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3,31

sur 345 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
"Si vous ne devez lire qu'un livre cette année, il faut lire celui-là !". Telle était la déclaration enthousiaste d'Olivia de Lamberterie, chroniqueuse littéraire à Télé-Matin sur France 2.
Venant de le terminer, je ne peux que me féliciter de ne pas lire qu'un seul livre par an car le feu d'artifice annoncé s'est mué en pétard mouillé.

Ce roman ne m'a rien évoqué. L'univers de ces jeunes gens n'est pas le mien. Il ne l'a jamais été. Je n'ai pas les codes pour le comprendre et ne suis pas curieuse de les avoir.
Trop de déballage de marques de fringues, de boissons, de produits alimentaires... Trop de références artistiques, sans doute incontournables pour certains, mais qui, à moi, ne parlent pas... Trop de valeurs ou d'événements qui, à mon sens, n'en sont pas... Trop, beaucoup trop, de longueurs, de délayage...
Quelques moments sympathiques néanmoins, mais très insuffisants à maintenir mon intérêt pour cette histoire qui, bien que narrée sur un ton plus grave, n'est pas sans me rappeler l'atmosphère de la série télévisée "Friends" - l'aspect léger et distrayant en moins.

Bref, sans doute un bon bouquin mais qui, moi, m'a laissée de marbre.
Question de génération, peut-être...
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Je viens de tourner la dernière page de ce roman et reste quelque peu circonspecte.

Sur le fond, un récit assez plat porté par des personnages caricaturaux tout droit sortis d'une sitcom. Si l'histoire de cette bande de jeunes gens n'était pas tristement marquée par la maladie de l'un des leurs, on entendrait presque les rires enregistrés en fond sonore.
Le peu d'intrigue est à mon sens survolé au profit d'élucubrations dont on se demande parfois l'utilité et la fin bâclée.
Par ailleurs, l'auteur a peut-être oublié que tous ses lecteurs n'habitent pas forcément New-York City et ne sont pas tous des experts en art ni en littérature.

Sur la forme enfin, un gros point d'interrogation sur la traduction qui m'a souvent donné la sensation d'un travail amateur : fautes de grammaire et de conjugaison assez énormes pour me faire pousser un cri, tournures de phrases alambiquées et vocabulaire improbable parfois. J'avais commencé à lire la version américaine, je n'aurais pas dû me laisser aller à la facilité de la version française.

Je laisse toujours sa chance au produit comme l'on dit mais là, je le remets dans le rayon !
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La première partie de ce roman était plutôt pas mal. Certes, la situation n'est pas rigolote-rigolote, mais les personnages sont vraiment bien travaillés et une profonde amitié les lie, on prend plaisir à suivre leur évolution. Mais, la deuxième partie, mon Dieu ! que c'est long, mais long…
A chaque page, je poussais des soupirs en me disant mais qu'est-ce que je m'ennuie, mais je déteste abandonner un livre donc, péniblement, je continuais…
Et puis je me suis souvenue de cette phrase d'une grande philosophe dont je ne connais pas le nom « Je suis pas venue là pour souffrir, OK », et en pensant à tous les magnifiques livres dans ma PAL, je l'ai refermé aux environs de la page 400 (tout de même), pour me plonger dans un autre livre, car, après tout, la lecture doit être un plaisir. Non ?
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C'est une déception totale malgré les critiques littéraires positives !

Je n'ai pas aimé l'histoire qui est beaucoup trop longue, et très peu captivante ; ni les personnages ; ni le fond (car où est la découverte de New York ?). Et le style de l'auteur est d'un prétentieux, sans intérêt.

