AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,96

sur 2056 notes
5
39 avis
4
53 avis
3
22 avis
2
2 avis
1
0 avis
Tintin, jeune reporter que l'on ne présente plus se retrouve mêlé (une fois de plus) dans une affaire qui sent le roussi ! Dans cet album, Tintin, intrigué par le crash d'un mystérieux avion, poursuit le docteur Müller et va jusqu'en Ecosse, sur la très redoutée Île Noire où il découvre de multiples secrets. le scénario est intriguant, les illustrations d'Hergé magnifiques et les situations toujours comiques (Maladresse des Dupondt Milou îvre …). C'est une splendide BD que j'ai redécouvert avec joie !
Commenter  J’apprécie          120
L'île noire m'a assez surprise car je n'avais plus aucune idée qu'il se déroulait en écosse, ma région du monde fétiche. D'ailleurs, comme dans le Lotus bleu, Tintin s'habille à la dernière mode de l'endroit qu'il visite et revêt un magnifique kilt. Milou teste quant à lui le whisky.

Pour ce qui est de l'intrigue, nous en sommes encore et toujours en train de déjouer un traffic. Les cigares, l'opium, la fausse monnaie… Tintin se spécialise dans la même histoire, encore et encore.
Commenter  J’apprécie          120
Cet épisode écossais des aventures de Tintin m'avait un peu moins plu car l'intrigue me semblait un peu plus sombre, à l'image de sa couverture légèrement inquiétante. En plus, Haddock n'est même pas là...
Commenter  J’apprécie          120
Je poursuis la relecture de mes bande-dessinées de jeunesse.
Quoi de plus classique et fondamental qu'un Tintin ! L'inventeur de la BD franco-belge !! (ou presque...)
Je choisis ce tome là: L'île Noire, paru en 1938 parce qu'il est peut-être moins connu que d'autres et que je ne m'en rappelais plus vraiment.

Histoire très linéaire, plus qu'une aventure, il s'agit d'une course-poursuite qui nous fait voyager vers l'Angleterre et l'Ecosse. Tintin est ici sans ses compères Haddock et Tournesol qui n'apparaitront que dans les tomes suivants. Heureusement, les détectives Dupon(d)-(t) sont là pour apporter une touche d'humour. Milou a aussi un rôle assez important et enrichit un peu l'histoire.

Même si l'histoire se lit agréablement, la succession des rebondissements scénaristiques est un peu répétitif, voir tiré par les cheveux. Reste l'aspect historique et fondateur pour ce genre littéraire.
Commenter  J’apprécie          120
Avion, train, voiture, caravane, paquebot, canot à moteur, hydravion... L'Île Noire nous offre une course-poursuite effrénée où tous les moyens de transport sont bons. Quitte à envoyer Tintin en Grande-Bretagne, autant rappeler tout ce que la locomotion humaine doit à l'Angleterre !

Loin de l'enfilage des 1ers albums mais toujours amateur des pauses gagesques et des multiples rebondissements qui émaillent le récit, Hergé nous embarque dans l'action dès la 1ère planche et laisse Tintin pour mort dès le bas de la 2ème. Ça démarre fort et ne s'arrête jamais. On se croirait dans Mort aux trousses d'Alfred Hitchkock. Et dire que Tintin et Milou se la coulaient douce en vacances dans la campagne belge !

Moderne dès sa 1ère version en 1936 et noir et blanc, L'Île Noire est aussi un récit d'aventure empreint de fantastique, façon Île au trésor enrichie au Chien des Baskerville. La brume écossaise et la première île que Tintin rencontre sur son chemin sont propices aux légendes. Aussi rationnel et moderne que son héros, Hergé n'hésite pas à changer le trésor habituel en une rotative. Comme si les faux billets des trafiquants  avaient des (faux !) airs d'albums de Tintin désormais imprimés en séries et des revenus associés pour Hergé.

Un album qu'on lit d'un seul trait, le souffle haletant du début à la fin.
Commenter  J’apprécie          110
L'Ile Noire, c'est avant tout un titre et une couverture. Un kilt, une ruine perchée sur un rocher abrupte, une mer gris-bleu, un ciel incertain … . Ca ressemble diablement à l'Ecosse tout ça ! Et moi, j'aime bien l'Ecosse !

Mais avant de filer frissonner tout au nord du Royaume Unis, ce « Tintin chez les Britishs » va nous balader un peu chez nos voisins anglo-saxons ! Et le moins qu'on puisse dire, c'est que l'ambiance est superbement rendue, portée par une ligne claire nettement plus fouillée que celle des albums précédents. La raison ? Une exception dans l'univers Tintin !!! L'Ile Noire est en effet le seul album a avoir été modernisé à deux reprises : 1943 et, surtout, en 1966. Tout comme Les Cigares du Pharaon (modernisé tardivement), il dénote donc par son graphisme au milieu des albums qui l'encadrent chronologiquement. Rien à voir avec certains « vides » de l'Oreille Cassée : ici, tout est merveilleusement détaillé et remis à l'ordre du jour.

