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Toujours aussi passionnée par cette saga dont j'ai lu des 5 tomes avec grand plaisir, seul le 2ème m'avait un peu déçue. J'avais un peu peur de ce dernier chapitre de la vie des Cazalet et non, je n'ai pas été déçue. On retrouve les personnages avec grand plaisir, et sans difficulté (même si l'arbre généalogique au début peut être utile). L'analyse des personnages et de leur sentiments est fine. Bref, n'hésitez pas à achever la lecture de cette passionnante saga, si vous aimez le genre.
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Voilà, c'est fini. Malgré des hauts et des bas, je les avais tous tellement aimés ! Et surtout, je me délectais tant de savoir qu'il en restait encore à venir. Mais celui-ci est incontestablement le dernier et la saga des Cazalet s'éteint avec lui. Alors j'ai profité comme j'ai pu des dernières apparitions de Polly, d'Edward et de cette chère Rachel. J'ai savouré le babillage des enfants, la quatrième génération à présent, engrangé les réminiscences des précédents tomes. J'ai fait comme les personnages qui savaient leur mode de vie condamné : j'ai tenté de donner plus de poids qu'elle n'était capable d'en assumer à l'infinie délicatesse des jours qui passent.
Ça n'a pas très bien fonctionné. Nimbée d'une forme nostalgie par anticipation, je n'ai pas goûté à la légèreté des répliques, je leur ai trouvé un petit air de systématisme au contraire assez agaçant. Je n'ai pas aimé non plus que tant de chapitres soient consacrés à la mort et aux funérailles de la Duche. Evidemment, l'événement a la force d'une déflagration et il était tentant d'en explorer les retentissements chez chacun de nos amis Cazalet. Mais ça ne leur a donné aucune impulsion supplémentaire, bien au contraire et le roman a commencé à sombrer. Petit à petit, tout s'est étiolé, délité. Les souvenirs eux-mêmes se sont teintés des reproches que je faisais aux personnages dans le présent de ce dernier tome. Vraiment, Hugh n'a-t-il jamais rien fait d'autre que de siéger entre deux migraines ? Rachel n'avait donc rien de plus intéressant à être que de se vautrer dans les soucis et la martyrologie appliquée à sa situation ? N'y a-t-il jamais eu la moindre once d'auto dérision, de surplomb chez Edward ? Et les traits à la fantaisie charmante des plus jeunes, comment ont-ils pu laisser place à des personnalités aussi perdues, aussi antipathiques (le détestable Neville) ? Et si la merveilleuse Polly n'est pas décevante, elle est tout simplement gommé et n'apparait que dans le plus reculé des arrières plans.
Non vraiment, dans ce dernier tome, il n'y a personne pour sauver quoi que ce soit. Loin des fins de sagas qui en annoncent une suivante, loin de l'euphorie productiviste qui devait pourtant baigner la fin de ces années 50, les Cazalet s'éteint avec ses fondateurs et des jolies flammes qui égayaient et réchauffaient tant ne reste que la froide cendre d'un passé révolu. L'admiratrice de la composition littéraire trouve que c'est très réussi. Et la midinette que c'est très décevant.
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on retrouve avec toujours autant de plaisir les personnages. Ils changent. Ils évoluent et nous prenons toujours autant plaisir à suivre leur vie. Une saga qui est un immense plaisir de lecture et j'ai eu du mal à lâcher ce cinquième tome dont la qualité est à la hauteur.
Les personnages sont un peu notre famille,nos amis: on les aime,on les critique…La joie et le bonheur de lire et de partager la lecture.
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C est fini. Que de chemin parcouru pour chacun. Je me suis bcp attachée aux personnages féminins, en particulier Polly, Louise et Clary : les petites filles qui ont vécu la guerre dans le château des grands parents, sont devenues mères de famille. Leur vie est si différente de celle de leur mère, et en même temps elles partagent les mêmes difficultés avec leurs époux, leurs enfants.
Une très belle saga, qui mêle l évolution des moeurs, l Histoire et la vie familiale !
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Après avoir dévoré tout en les savourant les quatre premiers tomes de la saga des Cazalet, en quelques semaines, j'ai attendu patiemment la publication de la traduction du dernier volume. Enfin, est-il arrivé. Comme il est noté partout, nous retrouvons, ou, nous renouons avec cette grande famille, élargie puisque divorces et veuvages ont généré des remariages et conséquemment des naissances.
Et ils sont tous installés plus ou moins confortablement au milieu de l'année 1956, et nous les quitterons définitivement en 1958.
Que dire ? Sachant qu'il s'est ainsi écoulé dix ans dans cette histoire, mais vingt ans pour leur créatrice, et qu'alors, celle-ci a quatre-vingt-dix ans.
Je livre donc ici très humblement des impressions.
L'écriture est toujours agréable, riche sans être lourde, habile pour varier selon les émotions qui devront vibrer chez le lecteur. Humour, ironie, dérision, drame, mélodrame, cynisme, empathie, antipathie, et j'en oublie. Tout pour donner et faire conserver l'envie de lire et de poursuivre encore la lecture.
La richesse des dialogues que j'avais soulignée précédemment, notamment et principalement, chez les enfants s'est amoindrie. Pour au moins deux raisons, la première est que les enfants à mettre en scène sont moins présents et moins identifiés (cartographiés pourrait être le mot), et en contrecoup, les dialogues sont moins développés. J'ai retrouvé la verve mais de façon trop limitée.