Je n'ai vraiment rien de plus à dire sur ce roman.
- Lu dans le cadre du prix des lecteurs livres de poche 2018 -
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Une odyssée new-yorkaise est un roman d'apprentissage ; 5 Jeunes gens fraichement diplômés débarquent à New York pleins du désir d'y réaliser leurs rêves. Armés de leurs illusions et de leur indéfectible amitié ils affrontent les méandres de la vraie vie. Et inévitablement, comme toutes les générations avant eux ils connaissent le temps des « illusions perdues » : des projets professionnels avortés, des amours perdues, la maladie, la mort même, enfin tout ce qui est en sorte un passage obligé vers la maturité. le titre veut ancrer le roman sur l'Odyssée d'Ulysse. Ce raccrochage me paraît quelque peu artificiel et les personnages trop caricaturaux ne m'ont pas franchement séduite.
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J ai lu pas mal de critiques pas très positives sur ce livre. Pour ma part, j ai trouvé la première partie très bien. l'histoire d Irene qui lutte contre son cancer, mais surtout l histoire d amitié et de solidarité entre Irène, Sara la femme forte qui prend tout en main, Georges l anxieu et Jacob le trublion sarcastique, et le dernier arrivé dans la bande William l amoureux. La dynamique du texte est bonne, on tourne les pages et on s enfonce dans cette amitié qui prend le pas sur la maladie. Par contre j ai beaucoup moins aimé la deuxième partie, où j ai trouvé beaucoup de lenteur, de longueur. Je n ai pas vraiment compris où l auteur veut nous emmener... Malgré tout un livre plaisant à lire.
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J'ai été assez déçue de ce livre. L'histoire me semblait intéressante mais je suis restée sur ma faim concernant la façon qu'a l'auteur de traiter les événements qu'il décrit. J'ai trouvé les personnages très stéréotypés, presque risibles, les dialogues improbables. Je ne suis pas arrivée à y croire, tout simplement. Ni à leurs relations, ni à leur âge, ni à leurs situations. Les descriptions de ce que vivent les personnages sont ennuyeuses et leur psychologie beaucoup trop peu travaillés : on ne voit aucun des personnages, on n'y croit pas, tout sonne faux. le pitch de base était chouette, le résultat est largement décevant.
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Le titre et le résumé étaient pourtant plein de promesses... mais je n'ai pas accroché !
Il y a beaucoup de détails qui alourdissent la lecture, il y a des longueurs et du « remplissage » et en plus l'histoire est triste.
J'ai peiné à finir ce livre !
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Le titre français est assez loin du titre original qui signifie Pourquoi nous sommes arrivés en ville. New-York reste l'environnement où évolue une bande de copains en mode Friends et How I met your mother, issu des classes favorisées et qui évoluent dans un monde assez superficiel. Ils sont confrontés au cancer d'Irene une des leurs. le style est confus, la structure chaotique et l'intrigue lente. Les allusions aux oeuvres d'Homère sont présentes un peu de manière grossière, sinon des allusions à la mythologie grecque. Peut-être que la superficialité des personnages est voulu dans un monde consumériste. Ils vivent tous dans le paraître, le faire-croire ou le menson où certains cachent leur identité, leurs origines, leur appartement, leur passé ou leur intimité... Je n'ai pas aimé la classification des personnages; l'artiste bi et amatrice de beuh est cancéreuse, le poète est homo et ignoble, les barmens barbus hipsters tatoués homos, les femmes cancérologue iranienne, l'infirmière dominicaine et la pharmacienne tahitienne incompétentes, le copain asiatique au chômage et à famille sectaire, le copain indien homo et hypocrite,une française hideuse et homo et un français pervers et débile comme Hugolin... Seul le couple bien américain en mode puritain s'en sort en mode mariage dans les règles et bonnes professions. C'est mon premier roman lu et édité sous l'ère de Trump et je ne cautionne pas ces messages au 21ème siècle. Ce livre offrait pourtant un vivier qui reste mal ou totalement inexploité.
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C'est malheureusement très très très mauvais, mal écrit et mal traduit. On passe son temps à se demander : pourquoi ces gens-là sont-ils amis ? Pourquoi l'auteur les trouve-t-il intéressant ? Pourquoi font-ils ce qu'ils font ? 4 personnages principaux et la pièce rapportée William dont on ne devine jamais les liens amicaux, l'intérêt existentiel. Divagations futiles, rebondissements improbables (un des personnages travaille sur la carte stellaire mais ne sait pas lire une carte d'orientation sur terre : et ce n'est qu'une des nombreuses aberrations du livre), crispations hystériques, rancoeurs surjouées.... Tout est insupportable et à chaque page on s'écoeure de ce qu'on lit. La traduction est de la même farine : comment diable, au coeur d'un instant émouvant, la traductrice a -t-elle pu introduire le mot "baise-en-ville" ? Sérieusement ? A fuir absolument.
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