Pink Diary, tome 4

Jenny pour ce nouvel opus propose de nous rapprocher de la psychologie de nombreux personnage. Sei reste quelqu'un de secret. Kenji montre sa bienveillance avec ceux qui l'entoure. Kiyoko a décidé de ne plus être une fille qui attend que les garçons prennent les initiatives. Ils se dévoilent pour apprendre à nous les faire apprécier d'autant plus. Même le personnage le plus cruel, Akemi, a une raison d'être devenue une personne détestable. N'oublions pas que les gens font des choix de leurs actions donc on ne peut pas rejeter la faute sur les autres. Surtout que l'histoire se résume au fait que son père avait une maîtresse et que l'enfant n'était pas le centre du monde. Peut-être y aura-t-il un changement de comportement par la suite. On verra. le juste équilibre entre le bien et le mal reste maintenu. Je me doute bien que cela va changer dans le prochain tome car la tornade Akemi va se venger de Tommy et tout le monde va en souffrir. le suspens se résume à comment va-t-elle faire. Et Jenny ouvre la porte sur le sujet de l'anorexie avec Sachiko qui évite de manger. Un trouble qui sera plus abordé par la suite et qui concerne de nombreuses adolescentes.
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Il est bien...

Kiyoko devient de plus en plus forte alors que Tommy s'affaiblis !
Les filles évoluent mieux que les garçons dans ce manga ce qui est très positif.
A partir de ce tome on s'attache vraiment plus au perso. On en déteste, on en préfère, on en oublis, ou on voudrais en oubliai : les effacés à jamais de ce manga.

J'adore cette série : Pink Diary c'est frais, sans chichis, pas toujours crédible mais très bien écrit. Les dessins sont très jolis et la lecture se fait dans notre sens de lecture à nous. C'est drôle, on parle d'amour, de chantage, de violence. Et dans ce tome, on parle en plus d'une maladie malheureusement trop bien connue des jeunes filles, pas besoin de dire le nom, à mon avis vous voyez exactement quel est le fléau dont je vous parle.



Les différents personnages sont tous en scène, on apprend à mieux les connaitre, on découvre de plus en plus leurs failles et leurs forces.
On devine de plus en plus les sentiments qui les lient et les liens qui se créent, on commence à deviner ce que les personnages eux-même ne voit pas, on se retrouve dans une situation d'observateur externe, qui voit tout mais qui ne peut rien faire. C'est assez sympa' d'essayer de deviner ce qui va se passer mais bon on ne peut pas agir et c'est assez stressant en soit : des fois on a limites envie de hurler sur les personnages pour qu'ils agissent !



La fin se termine sur une note d'espoir, enfin, je la ressens comme ça... Bien sur des points négatifs sont toujours présents mais leur vie semble s'améliorer un peu. Enfin on espère ! La fin nous laisse dans un doute sentimental assez important : foutu suspense !
Ce quatrième tome de Pink Diary est la suite parfait des trois précédents tomes, je ne peux que vous recommandez cette lecture.
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L'histoire suit son cours, et le caractère de chacun est poussé à l'extrême.

C'en est parfois trop lourd...

Pourtant, parmi toute cette tension, le personnage de Sophia apporte de la fraîcheur et de la légèreté. Son insouciance fait du bien à lire.

Une histoire qui est toujours intéressante à lire. Et les bulles de colères parfois amusantes.

Comme chacun des tomes, les émotions, conflits, relations sont abordés avec brio. Mais ce qui m'a marquée le plus c'est cette apparition de l'évocation de ma santé mentale dans un manga ! Chapeau à Jenny, je trouve que c'est extrêmement rare de voir cela exprimé dans un manga, avec autant de lucidité et de correspondance à la réalité. En effet, Sachiko souffre d'anorexie mentale. La révélation fait trembler.