Malgré un résumé, fort alléchant sur la 4eme couverture, j'ai eu très vite l'impression d'être un patient perdu, impatient et éperdu dans une salle d'attente d'un médecin anonyme...
Avec "
L'analyste" en mains, je me suis vite ennuyé, une terreur soudaine puis une lassitude m'envahit puis une citation de
Freud m'est revenu à l'esprit : « On a beau rêver de boissons : quand on a réellement soif, il faut se réveiller pour boire. »
J'ai suivi le conseil de Sigmund et j'ai abrégé la thérapie en prenant la liberté d'arrêter la lecture, ô combien si chère ....
N'est-ce pas
Freud qui a dit : « La liberté individuelle n'est nullement un produit culturel. » ?...
Mais de toute façon : « Quoique vous fassiez, vous ferez mal ! », alors....pas de scrupule.
Je suis sorti prendre l'air, au lieu de m'étendre avec "
L'analyste".....