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3,5

sur 260 notes
Ce livre se pose en amont du meurtre, quand l'envie de vengeance prend de plus en plus de place au point de devenir nécessité.
La Douce Douce Vengeance de J.Jonasson est plein d'humour et d' une écriture agréable et légère. On s'attache à la discrète Jenny passionnée de peinture moderne, on decouvre avec Kevin les guerriers massai, on suit l'exentrique entrepreneur Hugo. La rencontre peu probable des trois autour d'une douce envie de vengeance est rocambolesque.
Il est dommage que le début du livre s'articule autour de declinaisons généalogiques ayant pour vocation d'introduire les personnages mais créant de la confusion en égarant le lecteur. Il faut donc se laisser porter vers la suite du récit sans chercher à mémoriser tous les noms.
Ce livre propose un moment agréable et dépaysant qui nous permet aussi de découvrir ou redécouvrir la peintre Irma Stern.
Un sens des valeurs revisité avec humour nous confrontant avec nos propres désirs inavoués. Qui n'a pas joué au jeu d'imaginer des façons légales de se venger? Un livre qui ferait un bon senario de base pour toute l'équipe du realisateur Philippe Lacheau.
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J'ai lu DOUCE, DOUCE VENGEANCE, le dernier roman délicieusement déjanté de l'auteur suédois Jonas Jonasson, dont j'ai lu et adoré tous les livres.
Ce livre m'a été envoyé par @pressesdelacite que je remercie pour l'envoi.
De nouveau, j'ai adoré ce récit, truffé d'humour, de références culturelles, artistiques et historiques.
Nous suivons l'histoire de Kévin, fils de Victor mais avant tout fils adoptif d'un homme médecine Kenyan et totalement moderne, jenny ex- femme du père du fils , un inspecteur de police, et Hugo et son frère, un duo aussi antinomique que solidaire.
Toute une bande de joyeux lurons qu'on a plaisir à suivre dans leur épopée, et qui eux, ont plaisir à nous distiller des notions artistiques et culturelles.
Même si ce roman ci est beaucoup moins basé sur l'histoire et la politique que les précédents, je me suis franchement laissée emportée par l'histoire, par sa moralité : peut on tout se permettre au nom de la vengeance ? Qui gagne à la fin ? Attention au retour de bâton, au coup du sort ou du destin 😉
On tourne rapidement les 450 pages, et on en redemande.
Le prochain se passera t'il au pays du confinement ou sur fond de covid ?
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Comment décrire ce roman en un mot ? C'est simple : loufoque ! En deux mots ? Re-loufoque et barré ! En trois m..., Non, je m'arrête là, vous aurez compris le principe !

Si la thématique principale est axée sur le désir de vengeance, d'autres sujets en grand nombre et surtout très hétéroclites sont abordés.
Alors en voici un aperçu, pêle-mêle : l'expressionnisme, le nationalisme, la xénophobie, le peuple Massaï, le contrôle des naissances, la médecine, les spécificités suédoises, le féminisme, l'art pictural, les parents biologiques et adoptifs, les nouveaux départs dans la vie ou les secondes chances...
Bigre, comment l'auteur parvient-il à cocher toutes ces cases dans un seul et même roman ? Encore une fois, c'est simple. Rappelez-vous de la recette du gloubi-boulga du monstre gentil Casimir : prenez tous les ingrédients stockés dans vos placards (moutarde, confiture, sel, jambon, chocolat...), mélangez-les, touillez fermement, un petit tour au four et c'est prêt ! Maintenant, remplacez les ingrédients par tous les sujets décrits précédemment, mélangez bien, et vous aurez "Douce, douce, vengeance".
Attention, vous risquez une indigestion ! C'est lourd, lourd, lourd...

