" La plupart des récits commencent in media res et, d'ailleurs, s'achèveraient de même si, assez joliment, un titre ne venait apporter une sorte de touche finale - comme Debussy plaçait les siens après ses Préludes. (...) Le lecteur est lancé dans des épisodes qui sont comme des bribes de romans policiers, de livres érotiques, de romans d'amour et d'aventures qui font penser aux restes d'une bibliothèque saccagée. " (BCLF, janvier 1997.)