On oublie trop souvent à quel point les hommes sont de petites choses douillettes.
Tu pensais avoir le temps, mais le temps qu’on ne prend pas aujourd’hui, jamais on le prendra.
L'amour est un affrontement.
Chaque combattant est libre de choisir ses armes.
Les hommes adorent les poitrines des femmes.
Je les connais, les hommes. Ces mâles dominants. Sûrs d'eux. Grandes gueules. Impressionnants. Oui, ils m'impressionnent, je le confesse. Leur arme à eux, c'est l'arrogance.
Les amis, c'est comme ça, de toute façon. On aimerait bien, mais on ne les voit jamais assez.
Les copains, on ne les voit pas beaucoup plus, mais ils ne sont jamais très loin.
Parfois, tu aimerais que tes amis soient un peu plus des copains.
Et que tes copains se comportent un peu plus en amis.
Je t’aime un petit peu. Et aimer un petit peu, ce n’est pas vraiment aimer, tu es bien d’accord avec moi ? Il faut aimer beaucoup, il faut aimer en grand…
Elle s'agite devant moi, et ça la fait marrer. Et je picole, et je défais cette putain de cravate. Elle est marrante, quand même. Objectivement, elle n'est pas dingue physiquement, mais à cet âge [18 ans] toutes les filles sont attirantes. (…) Je pense à ma femme. Là, si nous n'avions pas divorcé, je serais assis là, tranquillement, avec ma femme. Je me ferais chier, tranquille. Il y a des jours, qu'est-ce que je rêve de me faire chier, tranquille.
Ce n'est jamais simple d'être heureux. Jamais.
Les mères, elles sont comme ça. Elles nous étouffent de leur présence, elles nous empoissonnent du lait de leur affection, et nous autres, mauvais fils, savons être intarissables sur leurs défauts. Mais annoncez-nous leur fin, et c'est tout un monde qui s'écroule.
- Et si je tombe amoureuse ?
- Mais arrête, parle pas de malheur.
Nous sommes des souvenirs parfaits, et je sais qu’aucune lame n’est plus coupante que celle des souvenirs parfaits.