Parfaite

Hello You! On connaît tous Joe Goldberg avec l'adaptation du roman par @netflixfr. Mais qu'en est-il du personnage dans le roman? Et bien, croyez moi, il est horrible! Stalker, obsédé, manipulateur adepte du gaslighting. Il pense devoir protèger Beck quoiqu'il en coûte. Et surtout pour lui, il a raison. C'est un grand romantique, ce qu'il fait c'est par amour. Quand Joe aime, il est prêt à tout et notamment espionner pour séduire
Mais soyons honnête, Beck est également toxique, elle ment, elle trompe, et ses amis ne sont pas les plus sympathiques.
Tout ça va pousser Joe au meurtre. Mais est-ce vraiment son premier meurtre ?
Le livre est écrit de son point de vue, psychopathe sympathique mais inquiétant. Son vocabulaire est cru et avec ça, j'ai eu un peu de mal. J'aime le détester. La lecture est fluide et on enchaîne les chapitres qui sont courts et dynamiques. Mais je l'avoue, le côté immoral est rafraîchissant. Joe je t'aime, non je te hais. Je te déteste pour provoqué cette dualité en moi, non je t'aime pour cette dualité.
J'ai apprécié les références littéraires (Joe est libraire!) et musicales distillées tout le long du roman.
Le second tome "Les corps cachés" est dans la PAL.
Un Conseil fuyez les hommes qui portent des casquettes 😅😝😈☠️.

Personnellement, j'ai connu la série You avant le livre.
On retrouve bien le Joe obsessionnel. Sa façon de penser est brutale, ses mots durs. Évidemment, il ne faut pas être dérangé par ça pendant sa lecture.
Étrangement, j'ai moins accroché avec le roman qu'avec la série. Peut-être parce que je connaissais déjà l'univers et que la série est plutôt fidèle au livre. Donc on connaît déjà plus ou moins tout. Même s'il y a quelques infos ajoutées ou supprimées.

Joe est libraire, lorsque Beck passe la porte de son magasin il décide qu'elle sera à lui, quelqu'en soit le prix.

Mon avis: J'ai lu ce livre car j'ai vu la première saison de la série Netflix You. C'est pas du tout mon genre de livre. J'ai d'ailleurs mis beaucoup de temps à lire les 500 pages.
Je me suis vite plongé dans l'univers de Joe mais pas assez de dialogue à mon goût, des passages trop long pour moi.
Il se lit facilement mais ça ne bouge pas assez pour moi….
Ça m'a fait plaisir de sortir de ma zone de confort quand même.

J'avais adoré la série, je devais lire le livre. Obligée. Malheureusement, la compassion qu'on éprouve pour Penn Badgley à l'écran ne se retrouve pas sur le papier. Joe n'est pas le bon samaritain de « You » mais d'emblée un psychopathe sans vergogne, et le roman se traîne en longueur pendant des centaines de pages. On s'ennuie, on pense à ce qu'on lira une fois qu'on sera venu à bout de ce pavé et soudain.. la fin. Une fin qui, de façon surprenante, m'a emportée. Les mots se réveillent, le roman est sauvé.


En ce qui concerne l'écriture, elle est saccadée, incisive, dérangeant. Idéale pour le personnage de Joe. Rien à dire de ce côté là.

