au coeur d'un roman qui a tous les codes d'un thriller psychologique point de vue émotion. Si nous faisons d'abord la connaissance en douceur de Nella, notre héroïne, le sentiment anxiogène monte crescendo au fil des pages. Pour cet aspect de l'intrigue, on ne peut rien reprocher, le scénario est bon et très bien pensé.

Nella, c'est une jeune femme qui a réalisé son rêve en entrant aux Éditions Wagner en tant qu'assistante d'édition. Si elle en est là aujourd'hui, c'est uniquement grâce à son travail et à sa persévérance. de culture Afro-Américaine, la mixité n'est malheureusement pas encore rentrée dans les moeurs et il lui a fallu se battre deux fois plus que les autres pour qu'on accepte la place qu'elle occupe aujourd'hui. Seule femme de couleur, Nella se bat tous les jours pour faire changer les mentalités, tiraillée par l'envie de faire entendre sa voix et la peur de perdre son emploi. Alors, c'est d'un bon oeil qu'elle voit arriver au bureau cette nouvelle « comme elle ». Seulement, au même titre que Nella, nous voici vite déstabilisé par l'aplomb et l'opportunisme de cette Hazel dont l'hypocrisie nous saute rapidement aux yeux.

Sur la trame principale, j'ai bien aimé ce livre. Malheureusement, c'est sans compter sur la façon dont est montée l'intrigue : en épingle sur un rythme de chapitres alternant avec une autre histoire parallèle. Certes, les deux directions se rejoignent à la fin mais trop lentement à mon goût. Je me suis débattue entre ces pages auxquelles je ne comprenais rien. Reprenant le fil au nouveau chapitre puis le perdant de nouveau au chapitre suivant. du coup, cette lecture m'a semblé longue et interminable. Je ne suis pas arrivée à suivre et j'en suis vraiment la première peinée car j'avais bien accroché au récit de base et à ses personnages. de plus, l'écriture me plaisait bien. Pour ne rien arranger, suis-je la seule à trouver le dénouement complètement invraisemblable ?

Pour moi, cette fin est une réelle déception. Cet ouvrage qui m'avait paru riche et utile en abordant des thèmes importants comme le racisme et la discrimination au travail a perdu toute rationalité en fin d'ouvrage. Ce qui n'a fait qu'accentuer la désillusion. Vraiment dommage, pour ma part : ce livre et moi, ne nous sommes pas trouvés.

Critique complète sur : www.placedesbouquins.com
Lien : https://placedesbouquins.com..
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Vous est-il déjà arrivé de vous sentir observé ? Parce que Nella Rogers oui, et elle a toutes les raisons de le croire. Lettres et coups de fil anonymes, surveillance intensive, trahisons... Dans Black Girl, vous n'êtes pas au bout de vos surprises !

Pourtant ça commençait plutôt bien pour elle : assistante d'édition aux éditions Wagner depuis 2 ans, elle venait tout juste d'être rejointe par une autre femme noire au sein de son service. Enfin quelqu'un pour la soutenir dans ses démarches et peut-être même faire avancer les choses en terme de diversité ! Sauf que... Hazel est-elle vraiment une alliée ?

J'attendais beaucoup de cette lecture, mais certainement pas un thriller psychologique ! A la manière d'un puzzle, l'autrice pose les pièces tour à tour mais ne nous donne aucune indication sur comment les assembler. Tout au long du roman, je n'ai cessé de me demander "Mais que se passe-t-il ?!". J'avançais, sentant la tension monter, mais incapable de savoir pourquoi. Et ce n'est qu'en lisant les dernières pages que j'ai compris : comme Nella, j'avais été manipulée.

Le plus terrible selon moi, c'est que cette manipulation s'appuie sur l'épuisement d'un combat contre le racisme, et plus précisément contre le racisme ordinaire. Même si Nella, en devenant la première personne noire à un poste à responsabilité chez Wagner, prouve qu'il n'est pas impossible d'évoluer dans un milieu blanc, cela reste épuisant. Car il faut sans cesse se défendre, se justifier, expliquer pourquoi telle ou telle chose ne peut pas être dite ou interprétée de la sorte. Non, faire une réunion sur la diversité ne suffit pas si des actions ne sont pas engagées derrière. Non, ajouter un personnage noir dans une histoire n'en fait pas un livre plus inclusif, surtout quand ce même personnage est extrêmement caricaturé, etc. Toutes ces réflexions au sujet du racisme et des micro-agressions sont vraiment très justes et bien amenées, même si malheureusement elles mèneront Nella à sa perte...

Quant à la fin du roman, j'en reste encore troublée. Je ne m'attendais pas à tant de folie, mais après tout, quitte à jouer le jeu jusqu'au bout, pourquoi ne pas finir ce thriller sur une note glaçante ?

