Pink Diary, tome 4

Il est bien...

J'adore cette série : Pink Diary c'est frais, sans chichis, pas toujours crédible mais très bien écrit. Les dessins sont très jolis et la lecture se fait dans notre sens de lecture à nous. C'est drôle, on parle d'amour, de chantage, de violence. Et dans ce tome, on parle en plus d'une maladie malheureusement trop bien connue des jeunes filles, pas besoin de dire le nom, à mon avis vous voyez exactement quel est le fléau dont je vous parle.



Les différents personnages sont tous en scène, on apprend à mieux les connaitre, on découvre de plus en plus leurs failles et leurs forces.
On devine de plus en plus les sentiments qui les lient et les liens qui se créent, on commence à deviner ce que les personnages eux-même ne voit pas, on se retrouve dans une situation d'observateur externe, qui voit tout mais qui ne peut rien faire. C'est assez sympa' d'essayer de deviner ce qui va se passer mais bon on ne peut pas agir et c'est assez stressant en soit : des fois on a limites envie de hurler sur les personnages pour qu'ils agissent !



La fin se termine sur une note d'espoir, enfin, je la ressens comme ça... Bien sur des points négatifs sont toujours présents mais leur vie semble s'améliorer un peu. Enfin on espère ! La fin nous laisse dans un doute sentimental assez important : foutu suspense !
Ce quatrième tome de Pink Diary est la suite parfait des trois précédents tomes, je ne peux que vous recommandez cette lecture.
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Comme chacun des tomes, les émotions, conflits, relations sont abordés avec brio. Mais ce qui m'a marquée le plus c'est cette apparition de l'évocation de ma santé mentale dans un manga ! Chapeau à Jenny, je trouve que c'est extrêmement rare de voir cela exprimé dans un manga, avec autant de lucidité et de correspondance à la réalité. En effet, Sachiko souffre d'anorexie mentale. La révélation fait trembler.