Ce que vivent les roses

Sans déroger à ses habitudes l'auteur sait nous entrainer dans une intrigue riche en rebondissements imprévus.
c'est un livre assez suspect dans le domaine de la chirurgie esthétique, je commence à lire et ça m'intéresse beaucoup ! c'est à la fois féministe parce que le principal personnage est une avocate et c'est très juridique !!
Mais après coup je ne peux m'empêcher de penser que malgré son talent MHC s'est contentée du minimum vital avec ce roman...

Je l'ai lu dans le train, il est assez rapide et prenant. Il perturbe assez, on est touchée par les différents personnages, on s'y attache et à la fin on est plus que surpris et tout devient si clair, des indices sont cachés tout le long de l'histoire et à la fin tout devient logique. Un autre chef d'oeuvre de MHG!!!

Génial

Très bien

Kerry McGrath est une brillante assistante du procureur. Mais un jour, elle croise dans la salle d'attente d'un chirurgien de renom, un visage familier. Ce visage n'est autre que celui de Suzanne Reardon, assassinée des années auparavant par son mari, lui-même accusé par son beau-père. Comment un médecin peut-il redonner le visage de quelqu'un d'autre et cela plusieurs fois ? Cette question taraude Kerry. Ce médecin étant le seul témoin de l'enfermement de Reardon, elle décide d'enquêter, mais ce qu'elle va découvrir ne va pas être du goût de tout le monde.
« Ce que vivent les roses » n'est pour ma part, pas le meilleur roman de Mary Higgins Clark. Même si ce roman est très bien construit ; il n'en demeure pas moins que le suspens n'est pas tellement au rendez-vous, contrairement à d'autres de ces romans.