A comme Association, Tome 1 : La pâle lumière des ténèbres

Encore une série pour laquelle j'ai fait aveuglément confiance à l'engouement général. À force de lire A comme Association par-ci, A comme Association par-là, je me suis dit, bon sang, faut vraiment que je tente le coup, d'autant plus que mes premières rencontres avec Erik L'Homme et Pierre Bottero, qui se sont associés pour écrire cette série, ont été plutôt réussies.

Ben là, bon… comment dire ? Déjà, le début n'est pas très prometteur. Jasper, le jeune héros de ce tome, est plutôt exaspérant avec son humour très… heu… comment qu'on dit déjà ? Relou ? Ouais, c'est ça. Bon, c'est un garçon plutôt sympa, mais le genre ado loser qui en fait un peu trop, c'est vite barbant (comme dans la vrai vie, oui oui).

On nage en plein dans le monde de l'ésotérisme, de la magie, de la sorcellerie, des créatures surnaturelles, on a même droit à tous les détails techniques sur la façon de créer un sort. C'est intéressant, mais trop de détails tuent le détail, et on se croirait presque dans le grimoire des soeurs Halliwell (avec jeux de mots moisis en prime).

Pour ce qui est de l'histoire, elle devient à peu près intéressante autour de la centième page (sur 150 pages et des brouettes). Avant ça, il se passe des choses, quand même, mais bon, j'ai eu du mal à m'y intéresser vraiment et à me laisser prendre par les aventures de Jasper. Bon, d'accord, c'est le début d'une série, faut poser les bases, présenter la situation, les personnages, tout ça. Bon allez, juste pour voir, je tenterai la lecture du second tome (narré cette fois par Ombe, la “collègue” canon de Jasper, mais heu… pas tout de suite (j'ai poney).
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Incroyablement cliché, surtout pour les fans de surnaturel. On n'accroche pas du tout au héros qui fait tout pour être détester à se moquer des autres alors qu'il l'avoue, il ne fait pas mieux. Je n'ai jamais compris l'intérêt de suivre les aventures d'un mec qui se cache dans le vestiaire des filles. Avec une bonne grosse dose d'injustice de tout côté qu'il ne dénonce pas car... rien en fait. Je suis franchement déçue après les critiques favorables de cette saga, car on dirait franchement une parodie où l'humour tombe toujours à plat.

A comme Association est une saga de littérature jeunesse coécrite par Pierre Bottero et Erik L'Homme, qui a signé ce premier tome, La Pâle Lumière des Ténèbres. On y suit Jasper, un adolescent qui mène en apparence une vie plus ou moins normale, mais qui est en réalité un Paranormal, un garçon pratiquant la magie et travaillant pour le compte de la mystérieuse Association…

En lisant ce roman, ne vous attendez pas à autre chose qu'à une trèèès longue introduction à l'univers. Il est très court, ce qui ne laisse pas beaucoup de temps pour planter le décor et en plus développer une intrigue vraiment palpitante.

En revanche, attendez-vous à de l'humour. Beaucoup d'humour. Mais pas forcément à rire… Disons qu'il faut aimer, or c'est typiquement le genre que, pour ma part, je ne trouve pas drôle du tout, celui où le narrateur fait non seulement des « blagues » et des jeux de mots à répétition, mais en plus, il les martèle en les soulignant à maintes reprises. La subtilité n'est pas au rendez-vous, dans cette oeuvre.

Même l'action, quand elle se produit enfin, ne m'a pas tenue en haleine. La faute à un personnage auquel je ne me suis pas du tout attachée, et donc pour la vie duquel je n'avais aucune crainte. Pire, nous avons ici l'exemple même du « tocard » qui s'en sort malgré tout, et qui ne le mérite pas.

Parce que oui, on peut résumer la péripétie majeure de ce tome par « J'ai oublié ». J'ai oublié chez moi le document super important en lequel consiste ma mission, j'ai oublié un truc qui aurait pu m'être sacrément utile, j'ai oublié de me servir de la magie alors que je suis à deux doigts de me faire tuer, et j'ai même oublié le sortilège que j'ai préparé et pour lequel j'ai oublié tout le reste.

Difficile d'être happé quand on passe son temps à lever les yeux au ciel, d'autant plus que l'on sait pertinemment que le héros va s'en sortir, en dépit de toutes les embûches qu'il sème lui-même en travers de sa route.

Qui plus est, l'auteur nous le présente un peu à la manière d'un marginal (un joueur de cornemuse tout vêtu de noir), mais là encore, cela ne prend pas. En ce qui me concerne, j'ai surtout eu l'impression d'avoir à faire à un pitre toujours prompt à se donner en spectacle. Pour l'affinité, on repassera vraiment.