Ma déception, car si vous lisez la chronique depuis son début, il y a déception, vient de la structure de ce tome. La très grande première partie du roman est une présentation parcellaire, émiettée, les uns ou unes après les autres, des personnages que l'on a connus, un par un, une par une. J'ai eu une impression de catalogue : on les reprend un par un, une par une, et quelques pages, parfois tout juste deux pages, pour les mettre en scène.
Pourtant le départ de ce cinquième tome permettait un rassemblement familial autour des funérailles de la mère et grand-mère et même arrière grand-mère, à Home Place, sa propriété, celle qui avait flamboyé avant la guerre et tout au début de l'oeuvre. Ce départ a été un peu raté puisque, lecteur, je me suis sentie éparpillée entre la multitude des intervenants. La fin du roman est d'une belle et douce tristesse. J'ai cru lire ce que l'auteure ressentait elle-même sur la fin de sa vie, vie de femme, mais aussi bien sûr vie d'artiste-écrivain. Que deviennent mes oeuvres ? que deviennent mes souvenirs ? que deviennent mes "biens" ?, ma maison, mes livres, mes photos, etc...
Ce cinquième tome ne serait-il pas une forme de testament littéraire ?
En effet, autant elle nous a amené à observer une famille anglaise aux liens très forts, aussi bien humains, filiaux que professionnels (l'entreprise est transmise de père en fils, mais là ça coince et l'entreprise est perdue), autant elle nous a montré le mode de vie de cette bourgeoisie d'affaires enrichie aux temps des colonies, autant elle nous a décrit les conventions, les usages, les distinctions de classes, l'éducation inégale des filles et des garçons, la place des femmes,
autant ce dernier volume montre (ce qui corrobore mon ressenti) une société anglaise atomisée, individualisée, paupérisée, et des femmes qui revendiquent une place digne de ce qu'elles sont ou créent. D'ailleurs, le personnage de Diana, élément rapporté à la famille, est absolument antipathique. Pourquoi ? car c'est la seule, qui encore considère le mariage comme une prostitution.
Je veux dire par là que c'est la seule femme (dans le roman) a attendre de son époux qu'il l'entretienne, et c'est flagrant lorsque le niveau de vie de l'époux dégringole.
Du coup, mon regard a changé sur l'oeuvre.
Certes, je ne modifierai pas mes impressions du début de ma lecture, mais au fur et à mesure, j'ai vu et lu une finesse et une richesse très discrètes, trop peut-être, mais je conclus que c'est le propre de cette dame.
Et malgré moi, j'ai fait un lien avec Elizabeth Taylor et Barbara Pym. Ni dans le style, ni dans les histoires, mais, je dirais dans une posture.