Au final, c'est donc avec une étrange sensation que je ressors de ma lecture. Tour à tour, je me suis ennuyée, puis régalée. Les pages tantôt s'alourdissent, tandis s'allègent, se tournent à toute vitesse. Inégal, ce roman est la preuve qu'une bonne fin peut, dans certains cas, sauver les meubles.
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j'ai vu la série sur Netflix, en lisant le résumé de ce livre, je m'aperçois qu'il s'agit de l'histoire de you que je vais beaucoup aimé Et vu que j'aime comparer les livres et leur adaptation, j'ai sauté sur l'occasion.
Dans cette histoire on retrouve Joe, un libraire qui tombe sous le charme de Beck, une étudiante.
Je pense que mon avis sur le roman ne pourra pas être très objectif, car j'ai eu la série dans la tête du début à la fin.
Je vais mettre dans la t'être de ce psychopathe et suivre le fil de ses pensées malsaines pour Beck. Il pense comme si il s'adresser à elle en permanence, tout au long du livre, on a le point de vue unique de ce personnage déséquilibré.
C'est pensées sont très émouvant tellement c'était excessif et de mesurer la plupart du temps, dans les livres, Joe est d'ailleurs beaucoup plus grossiste dans l'adaptation cinématographique.
J'adorais regarder les différences entre le roman et la série car même si l'adaptation reste assez fidèle, il y a quelques distinction. (il y a certaines scènes que l'on ne voit pas en images)
Je peux rajouter que l'écriture est très fluide, contemporaine et prenante, pour une fois je ne regrette pas d'avoir découvert le roman après l'adaptation.

Joe Goldberg tombe amoureux, très amoureux : il est libraire, Beck (Guenievre) est entrée dans la librairie de Mr Mooney où il travaille, elle a choisi un livre avec goût, elle aime la littérature, elle est douce, jolie comme un sucrerie : Joe est tombé amoureux terriblement, définitivement. Pour conquérir Beck, il va tranquillement la suivre partout dans sa vie, sur internet (Beck est une fille de sa génération : ma vie, mon portable, no limit entre les deux) jusqu'à la recroiser, et faire tout ce qu'il faut pour être l'homme de sa vie, ce qui comprend entre autre : éliminer l'actuel petit copain, Benji (richissime play boy, drogué par tous les bouts), faire mourir sa BFF (best friend forever), la venimeuse, Peach Salinger . Mais, Beck se révèle une enfant gâtée, fille de parents divorcés (avec un gros souci relationnel avec son père), incapable de vraiment se concentrer sur ses études de littérature car suivant toujours la vie très vaine de ses richissimes amies Chana, Lynn et entre soirées hype, régime vegan, chou kale, graines germées ... Et l'amour de Joe ressemble beaucoup à une obsession, un désir de possession, la volonté de remodeler la personne à l'idée qu'on se fait d'elle, mais jusqu'où ? car avant, Beck, il y a eu Candace, chanteuse d'un groupe rock, qui a disparu en Europe après sa rupture avec Joe : le chagrin sûrement ...
Ce n'est pas un grand livre, mais ça se lit très bien et personnellement, j'ai fini par détester Beck, qui a un tel potentiel personnel et ne l'utilise pas ...

J'ai un avis plutôt mitigé sur cette lecture mais dans l'ensemble j'ai quand même aimé.
En fait ce qui m'a posé un gros problème est à la fois un point positif et à la fois un point négatif. En effet, la série est un véritable copié collé du livre, et ça fait réellement du bien de voir qu'un livre peut être respecté à la perfection et à la virgule près mais en même temps, j'ai eu l'impression de revoir la série et ça m'a un peu ennuyée.
Ce qui m'a aussi empêché d'aimer ce livre à sa juste valeur c'est que l'auteure écrit son roman qu'avec un seul point de vue, ce qui ferme tout le côté ouverture sur les autres personnages qui existe dans la série m. En effet dans parfaite on se concentre seulement sur Joe, ce qui fait ressortir son côté malsain et son attitude de psychopathe. On entre réellement dans sa tête et le fait de ne pas avoir d'ouverture sur les autres personnages ajouté un poid sur notre façon de lire. C'était vraiment très dur psychologiquement comme on n'a pas de pause pour se reposer et quasiment toutes les 10 pages on entend Joe qui explique que ce n'est jamais de sa faute.
De plus je ne me suis attachée à aucun personnage, je ne me suis reconnue en aucun d'entre eux, j'ai eu envie de les secouer très souvent et je ne comprenais pas toujours leur réaction mais pour le coup ça n'a pas gênée ma lecture plus que ça parce que je ne m'attendais pas spécialement m'attacher à eux puisque je les connaissais déjà un peu via la série.

L'intrigue mis en place est plutôt original, c'était la première fois que je lisais un livre dans lequel on était autant dans le cerveau de quelqu'un, on reagaut et pense à travers lui.