Je n'ai donc pas accroché à ce premier tome, mais je vais tout de même lire la suite, d'une part parce que je les ai tous, de l'autre parce que Jasper n'est pas le narrateur du roman suivant, ce qui m'encourage à lui accorder une chance.
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La pâle lumière des ténèbres est un vrai livre de magie : quelques incantations en elfique et nous obtenons…… du vent !

Jasper semble être un ado classique : élève moyen, membre d'un groupe de rock, bien élevé, riche mais livré à lui-même par des parents accaparés par leur propre vie. S'il s'habille tout en noir, il n'est toutefois ni gothique, ni metaleux. le jeune bien, quoi ! Et pourtant, il a secret : il pratique la magie, ce qui lui vaut d'être recruté par l'Association, une société qui gère les problèmes entre les normaux et les anormaux, comprendre les humains et les créatures surnaturelles. Mais avant de devenir un agent à part entière, il doit faire ses preuves en tant que stagiaire.

Ma chronique va être courte. En effet, comment écrire sur rien ! La seule chose à retenir, ce sont les clichés : pour dire qu'un ado n'est pas perturbé, il faut préciser qu'il ni gothique, ni metalleux, comme si ces étiquettes équivalaient à une tare ! Les surnaturels sont appelés "anormaux", ce qui s'apparente à une ségrégation raciale, même si ici nous avons affaire avec des êtres surnaturels. Et j'en passe. Quant à l'histoire, ça part dans tous les sens pour n'aboutir à rien. J'ai même que c'était à suivre dans le volume deux. Mais jusqu'au chapitre quatre, il n'est absolument pas question des enquêtes non résolus dans ce premier opus. Il parait que les auteurs ont intégré de nombreux clins d'oeil relatif à leurs autres séries Ne les connaissant pas, je n'ai pas eu le plaisir de partir à la chasse aux indices J'espère que c'est au moins un intérêt pour ce roman Personnellement, je n'en vois pas d'autre. A conseiller éventuellement à ceux qui veulent apprendre à parler le elfique !!!

Je suis un peu décontenancée face à toutes ces critiques dithyrambiques... J'ai trouvé ce (tout) petit roman totalement inconsistant... et les traits d'humour vraiment trop faciles... bref aussitôt lu, aussitôt oublié. Et pourtant je suis d'habitude très bon public ! mais je vais persévérer avec le second tome, à voir...

Comment commencer cette chronique ? Je me pose la question. Je me pose un millier de questions en fait à cause de ce livre, et vous allez vite comprendre que ce n'est pas l'intrigue qui a éveillé en moi tant d'interrogations. Aujourd'hui je vous livre mon avis sur le premier tome de A Comme Association : La Pâle Lumière des Ténèbres, et autant dire que ça ne sera pas chose facile…

Matériel

Je l'ai déjà dit, quand j'achète un poche, je m'attendais vraiment à peu d'choses. Force est de constater que ce petit bouquin relève le niveau des couverture hideuses que se farcissent habituellement les petits formats. La teinte de bleu/violet est très belle, et l'effet ombre me plaît aussi beaucoup. J'adore la façon dont le titre est intégré, et même si la police du sous-titre jure un peu, on va dire que ça passe malgré tout. La solidité du bouquin est officiellement prouvée, vu le nombre de fois où je l'ai envoyé cogner un mur pendant ma lecture (on y viendra). Même si j'ai réussi à le cacher sur les photos, je dois avouer que le petit bandeau blanc a un peu souffert par contre, mais ça ne fait pas vraiment parti du livre, alors je ne pénaliserais pas ce dernier pour ça ! 3/3

L'histoire

Existe-t-il un superlatif assez puissant pour exprimer à quel point je me suis ennuyé en lisant ce livre ? Je n'pense pas. Oui, il y a une histoire, une espèce d'enquête, mais qu'es-ce que c'est peu intéressant ! La logique de l'univers développé fait aussi froid dans le dos tant elle est vide de sens. J'ai bien aimé le système de magie, mais tout le reste m'a agacé au plus haut point. Les histoires autour de l'Association, autour de Jasper aussi, tout m'a blasé. On a des rebondissements, mais ils ne sont absolument pas surprenants. Non pas qu'ils soient prévisibles, on peut leur laisser leur côté inattendu, c'est sûr, mais ils n'ont provoqué aucune réaction de ma part. Ah si, au bout d'un moment, à chaque fois qu'il se passait quelque chose, je soupirais en levant les yeux au ciel… mais étais-ce la réaction qu'était censée provoquer le livre ? J'ose espérer que non. L'intrigue manque atrocement d'ambition pour moi, et c'est ce qui fait que ça ne décolle JAMAIS. Ce livre est aussi plat qu'une limande (ça clash ici, oui oui). 1/6

