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2,85

sur 62 notes
Pfff ! C'est vrai qu'il n'est pas terrible ce bouquin !
Je ne peux que rejoindre l'avis d'autres lecteurs au sujet de cette lecture fort décevante. le résumé avait cependant tout pour retenir mon attention et pour me plaire . Je m'attendais vraiment à lire un truc un peu fou fou et surtout j'avais envie d'une lecture un peu légère qui me fasse sourire...Et bien que nenni !! J'avoue que je me suis vraiment ennuyée pendant cette lecture et de plus j'ai été tentée d'abandonner en cours de route, ce qui est quelque chose de rarissime pour moi..
Je reconnais que les 30 premières pages m'ont bien plus, mais après, mon intérêt pour les aventures d'Elsie, de Homer et de leur alligator est allé decrescendo... Leurs péripéties n'ont rien d'amusant pour ma part et cette lecture ne m'a rien apporté si ce n'est l'impression de perdre mon temps...
J'ai l'impression que l'auteur est passé à coté de son idée de départ et qu'il n' a pas su l'exploiter...
En tout cas, je remercie Babelio et les Editions Mosaïc pour l'envoi de ce livre.
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En tout premier, je remercie Babelio et les Editions Mosaïc .

Un alligator sur la banquette arrière ,
une mémoire d'éléphant, un cou de girafe , une langue de chat, un trou de souris, un hippopotame dans le tiroir, un polichinelle insolent, un nègre en chemise ,

... et un raton laveur,

un alligator sur la banquette arrière,
un singe sur l'épaule, un papillon en hiver, un chat dans la gorge , des fourmis dans le pied, une araignée au plafond,
... et deux ratons laveurs ,

Un alligator sur la banquette arrière,
une dinde de Noël, un lapin chasseur, une pie voleuse , un lièvre à la royale , un canard à l'orange , un homard Thermidor , une outarde canepetière ,

... un bouquin abandonné sur la banquette arrière

... et quelques ratons laveurs

Merci Monsieur Prevert à qui j'ai emprunté l'idée et les ratons laveurs de cet Inventaire ...
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Albert sur la banquette arrière, c'est l'archétype même du livre qui a tout pour me plaire :
* Un ton déjanté : miam !
* Époque de la Grande Dépression : miam miam !!
* Sud des États-Unis : miam miam miam !!!
Tout est réuni pour qu'à la fin de ce livre, je n'ai plus qu'une seule envie : l'épouser !

Alors...

Alors qu'est-ce qui a pu merder à ce point pour que je le commence bille en tête et le finisse en reculant ?
Un peu tout j'imagine.

Commençons par l'histoire, pas mauvaise en soi, un bon postulat de départ (un jeune couple possède Albert un alligator, enfin plutôt l'épouse possède un alligator et le mari le supporte tant bien que mal jusqu'à ce qu'il pose un ultimatum à sa femme : Albert ou lui. Et les voilà en goguette sur les routes du Sud pour ramener le reptile sur ses terres) de bonnes idées (rencontrer Steinbeck et Hemingway n'était après tout pas donné à tout le monde) mais à la vérité... c'est plat, mais c'est plat. Avec les aventures que vivent ces trois-là (ces 4, n'oublions pas l'incruste d'un coq que personne ne connait mais qui est du voyage quand même) – et on peut dire que ça s'enchaîne sans trêve – réussir malgré tout à ne pas accrocher son lecteur une seule seconde, faut vraiment que monsieur Hickam junior y ait mis du sien.
Faut dire aussi que ces personnages... Enfin moi j'ai bien aimé Albert, j'ai fini le livre juste pour lui. M'enfin ce petit couple, on dirait des personnages en deux dimensions, aucune épaisseur, zéro psychologie, je parle même pas d'un foetus de début d'empathie, Albert sur la banquette arrière, ça a beau être un bouquin, là-dedans on dirait qu'ils lisent (lisent ? Ânonent plutôt) un prompteur.
Vient ensuite le problème de l'écriture, qu'à mon goût je n'ai pas trouvé si catastrophique, non, je dirais plutôt qu'elle manque cruellement de fantaisie, aucune prise de risque dans le récit, des phrases simples, scolaires, exactement ce qu'on est en droit d'attendre d'une dissertation de débutants mais certainement pas d'un auteur publié (en écrivant cette phrase, je me rends compte de ma naïveté, donc inutile de me faire remarquer, j'ai vu !)

Malgré tous ces défauts par lequel pèche ce livre, je crois que ma plus grosse déception vient que des deux thèmes sur trois cités au début, on n'en sente pas le moindre goût. Ça se passe dans le Sud, on le sait parce que c'est souvent répété et heureusement parce que, hormis citer les états, à aucun moment la (si caractéristique) sauce southern ne vient ne serait-ce que nous chatouiler un peu le palais. Idem pour l'époque, en pleine grande dépression, ok donc on travaille dans les mines de charbon et en plus on croise Steinbeck, ça situe l'époque, soit, mais c'est vraiment tout. Ce livre se serait déroulé dans les années 80 et dans le midwest, on aurait senti aucune différence.

