L'Année de la sauterelle

Après Pilgrim, le 2ème livre de Hayes était attendu après plus de 10 ans d'attente. Même si nous restons dans le monde de l'espionnage et que nous apprenons beaucoup de choses nous n'atteignons pas les sommets de ilgrim (qui étaient difficilement atteignables cependant).
Pour moi il y a 2 raisons : le style qui est moins fluide et ensuite la cohérence de l'histoire.
Sur ce second point, la bonne nouvelle c'est que nous avons presque 2 livres en 1 (donc pour le prix d'un livre on a presque 2 histoires), la mauvaise c'est que le dernier tiers (ou plutôt entre la 400ème et 600ème page), nous sommes embarqués dans un autre univers/monde assez loin du monde de l'espionnage et le livre perd son charme initial... bref nous sommes un peu perdus par ce changement de style.
Malgré tout le livre se lit bien et vite (même si c'est un gros pavé) ...mais assez loin de la qualité de Pilgrim

Je suis enchantée de cette lecture qui m'a emportée le temps d'un WK dans l'univers stressant et dangereux de l'espionnage sur un rythme effréné, j'ai eu du mal à lâcher le roman.
Le roman est dense et on ne s'ennuie pas il y a vraiment de l'action et du suspens c'est vraiment très réussi. Les personnages ne sont pas en reste et j'ai bien aimé le méchant qui est vraiment un horrible personnage très bien rendu.
Mais le must pour moi c'est cette bascule dans l'univers de l'anticipation qui est plutot bien réussie. Je ne peux pas en dire plus :)
Au final je vais devoir lire Je suis pilgrilm que j'avais laissé sur ma PAL jusqu'à aujourd'hui.

J'ai lu je suis Pilgrim du même auteur son deuxième roman est un monument, pourquoi?
D'abord la couverture du roman qui est représenté par des ailes de sauterelle et puis le roman est en quatre parties. Les deux première s'est l'histoire d'une légende de l'agence CIA. l'aventure ce situe en Iran en passant par le Pakistan et l'Afghanistan. 400 pages d'une infiltration pour prendre contact avec un messager. En option au début du roman une intrique avec un de leur agent qui les a doublés. Les deux dernières parties histoire se trouve dans la science fiction. Je vous en dis pas plus car sa vaut le détour sur 386 pages. Bravo pour l'auteur écrire tel roman d'espionnage.

Quel choc ! Gros coup de coeur pour ce roman d'espionnage !
J'avais beaucoup aimé je suis Pilgrim, même si j'avais le souvenir d'une lecture parfois un peu longue, avec du coup un ressenti en dents de scie : des passages parfois addictifs puis une centaine de pages un peu moins entraînantes.
Ici, sur les 1050 pages de la version numérique (que je ne m'explique pas versus les à peine 600 pages annoncées sur le site de l'éditeur pour le format papier), je n'ai pas décroché une seule fois des aventures de Ridley, l'espion de la CIA. le rythme est totalement dingue, pas une seule page d'ennui. J'ai eu un peu peur sur la deuxième partie du livre quand l'histoire prend un tour totalement à contre courant de ce qu'on attendait (on part de l'espionnage vers la SF), mais une fois que le pli a été pris, pareil impossible de décrocher.
Bref, j'ai adoré navigué entre le Pakistan, l'Armée des Purs, la Grèce, le sous-Marin, et puis le voyage dans le temps aussi.
Merci à Netgalley et JC Lattès pour cette lecture.

Pilgrim est un des rares livres que j ai relu plusieurs fois, il était donc évident pour moi de lire l'année de la sauterelle. Malgré un début un peu poussif, du aux nombreuses digressions de l'auteur, la dernière partie nous emmène malgré une charnière des plus étonnante.
On appréciera malgré tout la précision de l'auteur sur le milieu du renseignement, qui vient nourrir le stress des missions d'infiltration. Pour ma part, j'apporterais une mention spéciale aux nombreuses citations qui viennent enrichir le roman, un véritable plus pour ma culture.

J'avais été captivé par Pilgrim et étais impatient de lire "l'année de la sauterelle". C'était bien parti ... les premiers chapitres sont de la même veine, et puis le rythme change, (cela devient lent), le style change (cela devient plat), le thème change (le roman d'espionnage devient de la SF), et cela devient tellement convenu, tellement déjà vu, tellement prévisible que j'étais content de terminer ce pavé (la fin est prévisible 200 pages avant la fin). Grosse déception.

