Si j'ai bonne mémoire

une bonne suite à" ce que je peux te dire d'elles" dans la même lignée que je conseille de lire avant Je suis très tentée de commencer" le temps de lilas" Mon enthousiasme ne s'atténue pas

On retrouve avec plaisir les personnages de précédent roman de Anne Icart .
Violette jeune femme de la cinquième génération des Balaguère a tout pour être heureuse:un mari,un bébé,un métier.
Mais qui est son père?
Roman qui nous montre une famille solidaire,apaisée.
Une jolie histoire.

J'étais contente de retrouver tous ces personnages mais ma lecture s'en est trouvée alourdie par un style d'écriture un peu lourd car trop redondant, on revient mille fois sur les états d'âme des protagonistes (c'est bon on est pas bête on a saisi les subtilités, trop de répétitions à mon goût).
Une autre déception c'est les coïncidences toutes trop faciles qui se mettent en place tout au long du récit ... le premier tome n'était pas raconté de cette façon il me semble , j'ai trouvé ça dommage.
J'ai tout de même lu l'histoire jusqu'à la fin pour savoir quelle tournure prendrait la quête du père pour Violette et aussi parce que si on se met en mode bisounours dans son esprit on peut trouver un certain plaisir à être plongé dans cet univers feel good où presque tout le monde est beau et gentil.

J'avais adoré "Ce que je peux te dire d'elles". J'étais donc très enthousiaste à l'idée de retrouver les Balaguère. J'ai apprécié l'histoire mais ai été déçue par son manque de rythme pour amener une fin ouverte et expéditive.

Là où le premier roman nous faisait traverser plusieurs générations, ce deuxième opus d'une longueur similaire nous livre une histoire qui s'étale sur seulement quelques mois. Les passages d'introspection m'ont semblé parfois répétitifs et longuets. Néanmoins, ils permettent d'apporter des éclairages différents puisque l'on accède grâce à eux aux réflexions de chacun des personnages.

Il m'a semblé que le style d'écriture avait évolué, était plus travaillé cette fois, malgré un recours trop fréquent à mon goût à l'énumération, parfois juste de synonymes ou de paraphrases. Toutefois, cela paraît assez conforme à ce que l'auteur veut faire comprendre quant aux doutes et aspirations de ses héros.

En résumé, c'est une suite dans la lignée de "Ce que je peux te dire d'elles", en moins condensé, dans laquelle on entre plus dans le ressenti de chaque personnage. J'aurais aimé que les événements soient racontés plus vite pour en savoir plus sur la suite mais j'ai apprécié retrouver cette lignée de femmes qui m'avait tant émue la première fois.

Il faut tout d'abord savoir que "Si j'ai bonne mémoire" est le deuxième tome d'une trilogie dont je n'ai pas lu le premier intitulé "Ce que je peux te dire d'elles". Ce n'est pas un problème, un arbre généalogique présenté au début du récit permet de s'y retrouver facilement dans les personnages.

C'est l'histoire d'une famille à travers plusieurs générations, mais ce volume a, pour personnage principal, la dernière du clan : Violette.

Cette dernière a quitté Toulouse suite à un différend avec sa mère qui ne veut pas lui révéler le nom de son père. Violette a vécu dans une famille de femmes, mais la voilà mariée et mère d'un petit garçon. Elle décide de revenir s'installer à quelques kilomètres de Toulouse.

Le hasard lui fait rencontrer une jeune avocate qui - le hasard fait souvent bien les choses - s'avère être sa demi-soeur...

En recherchant l'identité de son père, Violette va jeter un pavé dans la mare...

Pour le moment, j'enchaine les déceptions. J'ai trouvé ce livre très long malgré ses 300 pages, redondant, ennuyeux par ses longueurs et ses répétitions.

L'auteure revient sans cesse sur les états d'âme des protagonistes; je dirais que c'est un récit introspectif et ça manque de ... punch, de rythme ! Trop de coïncidences qui tombent à pic aussi !

D'après les critiques, le premier est mieux. Je ne le lirai pas, pas plus que la suite "Le temps de Lilas" basé sur la demi-soeur de Violette, Garance.
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Découvert chez Emmaüs car je ne savais pas qu'il y avait une suite à "Ce que je peux te dire d'elles". Un beau roman qui comme le précédent concerne la quête des origines. Enfin Violette saura qui est son père. Un peu moins passionnant que le premier.