Quand on est un grand gaillard de Polak, qu'on a combattu pour le titre de champion du monde poids lourds et qu'on a fini au cabanon parce qu'on faisait la bringue à tout va, qu'on buvait trop, qu'on brûlait, la chandelle par tous les bouts, alors il faut aller en douceur, une fois guéri. Mais quand, le jour même, on se fait assommer par un soi-disant rat d'hôtel et qu'on découvre, dans sa salle de bains, le cadavre d'une blonde avec qui on a flirté l'après-midi, on... >Voir plus