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A côté de son inoubliable série autour de Bernie Gunther, policier et détective du temps du nazisme, Philip Kerr avait livré quelques romans à suspense, plus ou moins réussis. Ce thriller « Impact » entre clairement dans la deuxième catégorie.

Début des années soixante, un tueur à gage est engagé pour trouver un moyen de liquider Fidel Castro, ce révolutionnaire cubain qui a le grand tort pour les Américains de s'être attaqué à leurs intérêts sur l'île. Particulièrement à l'industrie du jeu, propriété exclusive de la mafia américaine.

A priori, un thème prenant, mais le personnage central est un peu fade, l'intrigue longuette et un peu fouillie, et surtout la façon de conter cette histoire est datée. Kerr s'est placé dans la continuité des oeuvres de le Carré, en les mâtinant (très peu) de Ian Fleming. Mais le mélange ne prend pas.

On persiste à se demander à la fin de la lecture si ce roman serait sorti en langue française si Kerr n'avait pas connu un certain succès avec Gunther. Bon, il ne reste plus qu'à attendre la sortie posthume du dernier Bernie pour se consoler...
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Tom Jefferson, un tueur à gages réputé, est contacté par un proche de la CIA et de la mafia (qui ont des intérêts conjoints) pour lui demander d'étudier la faisabilité d'un assassinat de Fidel Castro.
Nous sommes quelques jours avant l'élection de JFK et la femme de Tom, Mary, travaille pour sa campagne.
Je n'en dirai pas plus pour ne pas dévoiler les événements qui vont faire qui vont faire dérailler ces plans bien huilés ....

Dans ce roman, Philip Kerr restitue très bien le contexte historique et politique de l'époque. On n'est pourtant pas dans l'Allemagne de Bernie Gunther, mais on retrouve tout le talent de l'auteur pour nous plonger dans des événements historiques de manière très réaliste.
On retrouve aussi le style plein d'intelligence et d'ironie de Philip Kerr, son talent pour raconter des histoires complexes et dresser le portrait de personnages confrontés à des choix difficiles dans des contextes historiques de basculements majeurs.
Bref, les fans de la trilogie berlinoise peuvent se tourner vers Impact les yeux fermés, ils se retrouveront en terrain connu et se régaleront avec une intrigue bien construite qui se termine de manière assez bluffante!
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Quand je lis les autres critiques, je les trouve assez sévères. Personnellement, je trouve cet "Impact" très réussi. L'idée est assez géniale, celle d'un tueur professionnel américain, au moment de l'arrivée de Castro, puis de JFK au pouvoir. Comme pour les autres romans de Philipp Kerr, la fiction rejoint la réalité et mélange les héros livresques des acteurs historiques.

L'idée est très bonne, très originale, celle du tueur qui croyant écouter Marilyn au lit avec JFK, reconnait la voix de sa propre femme sur la bande magnétique. Espions, tueurs professionnels, communistes, castristes, anti castristes, tous ceux là se mélangent allègrement dans les pages.

J'ai l'impression qu'il y a largement plus de 10 ans entre la sortie du livre en anglais et la traduction dans notre belle langue. Sans doute la reconnaissance tardive de l'auteur en France en est-elle la raison.

Donc n'hésitez pas et plongez vous dans le langage cru de l'auteur et de ce roman mi policier mi espionnage. Vous ne le regretterez pas. Sauf si vous cherchiez Bernie !!!
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Impact.

A la question, Kerr, mon cher romancier écossais peut-il être chiant ? La réponse est oui. En même temps le sujet de l'assassinat de JF Kennedy , voire de celui de Fidel Castro sont des options un peu casse gueule.

L'un est mort et l'autre s'accroche. Et si l'on a la confirmation que Jack K . était un obsédé de la quéquette et surtout un guignol mis en place par son père Joe aidé de la mafia, on en apprend très peu sur Fidel …ce qui est injuste quelque part. Non ?

Donc Kerr s'embarque pour plus de 500 pages sur la corde raide et c'est le lecteur qui décroche parce que l'action n'existe pas vraiment, bloquée qu'elle est par la réalité historique.

Il me semble que sur le sujet Stephen King s'en est mieux sorti. En fait j'aurais aimé une vérité iconoclaste qui bousculât les idées reçues. Mais là, Kerr, fait sa mijaurée, même s'il tente de nous entraîner dans le lit de Marilyn.

Exit l'humour habituel. Faut dire qu'un tueur professionnel américain est rarement drôle.
Passons.
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Pour le résumé de cette histoire de Philip Kerr, je vous renvoie à la 4e de couverture. Il n'y a a pas grand chose à ajouter sans déflorer le sujet.