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La fin d'une ère (2022) marque la fin d'une belle aventure littéraire qui aura duré deux ans et demi. C'est avec un petit pincement au coeur que j'ai tourné il y a quelques jours la dernière page de ce cinquième et dernier volet de la saga des Cazalet.

En cinq tomes couvrant deux décennies entre 1937 et 1958, Elizabeth Jane Howard (1923-2014) retrace la vie de quatre générations d'une famille anglaise aisée avant, pendant et après la Seconde guerre mondiale.

Ecrit dix-huit ans après Nouveau départ alors que l'autrice avait nonante ans (!), La fin d'une ère contraste de façon assez significative avec les quatre premiers tomes. Les chapitres, beaucoup plus courts, sont désormais consacrés à un ensemble de personnages, ce qui résulte inévitablement en un traitement psychologique moins approfondi.

Neuf ans se sont écoulés entre la fin de Nouveau départ et le début de la fin d'une ère, le temps pour une génération de s'éteindre et pour une autre de voir le jour. Certains personnages féminins phares de la saga, devenues mères, ont été reléguées au second plan au profit de leurs enfants, cette quatrième et dernière génération de Cazalet restant toutefois également à la périphérie de l'intrigue. Les traits de caractère de certains personnages ont été modifiés de façon un brin douteuse -Archie, Neville et Edward en tête- alors que le caractère détestable de certains autres a été accentué, la palme revenant à cette peste de Diana. Enfin, et du haut de ses nonante ans, Elizabeth Jane Howard n'a pas hésité dans ce dernier tome à aborder de façon frontale certaines thématiques hautement taboues qu'elle n'avait fait qu'effleurer dans les tomes précédents.

S'il m'a semblé moins abouti que les volets précédents, il n'en reste pas moins que La fin d'une ère clôt de façon pertinente, bien que mélancolique, une saga familiale captivante que j'ai lue avec beaucoup d'intérêt et de plaisir. La grande force de cette série littéraire anglaise réside incontestablement dans la capacité de son autrice à rendre crédible une multitude de personnages très variés et à en brosser avec beaucoup de finesse les portraits psychologiques. Les informations relatives au contexte social, politique et économique avant, pendant et après la Seconde guerre mondiale ont complété de façon très réaliste et intéressante les descriptions de la vie quotidienne à cette époque.

La fin d'une ère et d'une belle aventure littéraire.

(A lire également sur le blog).


