Faux coupable

Deux cent pages plaisantes au début, on a l'impression de découvrir un auteur sympa, en tout cas plus sympa que le méchant du livre, un amoureux obsessionnel qui terrorise la fille, forcément très séduisante, d'un professeur d'histoire à l'Université. Tout cela se passant en Nouvelle-Angleterre. Bref le méchant est obsédé par Ashley, rêve de passer sa vie avec elle et la persécute continuellement. Sa famille se demande également comment sortir de ce problème et se débarrasser de ce dangereux prédateur. Au début je me le demandais aussi. Et puis ensuite une autre question est apparue "quand donc va finir ce roman interminable qui a au bas mot 400 pages de trop ?". Moyennant quoi je me suis quand même farci le livre en entier pour en arriver à la conclusion suivante : espèce d'idiot (c'est moi) tu aurais du arrêter dès que cela ne te plaisait plus.
Résumons : un début sympa et puis après 200 pages ont a l'impression que l'auteur n'a plus aucune bonne idée, c'est infiniment délayé. Dialogues poussifs, intrigue sans intérêt. Quand à la fin (sans intérêt aucun à mon goût) je crois que je l'ai déjà oubliée (alors que j'ai fini le livre il y a trois jours), le moment final ayant été télescopé par le plaisir d'en avoir terminé avec ce roman au total vraiment insipide à mon goût.

Ayant apprécié "Une histoire de fou" du même auteur, j'ai commencé ce livre plein d'espoir...et je ne l'ai même pas terminé.
J'avais déjà lu plus de 300 pages et l'action n' avait pas réellement commencé.
Bref, je me suis ennuyée.

Désolée de vous apprendre que c'est mou, gnan-gnan, je me suis ennuyée jusqu'aux 500 pages, il m'en reste 200 JE PEINE !
J'ai du jusqu'à vérifier l'âge de ce roman car il fait très années 80... mais non il est de 2010...
L'histoire aurait pu tenir sur 300 pages à tout casser mais non, l'auteur brode et brode et rabâche inlassablement son leitmotiv sur la famille.
Chiant à mourir, aucune nouveauté, les thrillers des années 2000 se ressemblent tous...