Merci Calmann-Lévy pour la découverte, c'est vraiment un premier roman très réussi !
Lien : https://mangeonsleslivres.bl..
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Ça commence comme un roman sociétal sur la vie professionnelle des femmes noires américaines et petit à petit on se retrouve dans un thriller à la Jordan Peele...
Nella, assistante éditoriale, est la seule femme noire de la boîte où elle travaille : une grande maison d'édition. Elle aimerait que ça évolue, mais personne n'a l'air plus motivé que ça. Tout change le jour où Hazel, une autre jeune femme noire, est engagée. Nella croit d'abord que les mentalités vont finir par changer, mais il se trouve que plus les jours passent, plus Hazel semble gagner l'estime de la Direction et plus Nella semble la perdre. le pire, ce sont ces petits mots laissés à son intention et qui lui intiment de quitter l'entreprise au plus vite !
La vie de Nella bascule, tout semble se liguer contre elle et elle va enquêter pour comprendre d'où viennent ces menaces, pourquoi le comportement d'Hazel semble si étrange et tenter de regagner la confiance de sa cheffe.

On peut sembler un peu perdu au départ, car on ne connaît pas tous les personnages d'emblée, mais on apprend à reconstituer le puzzle soi-même et à découvrir ce qui se trame dans la vie de Nella (et de quelques autres femmes), ce qui est très gratifiant quand on comprend tout les rouages de cette intrigue.
En tant que française blanche, j'ai découvert des tas de choses sur la vie d'une femme noire américaine, car même ayant fait, au début du siècle..., des études de civilisation américaine, le programme ne comportait pas tant de précisons quant aux problèmes rencontrés par les afro-américaines (et pas que le racisme).
Ce roman fut une excellente surprise, tant par ce qu'il m'a appris que par son intrigue haletante qui pourrait presque le placer dans la catégorie thriller (mais sans morts) !
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La prestigieuse maison d'édition Wagner à New York avait mis en lumière le livre préféré de Nella, c'est la raison pour laquelle elle avait postulé au poste d'assistante d'édition.

" Elle voulait marcher dans les pas des deux femmes qu'elle avait étudiées avec assiduité à l'université. Elle voulait s'asseoir au bureau où Kendra Rae Phillips et Diana Gordon s'étaient assises lorsqu'elles avaient remanié ce texte. "

Nella est noire, la seule dans cette maison, elle a bien essayé de parler de mixité.. comme de plaider davantage la cause des livres écrits par des écrivains noirs sur des personnes noires seulement " elle avait été gentiment ignorée " , jusqu'au jour ou une nouvelle assistante est arrivée, noire elle aussi. Mais la couleur étant, ont-elle les mêmes objectifs ? Qui se cache derrière cette fameuse Hazel, celle qui fait tomber chaque personne nous son charme en quelque jour après son embauche ? Nella est torturée, entre la bienveillance trop envahissante de sa collègue et ce quelque chose qui semble pas clair, " quelque chose clochait en elle. " Entre être le plus sincère avec elle même en osant dire ses propres opinions concernant des manuscrits ou se taire afin de préserver sa place ….

Tout un monde, ce monde de l'édition ! Découvrons ainsi les dessous…pourquoi un auteur est plus édité qu'un autre ….. Quelles sont les véritables raisons derrière le lancement d'un auteur, d'un livre ? Les éditeurs sont ils sincères et justes ? Personnellement il m'a séduite dans le sens où cela fait un an que je travaille pour une petite maison d'édition.....

Et puis le regard sur les personne de couleur, je ne comprendrais jamais ces différences. Cela peut il changer un jour ? Un sujet qui me touche de très près...Et pour l'anecdote, en terminant cette lecture, mon mari en rentrant de son bureau m'a annoncé qu'un nouvel employé venait d'être embauché, et un noir. Depuis le début de sa carrière, mon mari a toujours été seul homme de couleur dans son milieu professionnel....Nous venons de le réaliser !!!!

A travers les pages de ce tout premier roman, Zakiya Dalila Harris a le don de nous transporter dans une histoire surprenante empreinte d'un suspens terrible.

Une très belle découverte !


#BlackGirl #NetGalleyFrance
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Nella travaille dans une grande maison d'édition où elle souffre du manque de diversité. Tout change le jour où Hazel est recrutée. Contrairement à Nella, elle n'a pas peur d'exprimer ses opinions et à revendiquer haut et fort sa culture afro-américaine. Ensemble, elles pourraient se serrer les coudes et faire bouger les choses. Mais, peu de temps après l'arrivée d'Hazel, Nella reçoit des lettres de menaces l'invitant à quitter l'entreprise. Doit-elle se méfier d'Hazel ?