Moi, qui suis fou des aventures de Bernie Gunther, personnage indissociable de l'oeuvre de Philip Kerr, faute de mieux, je me suis rabattu sur Impact... qui ne m'a pas du tout convaincu. Il y manque tout ce qui fait le charme des aventures de Bernie : un humour macho (Ouille ! Je vois des dames qui dardent leurs regards noirs et leurs parapluies dans ma direction !) , des intrigues à la limite du vraisemblable tant Kerr a peaufiné le contexte historique, un rythme soutenu...
Je me suis franchement ennuyé au cours de cette lecture attendant un dénouement qui sera jugé original par certains mais qui ne réussit pas à sauver l'ensemble du roman.
A oublier !
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C'est l'histoire d'un tueur à gages très performant fort sollicité tant par la CIA que par la mafia et/ou d'autres Etats.
Il (la mafia avec en arrière plan la CIA) lui est demandé d'éliminer Fidel Castro, et lors des préparatifs, un mafioso lui propose d'écouter les ébats de Kennedy nouvellement élu président avec Marilyn Monroe ... or l'enregistrement écouté lui fait découvrir que sa femme s'envoie aussi en l'air avec JFK.
Il disparaît des radars, sa femme est retrouvée morte, et la mafia veut absolument le retrouver, d'abord pour l'empêcher de se venger, ensuite pour récupérer l'avance de fonds faite pour l'assassinat de Castro.

C'est bien monté, bien rythmé, et la fin est très surprenante, tellement surprenante qu'on pourrait se dire qu'il ne s'agit pas d'une fiction mais bien de la réalité historique ...

J'ai donc passé un bon moment avec des faits qui se sont déroulés il y a une soixantaine d'années ...
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En l’attente de la parution prochaine d’un nouvel épisode de la série des aventures de Bernie Gunther, je croyais me consoler avec ce roman paru en 1999 sous le titre original « The Shot ». Même si le style et l'humour de l'auteur sont là, je reste sur ma faim ...

L’intrigue se situe dans l’Amérique des années 60, juste après l’élection de Jack Kennedy et avant la cérémonie d’investiture. Le héros s’est donné pour pseudonyme Tom Jefferson, mais il en utilise d’autres, tous en lien avec la liste des anciens présidents des Etats-Unis. Ancien militaire multi-décoré, ex-prisonnier en Corée, c’est un excellent tireur, un sniper méthodique, organisé, un professionnel calme et pas démonstratif. Terriblement sympathique … sauf que c’est un tueur à gages, sans états d’âme. Efficace quelles que soient les circonstances et pour cela, grassement payé.

Services secrets, CIA, FBI, gangsters de la mafia, KGB, clique des cubains anticastristes grenouillent dans une atmosphère anti-communiste exacerbée par la récente prise de pouvoir à La Havane de Fidel Castro, la perspective imminente d‘une invasion de l’ile par des troupes stipendiée par les Américains, et avant la crise des fusées qui mettra le monde au bord d’un conflit nucléaire.

On a peine à suivre les fils emmêlés des organismes officiels et officieux tramant de terribles complots, et baignant dans une corruption générale. Après le projet d’abattre Castro, un contrat d'un genre étonnant est placé sur le jeune et fringuant Président, qui se joue des services de sécurité pour se livrer à des parties de jambes en l’air compulsives …

Le roman est long (plus de 500 pages), compliqué, foisonnant, plein de détails d’ambiance particulièrement réalistes avec la panoplie des voitures américaines et des bars à filles entre New York, Miami, Chicago, Boston … L’histoire comporte des rebondissements spectaculaires mais s’étire tout de même un peu trop …. Vivement un bon nouvel épisode impliquant notre Bernie préféré !

Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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Au fil du temps et des événements il était plus urgent de tuer JFK que de se débarrasser de Castro. en impliquant un tueur à gages très bien travaillé et fort crédible. Ce roman de Kerr dévoile ce réalisme politique qui manque de romantisme, c'est sur, mais dont l'efficacité est incontestable.
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Décidément, je ne suis pas une fana de tous les livres de Phillip Kerr! En dehors de sa série avec Bernie Gunther, ses autres romans m'ont rarement plu. Celui ci ne fait pas exception. Il faut dire, à sa décharge, que l'époque du roman, les années 60, ne sont pas non plus une époque qui m'interpelle.
Donc, ont retrouve dans ce plus récent roman de Kerr, Tom Jefferson, un tueur à gages mandaté pour tuer Fidel Castro. Mais, après l'écoute d'une bande où Jack Kennedy couche avec une femme qui est nulle autre que la femme de Tom, celui ci déserte le Mexique et retrouve sa femme au États-Unis, morte. Il disparait. Mènera-t-il sa mission première à terme où il s'attaquera finalement au Président?
Mon manque de temps et d'intérêt m'ont fait mettre de coté une première fois ce roman. Presque dix ans plus tard, je me suis replongée dans ce roman pour un club de lecture sur les uchronies. C'est vrai que Impact en est une car nous sommes bien plongée dans L Histoire mais pas tout a fait la vrai. Disons que l'action du roman pourrait être ce qui a amener l'auteur de l'assasinat de JFK a passer a l'acte.
Comme je ne suis vraiment pas fan d'uchonie, de me replonger dans un roman qui m'avait déjà donner du fil à retordre, n'a pas été une partie de plaisir! J'ai butée au même endroit que la première fois mais cette fois ci, j'avais plus de patience car je me suis rendue jusqu'au bout. J'en ai retirée du plaisir? Pas du tout!!
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Que voilà un titre bien balancé. Paf, impact, voix off métallique, on y est.
Mais on y arrive tout doucement.

