Citations sur Dark Legacy, tome 2 : Préjudice (24)
-Tu veux tout. Tu me veux. Tu le veux. Ça ne marchera pas. Tu ne le vois pas? Quelqu’un va être blessé. Peut-être nous tous.
Je vois qu’il veut l’embrasser. Il est proche, si proche.
Mais il pose un baiser dans son cou à la place, puis plus bas, au creux de sa clavicule, sur sa poitrine, entre ses seins, à l’ovale de son nombril. Il est à genoux, les mains sur ses cuisses, et se penche pour lécher sa vulve, la goûtant alors qu’elle ferme les yeux, se laissant aller en arrière.
Je sais jusque dans mes os que ça ne finira pas bien.
Que cette élue Willow nous détruira tous les deux, mon frère et moi!
Quoi qu’il arrive, nous désirons ces montres de Scafoni.
Comment baiser peut-il être moins intime ? Je veux dire, je comprends qu’il soit en pleine confusion. Tu m’offres et tu me récupères. Tu me redonnes, puis tu me reprends. Et je ne sais même pas ce que tu veux. Ce que tu fais par obligation.
J’aime les avoir tous les deux. Oui. Mais en même temps que Sebastian me partage avec son frère, ça laisse un vide entre nous. Ou une barrière. Et ça n’a aucun sens pour moi. C’est ce que je pensais avant. Ce que j’ai ressenti. Quand nous étions à Vérone et qu’il m’a parlé comme il l’a fait. Quand il m’a fait l’amour. Je ne pouvais pas accepter cela, parce que ce que je ressentais, ce que je ressens, je ne peux pas le ressentir pour lui.
Grégory la maintient ouverte et regarde son sexe disparaître en elle, alors qu’elle s’étire pour le recevoir tout entier. Il va et vient comme ça pendant quelques minutes, avec douceur et profondément, avant de glisser une main vers le bas. Elle soupire quand il touche son clitoris et le caresse, tout en la baisant de plus belle.
Je regarde son visage alors qu’il le frotte entre ses replis, sur son clitoris, sa vulve, ses fesses. Je vois le moment où il s’enfonce en elle et je dois réunir toutes mes forces pour ne pas saisir mon propre sexe et me branler en regardant mon frère baiser mon élue Willow.
La robe est somptueuse, très longue, avec un bustier blanc, une jupe fluide et une longue fente qui monte un peu plus haut que mi-cuisse. Sur le corsage et une partie de la jupe, il y a des papillons dans diverses nuances de turquoise et de bleu marine, certains avec de grandes ailes ouvertes, d’autres au repos, tous magnifiques.
Ce n’est pas important, cette baise. Il me revendique, me prend là où son frère vient de me prendre, là où il vient de me pénétrer. Il me baise en profondeur, lentement. Quand il jouit, je touche son visage et me contente de l’observer. Je ne peux pas détourner les yeux et je ne jouis pas. Je le contemple en silence. Ce que je ressens est bizarre. Ça n’a aucun sens.