Le résumé m'a tout de suite attiré. J'ai mis un peu de temps à rentrer dans l'histoire mais une fois que j'ai commencé à apprécier Nella, personnage principal du roman, j'étais lancée. le suspense monte petit à petit et on a très envie de connaître l'auteur.e de ces fameuses lettres de menaces.

Malheureusement, je pense être passée à côté d'une partie de l'intrigue. La construction du roman est assez particulière, on alterne entre passé et présent sans comprendre qui sont les narrateurs et quel est leur rôle dans l'intrigue. C'est seulement à la fin que toutes les pièces du puzzle se rassemblent mais mon engouement est redescendu en chemin. Ce manque de fluidité m'a empêché d'apprécier pleinement cette histoire qui, pourtant, partait très bien.

Le contenu est super intéressant et très riche, j'ai beaucoup appris sur la culture afro-américaine, la discrimination en entreprise et la représentation de la femme noire dans le domaine de l'édition. C'était un roman étonnant avec une écriture plaisante et une intrigue qui m'a dans un premier temps captivée pour me laisser confuse par la suite. Je vais être honnête, j'ai trouvé la fin pas du tout crédible et même ridicule. En bref, un thriller prometteur mais qui ne m'a pas pleinement convaincue.

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Ce roman traite d'un sujet actuel et très important. Il parle de la diversité au travail et notamment dans la culture, là où la représentation de tous est importante.
Nella travaille dans un grande maison d'édition New-Yorkaise. Elle est la seule personne noire à y travailler et ressent parfois les regards et est tiraillée entre montrer ses convictions et rester discrète pour conserver son travail. Un beau jour, une nouvelle employée arrive au bureau. Elle est noire et révendique fièrement et ouvertement le fait d'être américaine, tout ce que souhaiterait faire Nella. Mais cette dernière commence à recevoir des lettres de menaces et commence à soupçonner la nouvelle jeune femme d'en être à l'origine...

C'est un texte que l'on peu décrire de militant car il aborde des sujets de société et la problématique de représentation de la femme noire dans le milieu du travail. On comprend facilement les revendications de l'autrice et son récit nous emmène exactement là où elle veut aller. Malheureusement, j'ai trouvé ça un peu trop long et je pense que le roman aurait eu à y gagner à être un peu plus court. de plus, je ne me suis pas particulièrement attaché aux personnages, ce qui ne m'a pas permis de rester accroché jusqu'à la fin.
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Nella Rogers travaille dans une prestigieuse maison d'édition (les Éditions Wagner) et voit d'un bon oeil l'arrivée d'une nouvelle assistante afro américaine (comme Nella) dans une profession ou la diversité est loin d'être une généralité. Mais l'arrivée d'Hazel est-elle finalement une bonne nouvelle ?
Bienvenue dans le monde du travail, ici dans l'édition, Zakiya Dalila Harris pointe avec talent, le quotidien d'une jeune femme noire brillante et ambitieuse. Mesquineries, suspicions, intimidations, Nella voit un avenir prometteur remis en question par des petits évènements à priori anodins. Harris plonge petit à petit son héroïne dans une forme de mal être d'autant plus grandissant que la menace se rapproche. le roman mêle habilement suspense et questionnement. Il parle de la représentation d'une communauté (ici la population afro américaine) et de discrimination positive. Comment mener une carrière ou seule la reconnaissance de son travail sert d'indicateur pour évoluer et non pas en regard de son milieu social, de sa couleur de peau ? Petit à petit Harris distille un venin qui met le lecteur (comme Nella) dans une ambiance anxiogène, pesante. Riche en dialogues (un peu trop ?) et réflexions sociologiques "Black Girl" fini par imposer son style.
Un premier roman qui révèle une nouvelle voix et qui montre que le chemin est encore bien long sur l'égalité des chances.
Merci aux Éditions Calmann Levy et à Babelio pour cet envoi.
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Après s'être sentie longtemps seule dans son environnement professionnel, Nella est ravie de voir arriver cette nouvelle collègue avec laquelle elle se voit déjà plein de points communs. Pourtant, les apparences sont parfois trompeuses ... Nella s'en rendra compte peu à peu en faisant les frais de cette relation dont on elle attendait tant.
Un livre à l'intrigue intéressante et qui fait froid dans le dos !
Un livre qui interroge aussi, sur ses principes et les compromis qu'on accepte d'y faire ...
Néanmoins, une lecture qui fut laborieuse pour moi. J'avais l'impression d'avoir en face des yeux des pièces de puzzle sans avoir la moindre idée de ce qu'elles représentaient et de ce qu'allait être l'image finale.
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