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Citations sur Évacuation (15)

Il m’a dit que ce n’était pas si important que ça, d’être compris. Ce qui comptait dans la vie, c’était d’être accepté tel que l’on était. Et d’en faire de même pour les autres. Même si on ne les comprenait pas toujours. Sauf s’ils étaient méchants, a-t-il précisé. Ou vraiment trop cons. Auquel cas, on était exempt.
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Ça ne t’est jamais arrivé, à toi, de faire abstraction de ce qu’il se passe autour ? Comme si tu étais un personnage de Beckett. D’éprouver ce sentiment de dérision. À propos de tout.
Comme si tu étais Molloy.
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Jérusalem est trop exigeante. Trop sainte. Elle t'accapare l'âme. Je ne m'y suis jamais senti vraiment à l'aise. Tel Aviv est bien plus arrangeante. Elle te rassure. C'est le sanctuaire où les Israéliens eux-mêmes trouvent refuge.
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Ça ne t'est jamais arrivé, à toi, de faire abstraction de ce qu'il se passe autour ? D'éprouver ce sentiment de dérision. A propos de tout.
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Tel-Aviv est bien plus arrangeante. Elle te rassure. C'est le sanctuaire où les Israéliens eux-mêmes trouvent refuge. Juifs ou pas. Où les restos sont ouverts tard. Où tu refuses de te définir en fonction d'un conflit.
Les autres s'en chargent à ta place.
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Ce qui comptait dans la vie, c’était d’être accepté tel que l’on était. Et d’en faire de même pour les autres. Même si on ne les comprenait pas toujours. Sauf s’ils étaient méchants, a-t-il précisé. Ou vraiment trop cons. Auquel cas, on était exempt.
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Ça avait l’air de le turlupiner drôlement. D’avoir fauché ce bouquin. Il ne l’avait pourtant jamais rapporté. Mais conservé précieusement comme la marque de son opprobre. Pour se mortifier. Faire pénitence. Et, dans un but d’expiation, il s’était condamné à la lecture perpétuelle de ce beau texte qu’il avait ravi aux lecteurs du quartier.
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Le code de la route ne lui était pas destiné. Ne le concernait pas. Il affichait la même attitude à l’égard de son cancer. Et des missiles. La même conviction qu’il suffisait de s’en taper pour passer au travers.
Il en voulait pour preuve qu’il s’en était toujours sorti. Jusque-là.
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Quand nous sommes sortis de notre tanière pour la première fois, c’est ce qui nous a le plus désolés. Les terrasses vides des bistros. Les pieds de tables enchaînés. Cadenassés. Les chaises empilées. C’était triste à mourir. Tu n’as pas idée. Faut être de la ville, pour ça. Je veux dire pour que ça te consterne à ce point.
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Nous étions contents de retourner à Florentine. Où il n’y a rien à voir. Rien à regretter. Où l’art et la paix sont inscrits sur les murs. Où l’avenir se joue dans des hangars. Où le mot “échec” ne veut rien dire. Un quartier alternatif comme un autre. Ou à peu près. Où les babas sont presque tous d’anciens commandos.
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