Comme le montre la couverture, nous revoilà avec l'affaire du siècle, l'assassinat de Kennedy dont je suis férue. Cette fois c'est Monsieur Remède un vieux pote, qui a kennedifié ses lectures et m'a prêté celui-là dont je n'avais pas entendu parler.

A propos du style, l'auteur n'est pas à l'aise à l'aise dans le registre sentimental. Ni les descriptions de ce qu'on peut échanger dans un couple, ni les réactions quand on peut légitimement suffoquer de l'injustice des destins, ne colle vraiment. Peut-être a-t-il voulu faire sec comme un coup de trique, ce qui est assez réussi dans le déroulement de l'histoire par ailleurs, mais là, ya pêché du contraire de la gourmandise, pêché d'austérité dirait-on ? Ce qui enlève de la chair à l'histoire.
L'auteur a aussi pêché par name dropping. On a droit à tous les noms et années des modèles de voiture, des morceaux de jazz, des émissions télé, des bars, resto et scènes, et puis tous les itinéraires des-dites voitures, le nom de chaque rue de chaque boulevard. Ça peut être intéressant quand on se fait une balade dans Miami en se prenant pour un mafieux ou un tueur des années 60, il n'y a plus qu'à suivre le guide - idem pour Cuba, et un peu pou New York. Ou quand on veut se faire une petite discothèque de référence, ou si on est fan de belles bagnoles… mais ça reste un peu exagéré.

Par contre, section compliment, on assiste à une très belle plongée dans le Milieu, la mafia, le Outfit, la pègre, la Mob comme on dit en anglais (que le traduction I.A. appelle "la foule", ce qui donne des trucs assez marrants quand on a la flemme de lire des textes en anglais).
Nous sommes au début avant que Cuba ne soit repris par Castro. Et avant que le jeune Kennedy dit "Jack le Matelas", l'homme qui couche comme il respire, ne soit élu président. En gros, on embarque vers 1958, et on se poursuit jusqu'à vous verrez bien.

Et il s'en passe, des choses. Á Cuba oui, et en répercussion, dans le milieu du Milieu. Les Santo Trafficante, Johnny Rosselli, les Sam "Momo" Giancana ou les Meyer Lanski sont là avec leurs petits tracas. Il manque Carlos Marcello et Jimmy Hoffa pour compléter le tableau, évoqués seulement, mais sinon, ils sont venus ils sont tous là, même ceux du sud de l'Italie.
Et ils sont bien embêtés, les pôvres : Fidel leur a piqué leur pognon. Oh c'est triste, ils avaient tellement investi dans ce paradis des casinos, de la prostitution, des chantages et de la corruption du temps de Battista le dictateur cubain, et paf : Fidel leur fait un enfant dans le dos. En colle même certains en prison, après leur avoir promis un petit temps pour se refaire.
Alors comme ça bêtement, ils lui en veulent.
Et en plus, déjà que leur petit coeur est chaviré par la trahison de Fidel le mal nommé, voilà pas que les fils Kennedy leur font des croche-pattes trop trop injustes : leur père, l'ultra-filou Joe Kennedy, avait arrosé ces messieurs pour qu'ils fassent gagner John Fitzgerald - dans l'Illinois notamment. Genre si le fiston est élu, il leur en saura gré et les laissera tranquilles. Or, ce têtu de Bobby le très catholique, sans doute pas au courant des petits arrangements de son père, s'acharne à les faire tomber façon Al Capone, c'est à dire par la bande, les transactions les pots-de-vin les impôts les détournements… Il n'y va pas de main morte, ne lâche rien, se fait plein de petits amis paaaas du tout rancuniers, juste un peu susceptibles, vous connaissez les Italiens…
A côté de ça, du côté de la CIA, on n'apprécie guère Castro non plus. On aiguise les baïonnettes, on affûte les haches, on nettoie les canons des fusils, on engage des troupes de Cubains lésés par le changement de régime et on les entraine, bref, ça se prépare sec pour reprendre au méchant communiste ce qu'il a osé voler aux riches Américains qui aimaient s'amuser sous les tropiques. La chasse aux sorcières, aux cocos, est encore dans tous les esprits.
Petite fistouille du candidat Kennedy durant sa campagne contre Nixon le Républicain, qui est encore pour quelques mois le vice-président d'Eisenhower : Jack le Matelas sait que Ike le prèz et Dickie son vice préparent des attaques contre Castro et s'apprêtent à envahir l'île pour "délivrer" le peuple cubain (ne riez pas, Putìn a fait la même erreur, pensant que ses soldats de la délivration allaient être accueillis à bras ouverts). Sauf que évidement, ils doivent garder le secret là-dessus, pour faire la surprise à Fidel Castro. Si Nixon est élu, ça sera fait dans les semaines qui suivront. Sachant ça, ce filou de Kennedy déclare très ouvertement que "contrairement aux Républicains de Eisenhower et Nixon qui ne lèvent pas le petit doigt contre Castro, nous allons intervenir sévèrement à Cuba" - et Nixon ne pouvait pas démentir… Bon c'est pas dans le livre, j'étale ma science mais j'adore ce petit coup de billard très mignon.