Bref, le rendu est génial. La campagne anglaise, ses cottages, son manoir, ses trains (mention spéciale) sont très beaux. Les paysages écossais ne le sont pas moins, et l'ambiance globale est totalement immersive, avec une petite touche de monstre mystérieux qui va si bien à cette charmante contrée. Pas besoin de foret amazonienne ou tombeaux égyptiens pour s'évader !

Côté scénario, on est dorénavant plongé, avec Tintin, dans de belles histoires policières, structurées, cadrées, cohérentes. Alors évidemment, chose qui n'arrive à peu près jamais dans la vraie vie, Tintin se prend une balle en se promenant dans la campagne belge. Mais passons … . le reste s'enchaine bien. Les méchants sont là et ont toujours des têtes de méchants. Arrive ainsi un nouveau personnage de la galaxie Tintin : le Docteur Muller. On le retrouvera plus tard mais là, il est le chef d'un réseau de fausse-monnaie. Monnaie courante à l'époque semble-t-il … . Un médecin tendance nazi, des acolytes russes, voilà qui cadre bien à l'époque de parution de l'album … 1938 … . Hergé et l'histoire !

Et puis nos Dupondt sont toujours là ! Non seulement, ils rendent l'aventure plus familière, mais surtout, ils apportent cette note humoristique qui est indéniablement liée aux récits d'Hergé. La planche 55 consacrée au meeting aérien est un moment particulièrement savoureux ! Pour ce qui est de l'enquête, on laisse faire Tintin ! Les Dupondt sont drôles et c'est déjà pas mal !!

Un très bel album donc, où scénario et graphismes sont réunis pour poser définitivement Tintin dans son monde. Milou est enfin redevenu un chien qui ne parle plus à son maitre mais préfère aboyer et chasser le lièvre. Et c'est très bien ainsi. D'autres personnages vont rapidement entrer en scène et combler ce petit vide.
Commenter  J’apprécie          110
Au lendemain de mon 78e anniversaire, j'ai relu L'île Noire, un Tintin paru en 1938, colorisé en 1943, et qui a donc à peu près mon âge. Cela pour conjurer la malédiction des « 7 à 77 ans » fatidiques, décrétée par je ne sais quel éditeur atteint de jeunisme idolâtre. Je suis ensuite passé à L'oreille cassée, puis au Sceptre d'Ottokar, qui font, comme L'île Noire, partie des albums dont ma mémoire n'avait gardé aucune trace.

J'ai été frappé, dans ces premiers opus, par l'usage récurrent de gags et procédés comiques empruntés aux films burlesques (poursuites effrénées, chutes à répétition, collisions et accidents improbables dont les victimes, surtout Tintin, sortent indemnes comme par miracle). Hergé, comme pas mal d'auteurs de la BD à ses débuts, a été assez naturellement influencé par le cinéma. Et vice-versa puisque, chronologiquement, le 9e art a précédé le 7e. le comique burlesque de ces albums initiaux est surtout incarné par les Dupond/t. Ils seront ensuite rejoints dans cette fonction par Haddock et Tournesol, voire la Castafiore, un des seuls personnages féminins de la saga tintinabulesque. Une saga qui n'a pas trop mal vieilli, somme toute, sauf sur ces deux points : comique et féminisme.
Commenter  J’apprécie          110
Tintin file en Ecosse où un gorille hante un manoir isolé sur une île rocheuse. En voulant aider un avion en difficulté, Tintin se fait tirer dessus. C'est le début d'une des plus palpitantes aventures du célèbre reporter. Poursuivant ses assaillants, nous le retrouvons sur une île rocheuse écossaise, réputée comme étant le repère d'une "bête" mystérieuse, mais abritant en fait une bande de faux-monnayeurs. Après diverses péripéties, Tintin mettra bien évidemment fin à ces activités illicites et révélera au grand jour la véritable nature de la bête.
Un beau voyage vers L'écosse avec ses légendés du Loch Ness. Une belle lecture
Commenter  J’apprécie          110
Dans cet album, Tintin part en écosse, où il va mettre des bâtons dans les roues de faux monnayeurs. Il fait la rencontre, pour la 1ère fois du Dr Muller. Il va se rentre à l'île noire où trône les ruines du château de Ben More, que l'on dit maudite et hanté par une bête.

Les images de cet album son magnifique et Hergé fait monter le suspense au fur et à mesure. Une album que j'aime beaucoup. J'aime aussi beaucoup la tenue de Tintin en kilt.
Commenter  J’apprécie          110
Juste un mot pour dire que je conseille vivement la nouvelle version saintongeaise de ce classique à toute personne intéressée. La traduction est très soignée et beaucoup d'efforts ont été faits pour rendre l'humour. le tout n'est pas facile à déchiffer, même pour un local comme moi né et élevé au coin du Subiet, mais le glossaire est très complet et il y a... des images!
Commenter  J’apprécie          110




Lecteurs (8867) Voir plus



Quiz Voir plus

Tintin, presque...

Tintin est ... ?

rapporteur
reporter

5 questions
477 lecteurs ont répondu
Thème : HergéCréer un quiz sur ce livre

{* *}