Pour résumer, ce qui ressort de ce livre, c'est que Homer Hickam Jr a eu des idées, plein (ça on peut pas lui enlever) mais n'a pas vraiment su les exploiter, elles sont empilées comme ça, à la suite, avec des transitions un peu bancales au milieu histoire de dire mais sans plus… Peut-être que finalement cette histoire un peu vraie mais pas complètement, qu'il sentait qu'il devait écrire en souvenir de ses parents, eh bien, peut-être (peut-être) qu'il aurait dû la garder pour lui. Sans vouloir lui manquer de respect ni rien.

Et que tout ça ne m'empêche pas de remercier Babelio et Mosaic dont j'ai bien sûr apprécié le geste à sa juste valeur.
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Rien que le titre de ce roman m'a donné irrémédiablement envie de le lire. Qu'est-ce que c'est que cette histoire d'alligator sur la banquette arrière ? Bon qui dit une histoire avec un animal, dit lecture !

L'écriture est simple et efficace, comme le sont souvent les romans de littérature américaine. Adaptée à tous. Ça manque peut-être de personnalité mais ça n'est pas dérangeant.

Très clairement, il s'agit d'un road-trip américain jalonné de diverses aventures et rencontres. L'histoire n'est pas très dynamique mais on aime la déguster ainsi. On prend son temps en même temps que les protagonistes.

Qu'en est-il des personnages d'ailleurs ? J'ai adoré Albert, forcément ! Mais il n'est pas le personnage principal. J'ai bien aimé le coq également, même si je ne sais toujours pas ce qu'il fait là ... Homer a été très attachant. Ce ne fut pas le cas d'Elsie que j'ai bien souvent eu envie de gifler tant elle m'insupportait. La femme capricieuse dans toute sa splendeur ! Homer a bien eu du courage ...

Il faut savoir que c'est une histoire vraie, en grande partie du moins (ou pas). Nous n'aurons jamais le fin mot de l'histoire. Mais réelle ou non, c'est un petit conte vraiment agréable.
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Et effectivement, je rejoins les commentaires précédents. Je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire. le début était prometteur mais vers la moitié du livre, j'ai complètement décroché, ce qui est rare pour moi. Bien que l'idée soit bonne, mettre en avant des parents via un Road trip, ici, l'histoire est complètement niaise, sans saveur et je déteste ressentir ça. Je passe donc mon tour et espère lire des livres bien plus loufoques à l'avenir.
Quoi qu'il en soit, je remercie Babelio et les éditions Mosaic pour cet envoi !
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Albert sur la banquette arrière , l'histoire plus ou moins vraie d'un mari, de sa femme et de l'alligator de sa femme.
Rien que pour ce titre je me dois de remercier Babelio et les éditions Mosaïc pour cette masse critique privilège. J'ignorais que les éditions Mosaïc étaient une maison d'éditions appartenant au groupe Harlequin ... surprise surprise !!!
1935 les États Unis sont encore en plein dans la Grande dépression, beaucoup sont désormais sans travail, trainent sur les routes dans un état d'indigence. Ce n'est pas le cas du couple formé par Homer et Elsie Hickam. Tout irait pour le mieux si Elsie ne s'imaginait pas vivre ailleurs qu'à Coalwood, ville minière de Virginie Occidentale. Son époux, amoureux fou, n'est qu'un modeste mineur de charbon. Où est donc passé son amour de jeunesse Buddy Ebsen ce beau jeune homme parti à New-York pour y faire carrière dans le monde du cinéma. seul souvenir de lui , son cadeau de mariage Albert l'alligator ...La vie du couple devient infernale, Elsie ne jure que par Albert à rendre tout homme jaloux ...Elsie, voulant à tout prix quitter Coalwood, accepte de partir en Floride pour y laisser Albert . le voyage commence et les péripéties aussi....
L'auteur fait dire à John Steinbeck, rencontré de façon inopinée sur la route :"Raconter votre histoire sans vous soucier de savoir si elle sera drôle ou non. Quand on essaie d'écrire pour faire rire, ça ne marche généralement pas "-p86. Monsieur Hickam les conseilleurs ne sont certes pas les payeurs mais peut-être auriez vous du réfléchir un peu plus à cette maxime . Vous l'aurez compris je n'ai que peu adhéré à cette histoire malgré sa loufoquerie, les ficelles grossières d'un comique de situation ne m'ont pas beaucoup fait sourire à une ou deux exceptions près. Par compte l' Amérique de la Grande dépression est là , ancrée dans le décor , rien que pour cela je ne regrette pas cette lecture.