Voilà, on louvoie dans cette ambiance dans le livre, les interactions entre groupes d'influence, les ricanements de Castro, les saloperies de la CIA et les pratiques poétiques de la Mob. En suivant Tom, un tueur à gage laconique.

A peu près tout est vrai, même le gars qui avait rempli sa voiture de dynamite. Même le produit hallucinatoire conçu par la CIA. What else. Les frasques sexuelles de Jack, et les tracas qu'il cause ainsi à ses gardes du corps, c'est peu de le dire. Les écoutes du FBI bien entendu, mais pas que : Marilyn pour ne parler que d'elle, était écoutée par une quantité gastronomique de gens, y compris son ex et toujours amoureux Jo di Maggio. Son appartement était une usine à micros. D'ailleurs vous ne devinerez jamais qui avait aussi posé des micros chez elle... Allez, réponse en fin de texte, oui on joue on est comme ça on est fou.
Tout est vrai sauf, bien sûr, le personnage de Tom (et celui de Nimmo), ainsi que le déroulement de l'intrigue propre au roman. Quoi que, on n'en sait rien, ça s'est peut-être passé…

Parce que si j'ai des réserves sur le style et l'analyse psychologique des sentiments amoureux, et le name dropping,
je n'en ai pas sur ce scénario que je n'avais pas vu venir. Chapeau Mister Kerr, fine idée.

Et j'ai beaucoup apprécié le quotidien de nos mafieux, qui passent presque pour des êtres humains. On prend le thé avec eux, on fait preuve d'humour, et de tempérance parfois, et même d'intelligence, car on réfléchit très vite aux conséquences de certains actes et on s'organise en conséquence.
Mais on découvre leurs moments de doute et même de trouille, quand les choses vous dépassent.
Puis de gourmandise, quand les choses se tassent…
Ah vraiment, si rien ne semble sauver la CIA (à mes yeux en tous cas), côté mafieux, ma foi, voilà une belle dédiabolisation…

Tiens, dernier tout petit détail, je ramène ma fraise avec mon master en kennedophilie, entrevoyant ainsi une suite à ce livre… Tom notre camarade le tueur, change de voiture et achète une Rambler break (Station wagon Rambler, en anglais), on doit être en 1960.
C'est trois ans plus tard, le 22 novembre 1963, que JFK est tué par un, deux, trois tireurs sur Dealey Plaza, Dallas. Et quelques témoins ce jour-là ont aperçu, après les tirs, Oswald et/ou quelques hommes armés, se glissant dans une Station wagon Rambler qui démarre promptement. Dans le livre rien de tout ça n'est évoqué, c'est juste une voiture que le gars achète, la marque n'est citée qu'une seule fois, et on n'en parle plus.
Mais l'auteur semble tellement renseigné sur les voitures, notamment, qu'il n'a peut-être pas choisi la Rambler break par hasard. Hé hé… C'est même, en une simple marque de voiture citée, déjà une suite qu'il n'a même plus besoin d'écrire. Trop fort.

Quant à la réponse de l'énigme des écoutes : c'est Marilyn elle-même qui s'espionnait, voulant sans doute garder des traces de ses discussions et autres bons moments partagés, ou bien, comme elle se gavait de médicaments, voulait-elle réécouter ce qu'elle avait bien pu faire la veille…
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