Les mots sont mes alliés, les partager et est une force apaisante.
Tu es un rêveur, Yannis. Mais j'espère que ce monde appartient aux rêveurs...
La vraie vie est ainsi, fragile et précieuse. Elle devrait être notre plus grand trésor.
Au cours d'une vie, on connaît la fin de plusieurs mondes, tu sais. Le plus difficile, c'est de survivre en restant digne.
Tu sais, on ne se trouve pas, en réalité. On se construit. Il suffit d'avoir une image idéale de soi-même à atteindre.
Nous avons tous notre part de réalité à supporter. Et la souffrance ne donne aucun droit. Aucun !
Je sais bien que les mots ne peuvent pas grand-chose quand on est hanté par un meurtre, même quand on l'a commis pour se défendre...
- Promis ! Croix de bois, croix de fer, si je mens...
- Laisse béton, on est déjà en enfer.
« En attendant, écoute dans ton sommeil le silence de ce matin extraordinaire.
Le premier matin de ce nouveau monde. »
« Mon rêve à moi est sous mes yeux, face à la fenêtre qui dévoile un passage serein où de petites billes blanches dansent et tournoient. Stéphane. Stéphane. Je pourrais répéter son prénom durant l’éternité. »