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Oui, bof! Au début j'ai souri, et espéré...Et puis je me suis franchement ennuyée. Et pourtant certaines situations sont assez drôles mais de là à en faire un livre!!!!
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Avec un titre aussi loufoque, un résumé aussi accrocheur, le nom d'un auteur reconnu et primé; ce livre avait tout pour me plaire, me faire rire et me faire voyager. Est-ce que la magie a opéré ?

Il est toujours surprenant et surtout frustrant lorsqu'un livre promettait tout et qu'au final cela ne fonctionne pas, que l'on sente toutes les promesses s'évaporer, que l'on s'attendait à un festival de situations décalées et amusantes, de traits d'esprits innovants, d'un style pétaradant et que l'on a des personnages qui manquent de profondeur et une histoire qui manque de piquant...

En effet, il ne suffit pas de créer des situations inattendues, des gags surprenants pour que l'aspect loufoque opère. Il faut la petite étincelle, celle qui nous fait oublier le quotidien, qui nous permet de rire aux éclats. J'ai toujours pensé qu'il était plus dur de faire rire que de faire pleurer, et dès lors les romans de ce style sont beaucoup plus périlleux que les histoires tragiques. Dès lors Homer Hickam a tenté l'expérience et il n'a pas réussi à aller jusqu'au bout à mes yeux.

Et pourtant on en voit du paysage, et pourtant on s'attache aux personnages, et pourtant on lit ce livre avec quelques fois le sourire mais il y manque certains éléments essentiels mis en avant dans la quatrième de couverture... Ainsi trop de dialogues qui ne permettent pas de réellement mettre en lumière les protagonistes, trop de "blabla" et pas assez d'âme : cela devient plat au fur et à mesure.

En définitive, tout était là pour faire un merveilleux road trip mais un pneu a crevé en chemin...
Lien : http://leatouchbook.blogspot..
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Primo, c'est censé être un récit plein d'humour. « Réellement cocasse », nous dit même la quatrième de couverture. Ça n'a pas fonctionné avec moi. Mais alors, pas du tout. Les situations sont souvent absurdes, certes, et les personnages sont embrigadés malgré eux, mais pas une seule fois, je n'ai eu la moindre esquisse de sourire.

Secundo, c'est censé être une histoire touchante sur le couple. Raté. Homer et Elsie ne m'ont pas touchée. Ils m'ont, au mieux, ennuyée et, au pire, agacée. le premier par sa mollesse et sa manière de subir (les événements, son épouse, la vie…) ; la seconde par son égoïsme, sa manie de dénigrer sans cesse Homer, sa façon de vivre dans un passé fantasmé. Bref, ils sont fades. Les quitter fut un réel soulagement.

Mais quel dommage quand même. J'aurais aimé apprécié cette histoire improbable. D'autant plus que l'auteur est parti d'histoires vraies que ses parents lui ont racontées. Comment a-t-il pu en faire quelque chose d'aussi barbant ?... le côté désuet au premier abord semblait plutôt sympathique. J'ai aimé la présentation des différentes étapes du voyage, avec ces parties en « Comment… » et ces sous-parties en « Où… », une mise en forme que l'on retrouve dans des vieux romans. (Par exemple, « Comment Elsie apprend à aimer la mer, et Homer et Albert deviennent gardes-côtes » : « Où Elsie découvre l'endroit de ses rêves ; où Homer et Albert livrent une bataille sanglante et sans merci contre des trafiquants et autres voyous des mers. ») C'est un peu léger si le seul point positif concerne le sommaire…

Albert sur la banquette arrière suit le filon de ces romans au titre original et à la loufoquerie affichée (comme par exemple, les livres de Romain Puértolas, auteur de L'extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea, cité sur le bandeau qui va avec le livre et que je n'ai pas lu). Si c'était bien fait, je dirais pourquoi pas. Mais quand c'est aussi ennuyant, plat, vide, non, ce n'est pas possible.

Je remercie malgré tout Babelio et les éditions Mosaïc pour ce roman dont la lecture fut malheureusement exceptionnellement laborieuse. Je suis allée jusqu'au bout dans un espoir désespéré de trouver quelque chose de réussi (ou du moins, de pas raté) dans ce récit. En vain.
Lien : https://oursebibliophile.wor..
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A l'instar de nombreux lecteurs, j'ai trouvé ce livre drôle et plein d'une douce fantaisie, les personnages attachants, les dialogues et les situations cocasses. Mais je crois que je ne suis pas sensible à ce genre littéraire. J'ai persévéré (page 170, tout de même) mais j'ai tout le temps l'impression d'être sur la berge. Cela m'amuse un peu mais pas suffisamment pour lire les 250 pages restantes.
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