Lien : https://livrescapades.com/20..
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Et bien il y en avait de la poussière sur ce livre neuf... Quoi? Comment ça c'était pas de la poussière, c'était juste de l'émotion?....
Ah ben oui je suis prise en flagrant délit... Avec "La fin d'une ère", Elizabeth Jane Howard clôt la saga familiales des Cazalet et nous oblige à dire au revoir à tous ces personnages attachants qui font désormais un peu partie de notre famille. Dans ce dernier tome, nous retrouvons tout le sel de l'écriture de l'autrice anglaise : de la tendresse, de l'humour, un peu de cynisme et surtout une ambiance so british. Une saga à dévorer absolument (de préférence sous un plaid en buvant du thé).
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Derniers Noëls à Home Place, l'effondrement d'une entreprise et, en dépit du malheur, la vie qui, dans son obstiné matérialité, dans ses détails si finement restitués, continue. La saga Cazalet, toujours aussi attentive aux ressentis de ses personnages, s'organise autour de la faillite de l'entreprise familiale et sur la manière dont chaque branche parvient à s'inventer autre chose. Toujours avec sa grande précision, dans une élégance virevoltante vue le nombre conséquent de personnage pris en charge, avec une vraie tendresse pour eux jamais aussi patente qu'au moment de les quitter, le roman décrit discrètement une période, celle où les souvenirs des guerres s'estompent, où la reconstruction se fait sur un autre mode, moins dominateur, plus tendre aussi notamment pour les personnages masculins. La fin d'une ère ou des adieux presque joyeux, une transmission possible au monde qui vient.
Lien : https://viduite.wordpress.co..
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J'ai passé le weekend avec les Cazalet et à présent que je les ai quittés pour la dernière fois, je me sens triste comme l'adagio d'Albinoni... ou un jour sans pain...
Ce cinquième (et dernier -oui, je remue le couteau dans la plaie, je sais!-) tome me faisait un peur pourtant et je craignais de le découvrir autant que j'en brûlais d'impatience pour la simple et bonne raison qu'Elizabeth Jane Howard l'a écrit dix-huit ans après les quatre premiers volumes et que "Nouveau Départ" sonnait comme un final. Je craignais une déception, un opus très en dessous des autres ou déconnecté du reste de la saga que j'aime passionnément. Il n'empêche que je me suis jetée sur le livre et qu'il m'a fallu me faire violence pour me sociabiliser un peu ce weekend alors que ce petit bijou anglais et bergamote m'attendait, car c'est bel et bien un bijou, à la hauteur des volumes précédents (et, même si je sais qu'il ne faut pas juger un livre à sa couverture, je me dois de souligner puisque j'en suis à la joaillerie, une fois la plus la qualité et l'élégance des ouvrages publiés sous la houlette des éditions de la Table Ronde. Comme à chaque fois, c'est un bonheur de tenir entre ses mains un livre si beau, d'une telle qualité!) que j'ai dévoré comme une morte de faim.

Neuf ans ont passé depuis la fin de "Nouveau Départ", neuf années au cours desquelles la famille a connu bien des bouleversements, au moins autant que la société qui les a vus naître et force est d'admettre que tous les membres du clan ne s'accommodent pas des changements de la même manière... La vie suit son cours avec son lot de déceptions, de drames, de deuils, de grandes et de petites joies également et heureusement.
Crépusculaire et comme le préfigure si bien son titre, "La Fin d'une ère" marque un tournant dans la vie de la dynastie. L'opus commence en juin 1956 et s'achève en décembre 1958, soit près de vingt ans après le début de l'histoire. Vingt ans... Vingt ans à suivre la lignée. le dernier voyage ne peut être qu'émouvant et douloureux et à bien des égards, il l'est, mais il y a un tel plaisir à ces retrouvailles que le crépuscule en ressort encore plus beau...

