Titus Colas est un anti-héro qui travail dans la pub. Il a eut une enfance difficile. Lorsqu'il rencontre Olive, une écorchée vive elle aussi, il n'a qu'une idée en tête la séduire.
La première impression qui vient à la lecture est que
Philippe Jaenada prend un grand plaisir à écrire. Plaisir non partagé malheureusement.
Chattes, bittes, couilles, poiles, le chant lexical nous convie à rester au stade anal.Méprisé, laissé de côté, parent pauvre, le lecteur est spectateur d'une logorrhée qui se veut tellement passionnante qu'elle ne nécessite ni chapitres, ni retours à la lignes et si peu de paragraphe. Qu'on se le dise ! Aucun cadres, aucune structure fascisante, non rien ne doit tarir le flot incontinent des mots qui seras de toute façon lu d'une traite tellement c'est bon. C'est du moins se que Philippe doit penser (oui, on se tutoie avec Philippe car on partage cette même incapacité à écrire un roman)
Sans la mise en place d'un confinement des plus stricte et la fermeture des librairies et bibliothèques, finir se livre aurait été inenvisageable.