C'est ça aussi l'amitié, pouvoir dire oui ou non à un ami sans se fâcher, sans se vexer. (p.10)
C'était ça le bonheur pour Pierre. [...] Mais comment aurait-elle pu comprendre tout ça, l'assistante sociale, elle qui, probablement, n'avait jamais travaillé la nuit, n'avait jamais travaillé aussi dur que Lili ? Elle n'avait vu que le désordre, la vaisselle dans l'évier et les marques des coups de Frédo sur Pierre.
"Et c'est ainsi que Samir quitte le foyer dans lequel il a passé les dix premières années de sa vie."(p.48)
« Après la cérémonie, Pierre repart pour le foyer. Il a refusé l’argent que Fredo a voulu lui glisser dans la poche. Il ne veut pas de cet argent la. Et puis, qu en ferait-il au foyer? » p.69