Je vois une femme qui est calme parce qu’elle ne sait pas ce que la vie lui réserve. À l’époque, je n’étais pas encore cette femme détestée. J’étais une artiste avec des idées neuves.
Fabrique un masque.
Polis-le.
Lave-le comme tu laverais ton visage.
Présente-le quand quelqu'un veut t'embrasser.
Il m'a semblé que la trajectoire d'Ono nous disait quelque chose de tout à fait captivant concernant la place des femmes, pas tant parce que l'Histoire a cherché à la silencier que parce qu'elle n'a jamais cessé d'être elle-même, quoi qu'il lui en ait coûté.