Cependant la plume de l'auteur est ultra addictif, on termine un chapitre et on veut la suite tout de suite. Elle fait ressortir tous les côtés malsains des personnages à la perfection et decrit toutes les émotions à la perfection.

En bref pour moi c'est une lecture mitigée mais les points négatifs apportaient quand même quelque chose de positif. J'ai préféré la série mais je ne m'arreterais pas au premier tome et lirai la suite sans problème.

J'ai pris ce livre sans préméditation à la bibliothèque car j'ai adoré la série You, son adaptation. Lemon June avait également lu le livre il y a quelques temps et il me semble qu'elle avait apprécié sa lecture, ce pourquoi je me suis laissée tenter. Cela tombait bien puisqu'il rentre dans le challenge #theblacknovember.


Dès les premières pages, ce qui dépayse et met mal à l'aise, c'est d'être dans la tête de Joe, un pervers psychopathe, grand manipulateur. L'auteure ne nous épargne rien, aucune pensée sadique ou déplacée, bien au contraire, toutes les pensées du personnage sont exposées ce qui peut s'avérer drôle, dérangeant ou tout simplement terrifiant.
Le lecteur pénètre l'univers de ce libraire fou et très intelligent. Les références à sa culture littéraire sont savoureuses, son raffinement de façade contrastant avec sa nature obscure et ses pensées animales.


Le personnage de Beck est assez exaspérant et stéréotypé, c'est une jeune femme perdue qui sombre dans une libido sordide pour combler le vide laissé par l'absence de son père.
Elle est très superficielle et incroyablement égocentrique. A la fois victime et bourreau, elle se fait manipuler mais sait aussi très bien mentir.


Les sujets abordés par Caroline Kepnes sont profondément d'actualité et invitent à l'introspection. Il y est notamment question du danger des réseaux sociaux ( exposition de sa vie privée, mensonges, troubles de la personnalité ), des relations toxiques en amour ou en amitié, des différences de classes sociales.
L'écriture de l'auteure est moderne, il y a beaucoup de passages crus voire vulgaires car nous sommes mis dans la peau d'un pervers. Cela peut en gêner certains je pense.
La série est une excellente adaptation, elle a pris quelques libertés mais reste assez fidèle à l'oeuvre d'origine. La perversion de Joe y est un peu édulcoré et certains événements un peu mieux amenés ou développés.


Un livre dérangeant, un thriller original.

Un autre thriller bien noté qui ne me rejoins pas ! C'est long et répétitif. Ça tourne en rond et tout ça pour une finale prévisible. La seule envie que j'avais de tourner les pages était d'en finir. Rien de captivant. On s'entend, c'est pas mauvais, mais ce n'est pas un thriller à mettre en haut de votre liste.

Parfaite est un livre qui se passe dans la tête du héros. Il tombe amoureux et c'est banal. Mais petit à petit, on se dit que finalement, c'est pas très banal. Il n'agit pas vraiment de manière normale… Jusqu'à ce qu'il commette un crime et là… On éprouve un peu d'empathie pour cette pauvre fille, objet de son obsession.

C'était pas mal, mais comme on est avec le héros dans sa tête, il y a beaucoup de répétition. Il parle à l'élue, lui dit ce qu'il aimerait, ce qu'il va lui faire, son prénom, encore et encore. J'ai été lassée par cet aspect. L'autre point noir de ce livre est que notre petit héros est très vulgaire. Ca ne sert pas le propos, ça ne rend pas le personnage pire ou plus détestable, c'est gratuit.

Ce qui était très agréable par contre, ce sont toutes les références littéraires qui pullulent tout au long du récit. Il parle de beaucoup d'auteurs, de livres, fait des blagues sur leur contenus. Bon il travaille dans une librairie, donc c'est facile. Mais il y a tout de même quelques références à Stephen King qui sont un peu cachées.

En bref, je l'ai lu jusqu'au bout, et je passerai sans doute un dimanche à regarder la série, mais ce livre n'a pas déclenché de passion pour moi.