Alors que Rachel, Hugh, Edward et Rupert pleuraient leur père dans le tome précédent et la disparition non seulement du patriarche mais aussi d'un pilier, d'un point de repères, c'est à leur mère qu'ils doivent se résigner à dire adieu au début du roman. Avec le décès de la Duche, c'est un peu de leur jeunesse qui s'enfuit, un peu d'enfance et d'insouciance. Les funérailles sont cependant l'occasion pour la famille de se réunir autour de la fidèle Rachel qui après des années de dévouement et de silences va peut-être enfin pouvoir s'autoriser à profiter de la vie et de son amour pour Syd. Hugh, quant à lui, semble avoir enfin retrouvé le bonheur auprès de Jem et de leur foyer, tout comme Rupert et Zoe qui semblent enfin sereins et heureux après des années d'incertitudes et de non-dits. C'est pour Edward que les choses semblent moins fluides: son remariage avec Diana n'est pas un long fleuve tranquille mais le plus charmeur des Cazalet tient bon la barre. Pour les trois frères, ce n'est pas tant la vie de famille qui est compliqué (et bien souvent, ils en laissent la charge à leurs épouses) mais l'avenir de la société familiale. le monde a changé et ils semblent avoir raté le coche ce qui va creuser le fossé entre Hugh, plus que jamais attaché aux traditions familiales et Edward, le plus aventurier de la fratrie. Entre les deux, Rupert a l'âme conciliante d'un poète...
Ainsi, on retrouve les pères, mais aussi les enfants et c'est un plaisir de passer un peu plus de temps avec les garçons de la tribu qu'on avait un peu perdu de vue lors des deux volumes précédents. Teddy, Simon et Nevill retrouvent le devant de la scène et c'est un régal de voir les hommes qu'ils sont devenus. J'ai toujours un faible pour Simon et me suis découvert une affection que je n'imaginais pas pour Teddy.
Bien entendu, les Cazalet ne seraient pas les Cazalet sans Louise, plus touchante que jamais, Clary toujours aussi angoissée et Polly dont le bonheur me réjouit autant que s'il s'agissait de celui de ma meilleure amie. Elles aussi vieillissent, évoluent, cherchent leur place et doivent trouver un équilibre -aussi fragile fut-il- entre vie familiale et aspirations plus personnelles.
Elles aussi ont eu des enfants, parfois de l'âge des demi-frères et soeurs que leur ont donné leurs pères remariés et c'est avec plaisir que l'on fait la rencontre -joyeuse- de cette toute nouvelle génération de Cazalet.
Et puis, il est aussi question de Villy, de miss Millicent, d'Archie, des Tonbridge...
Au centre, Home Place, la maison de campagne si anglaise, la maison de vacances, la maison de l'enfance. Certes, le domaine a perdu de sa somptuosité mais il est toujours aussi essentiel dans la vie des Cazalet, comme le coeur battant qui les unirait tous, le poumon qui leur octroyerait l'oxygène dont ils ont besoin.
Les souvenirs et les lieux chéris et fondateurs sont une des thématiques importantes de l'ouvrage, l'importance qu'on leur confère, l'amour qu'on leur porte, tout comme le temps qui passe inéluctablement, les deuils -réels ou symboliques- et "La Fin d'une ère" est une lecture vraiment poignante et douce amère, ce qui lui confère une profondeur que les autres tomes n'avaient pas (et pourtant!) sans le départir de ce qui fait la réussite des opus précédents: la fluidité et l'élégance de la narration, le questionnement sur la place des femmes dans la société, la complexité et la richesse des personnages, la clairvoyance contenue dans la peinture de la société et de son évolution.
Un chef d'oeuvre encore une fois dont la mélodie me manque déjà.
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Une formidable saga jusqu'au bout, je vais forcément être dithyrambique, j'ai tellement aimé cette merveilleuse histoire romanesque sur cinq tomes, tous très réussis.

Je suis tellement triste d'abandonner les Cazalet, je me suis beaucoup attachée à eux et j'aurais aimé les accompagner encore sur plusieurs générations mais l'auteure a écrit ce dernier tome alors qu'elle était âgée de quatre-vingt-dix ans, dix-huit ans après les précédents.

La fin d'une ère, s'intitule ce tome, nous entraîne en dix-neuf cent cinquante sept et cinquante huit, deux années marquantes et éprouvantes pour la famille. Les cousines Polly, Clary et Louise sont adultes et mères de famille et, comme leurs mamans, tentent de se faire une place dans une société qui n'y est pas forcément prête.

En voici un exemple, lorsqu'une des jeunes héroïnes se voit refuser par son père l'entrée à l'université sous prétexte qu'une femme n'a pas besoin d'être intelligente pour trouver un mari.

Leurs aînés avancent en âge comme Rachel, tante Rachel, un de mes personnages préférés, une femme lumineuse et généreuse qui tentera toujours d'aider les siens.

Home Place, la demeure familiale, reste l'ancrage de toutes ces générations, la famille est au coeur de toute la saga.

Comme dans la vie, on passe ici du rire aux larmes et on en redemande.

Une saga exceptionnelle et brillante à lire absolument, un coup de coeur absolu.
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