ÉNORME coup de coeur que je n'avais absolument pas vu venir !

Le rythme est tellement effréné que j'avais parfois du mal à respirer.

Quelle tension, quel travail de recherche, quel monument !

Le livre a beau être une grosse brique de 700 pages, l'addiction est tellement forte que les chapitres s'enchaînent sans qu'on s'en aperçoive.
Quel extraordinaire voyage ! Je suis surpris dans le meilleur sens du terme et épaté au plus haut point.

Un roman implacable, épatant et d'une puissance dingue qui m'accompagnera encore longtemps.

FONCEZ !!!

Hello la compagnie!

Aujourd'hui, on change de registre..

Vous aimez les romans d'espionnage, la CIA, les techniques de guerre, la traque à travers les pays ayant la situation géopolitique la pire au monde de l'être le plus dangereux au monde, la lutte du bien contre le mal, le tout mêlé à des scènes de combat d'anthologie, avec des armes euh, je sais pas si elles existent pour de vrai mais après tout rien ne m'étonne!!! Et surtout ce qui a fait le "charme" de ce roman, à de la science fiction, car oui j'admets j'en lis peu mais de temps en temps ça m'amuse et ça me rappelle les films que je regardais plus jeune, donc si vous aimez tout ça vous pouvez vous engager pour les 686 pages du roman, sinon passez votre chemin car c'est long 686 pages...

Perso je ne me suis pas ennuyée une minute. Tout va très vite, on voyage beaucoup au Moyen-Orient, en Russie, en Europe de l'est. Ridley Walker (est-ce son vrai nom d'ailleurs ?) un agent de la CIA doit exfiltrer un informateur d'Afghanistan, un homme qui leur parle d'un attentat, "un feu d'artifice" sur un lieu stratégique de la planète.

Bien évidemment rien ne se passe comme prévu même si la CIA a tout calculé. Là, le roman bascule dans un improbable scénario très américain où un homme va sauver l'humanité d'un fou furieux.

Je suis bon public donc je me suis plutôt amusée Terry Hayes est le scénariste de Mad Max II, il peut se permettre ce genre de folie, de digression, d'histoires dans l'histoire. Et je l'ai eu mon feu d'artifice car l'auteur a vraiment une imagination débordante et alors que tu crois lire un roman d'espionnage tu te retrouves à lire ... autre chose mais je ne peux vous en dire plus, ça serait le plus grand spoile de l'histoire de l'humanité.

ATTENTION : Ce roman nécessite des pop-corns et un fauteuil confortable !!!

Alors, espionnage et science-fiction c'est votre dada?

Moi? Je vais maintenant lire Je suis Pilgrim!

Comme beaucoup, après 10 ans d'attente après "je suis Pilgrim" je me suis rué sur ce roman.
Ce livre se décompose en 4 chapitres.
J'ai vraiment aimé les 3 premiers, une mission quasi suicide, une chasse à l'homme, des descriptions de nombreux états, une foultitude de détails intéressants concernant le fonctionnement de la CIA.
Mais voilà pourquoi un 4 ème chapitre de science-fiction, j'avoue que j'ai failli arrêter là ma lecture.
Finalement je me suis dit que c'était trop bête, alors je suis au bout, et pour ma part quelle déception.
Cela m'a gâché une partie de ce livre pour lequel j'aurai pu sinon mettre 5 *

Avis mitigé sur ce roman que j'attendais depuis longtemps tant j'avais aimé « je suis Pilgrim ».
La première partie de « l'année de la sauterelle » s'inscrit dans la digne lignée de ce dernier. L'écriture est très descriptive et documentée, entraînant le lecteur dans les paysages hostiles parcourus par le narrateur.
La deuxième partie du roman est une succession de péripéties rocambolesques, dont je ne dévoilerai rien sous peine de spoiler le roman, qui m'ont franchement déplu tant elles sont en rupture totale avec la première partie.
J'ai eu beaucoup de mal à aller au bout, l'histoire devenant non crédible… je sors donc déçue de ma lecture mais je mets quand même la moyenne pour la première partie du roman!