Trop d'éléments disparates, des enchaînements qui n'ont aucun sens, des aberrations dans les situations, et au final : "même pas drôle". Certes, à chacun ses goûts et son sens de l'humour, mais les miens ne se trouvent assurément pas ici.
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ironie, dérision, raillerie, fantaisie, satire, rocambolesque, absurde, déroutant, loufoque, touchant, naïf, improbable, cultivé... personnages attachants, les bons, les méchants et les autres ; je me suis régalé à lire d'un seul élan, sans me lasser, curieux de voir comment Jonas Jonasson allait s'en sortir ! réjouissant
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Vous souhaitez venger un affront sans vous salir les mains ?
Qui n'en a pas rêvé ?
C'est la nouvelle folie de Hugo Hamelin.
Ex publicitaire qui au sommet de son art, lassé par ce milieu, décide d'opérer un changement radical de carrière.
Pour ce il lui faut des clients riches, puisqu'il vise de s'enrichir.
Mais quand à sa porte se présente un couple atypique, pauvre et avec beaucoup d'ennuis, il va se laisser convaincre de les aider, car il a flairer une belle récompense avec un certain tableau.
Je n'en dirai pas plus.
Ce roman est désopilant, riche en émotions.
Une belle leçon de vie.
Du racisme et de la méchanceté...
Restera t elle impunie?
Les personnages sont distrayants, attachants et sans filtres.
Surtout olé Mbatian guérisseur de son état.
J'ai adoré ce personnage, sans malice, d'une pureté de diamant brut.
Je me suis régalée avec cette histoire.
Une écriture Incisive et plaisante pour ne pas dire addictive.

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C'était drôle, très drôle, anticonformiste, loufoque, barré et – au départ – sans queue ni tête ! Puis tout doucement, les histoires qui semblaient si éloignées les unes des autres ont pris une autre tournure. Et j'étais à fond dans le récit ! Que de péripéties, de twists et de quiproquo. A peine était-on lancé que tout changeait. J'étais assez sûre de la suite puis plus tout. Et au milieu du roman je n'étais pas sûre que la fin allait être un happy end (ce dont j'étais persuadée quelques pages plus tôt, ne me demandez pas pourquoi) tant on a fait des virages à 180° durant ce récit.
Lien : https://austengirlblog.wordp..
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Le ton constamment grinçant, pince-sans-rire, de Jonas Jonasson est toujours aussi efficace. Les changements de points de vue sont faciles à suivre. Par ailleurs l'expression de ceux-ci avec une forme de distance permet de s'attacher aux personnages malgré l'exposition constante de leurs défauts.
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Je n'accroche définitivement pas avec cet auteur. Tout est délirant, loufoque, ça part dans tous les sens.
L'histoire n'est pas crédible, c'est rocambolesque à souhait mais finit toujours bien.
Ça plaît ou ça ne plaît pas, en tout cas moi ça ne me plaît pas.
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Douce, douce vengeance « La vengeance est douce, S.A. » Une société suédoise. Point de départ d'une rencontre improbable et rocambolesque entre Hugo Hamelin, Kevin, Jenny... et Ole Mbatian le jeune, homme médecine kenyan. Au coeur de cette rencontre, Irma Stern (1894-1966), une peintre expressionniste sud-africaine et deux de ses toiles restée dans la famille d'Ole Mbatian.

Ce roman où se mêlent éléments fictifs avec des faits historiques et artistiques réels, nous conduit de la Suède jusqu'au Kenya à la poursuite des deux toiles inestimables, objets de la conception d'une vengeance à l'encontre d'un homme peu recommandable : Victor. Mais bien sûr rien ne va se passer comme prévu.

Pour qui a déjà lu l'un des quatre premiers romans de Jonas Jonasson, on est en terrain connu. Rien n'est prévisible, on est pris par surprise à chaque page, on se régale des insolences de l'auteur dans le déroulé de ses écrits.

Si vous n'avez jamais lu Jonas Jonasson, vous pouvez être très vite décontenancé dès le début du roman : il y est question d'un peintre allemand, Adolf, qui a été connu pour avoir brûlé des livres... et des humains. Si l'on n'est pas averti du style impertinent de l'auteur, ça peut surprendre.

J'ai donc pris un grand plaisir à suivre les péripéties de notre groupe hétérogène jusqu'à l'épilogue jubilatoire.
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Une fois le livre refermé depuis quelques jours, on ne sait plus par quelle suite de péripéties rocambolesques les destins d'un jeune couple, d'un guerrier massaï, d'un marchand d'art rapace, d'un détective qui se relance en entrepreneur de vengeance, d'un policier suédois à la veille de la retraite et de la peintre Irma Stern se retrouvent mêlés mais cela fonctionne. Lecture distrayante, pleine d'humour et sans prise de tête et qui aura eu le mérite de me faire découvrir Irma Stern.
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