Dajê Nin aimait pêcher sur le Mékong. Qu’il fut le plus grand mathématicien de son temps ne semblait pas lui importer. A l’heure des premiers camps sur la planète Mars, Dajê Nin sortait tous les jours de la maison de bambou qu’il avait héritée de ses parents, il sifflait son cormoran apprivoisé et montait dans sa barque : le cormoran se posait sur le perchoir aménagé à la poupe, Dajê Nin lui caressait le cou et lui passait le muselet. Se redressant, Dajê Nin se sais... >Voir plus