Je suis triste ce soir, triste parce que j'ai laissé tomber
Enig Marcheur alors que ça faisait si longtemps que j'avais envie de le découvrir.
J'abandonne non pas parce que l'écriture est spéciale, déroutante et compliquée : au bout de quelques pages on s'y fait à ce "massacre" de l'écriture telle qu'on la connait. Il suffit finalement de l'oraliser et tout est déjà plus compréhensible. Il y a même de la poésie dans cette façon de déstructurer les mots.
Non j'abandonne parce que l'histoire ne m'intéresse pas, je n'ai pas envie de connaitre la suite, de savoir ce qui arrive à ce jeune garçon...
J'aime les livres atypiques, les expérimentations mais encore faut-il que l'histoire en vaille la peine.
Tant pis pour moi... au moins j'aurais essayé...
PS : chapeau bas à Nicolas Richard le traducteur !