Personnages

Encore une fois, existe-t-il un superlatif pour exprimer la force avec laquelle Jasper m'a donné envie de sauter par la fenêtre ? Et pas pour chasser le vampire, soyons clairs ! Entre humour hyper lourdingue et fausse maladresse, Jasper réussit à combiner un nombre impressionnant de clichés du héros bêbête de base en sa petite personne. J'avais l'impression que ce personnage était le petit délire des écrivains. du genre, ils se sont dit « on va faire le type le plus insupportable possible, et on va en faire le narrateur lol » et ça a donné Jasper. Les personnages secondaires sont hyper plats et rarement travaillés. Seul Ombe a su retenir mon attention, mais ses apparitions restent trop rares pour sauver les meubles… Ma note peut paraître dure, mais je suis généreux, pour Ombe. 1,5/5

Écriture

Sujet complexe. L'écriture en elle-même n'est pas mauvaise. Les descriptions sont bonnes, et les explications sur le monde sont livrés avec une véritable clarté… mais ! L'humour… comment dire. Je crois que dire que c'était lourd, ce serait insulté le mot « lourd ». Les vannes à trois sous, ça va deux secondes, mais quand c'est à tout les paragraphes, ça rend malade. Je ne plaisante pas (lol…), le narrateur enchaîne les réflexions débiles plus vite que son ombre. C'est un peu le Lucky Luke de l'humour de merde en fait. Combien de fois j'ai jeté le livre à cause d'une de ces répliques ? Autre truc agaçant, les parenthèses parasites. Si y a bien un truc dont j'abuse moi-même, mais que je déteste lire chez les autres (ça s'appelle la mauvaise foi, l'hypocrisie, etc.. je sais) c'est un millier de parenthèses qui n'ont aucune raison d'être. Ce n'est pas tout noir, bien sûr. Malgré un narrateur abominable, le livre reste facile à lire… voilà, c'est tout. 3/6

CONCLUSION

J'ai rarement autant été ennuyé par la lecture d'un bouquin. Surtout quand on sait à quel point il est populaire sur le reste de la blogo (on peut pas tout le temps être d'accord ^^'). L'histoire ne m'a pas fait vibrer, le narrateur m'a irrité, et l'humour… voilà voilà quoi. 8,5/20 !
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Lu hier soir. Je ne l'ai pas trouvé aussi passionnant que ce a quoi je m'attendais. Je me suis un peu ennuyé au debut, la fin est plus accrocheuse mais trop tard. le perso de Jasper est -sympa sans plus-, j'aime le coté maladroit decalé avec le coté "dark" d'apparence. le fait qu'il essaie toujours de se donner une certaine contenance, un certain charisme et que ca tombe toujours a l'eau. Mais alors son humour a deux balles est vraiment TROP LOURD!!! Une ou deux fois ca va mais une fausse blague a chaque page c'est lassant, j'ai trouvé que ca gachait le tout au final... Ceci dit ce n'est que le premier tome d'une saga et ils sont tres courts comme livres donc c'est peut-etre le temps de "poser les bases". Bref, je l'ai trouvé -sympa sans plus-, je ne doute pas que ca puisse plaire au public visé mais tout le long j'ai eu cette impression qu' il manquait un petit je ne sais quoi pour etre vraiment passionnant!! Passons au 2...

Je n'ai pas trop accroché à ce livre. Ce qui m'a laissée perplexe c'est l'irréalité des situations (même si c'est un livre fait d'imaginaire), ça m'a un peu dérangée que le héros, qui se décrit lui-même comme un gringalet gaffeur, arrive à battre et à surmonter des ennemis et des situations qui mettraient en difficulté James Bond lui-même.

Si je trouve le 2ème tome de cette série à la bibliothèque je l'emprunterai, sinon j'en resterai là.
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Même si j'apprécie énormément cet auteur et que je trouve le concept sympa, j'ai été un peu déçue par ce premier tome. En résumé j'ai eu l'impression que c'était assez superficiel, l'action est riche mais très peu exploitée, il n'y a pas beaucoup de descriptions, certains détails ne sont pas assez "polis", j'ai aimé le personnage de Jasper mais j'ai été un peu gênée par le manque de profondeur qui me le rendait difficilement imaginable. J'ai un peu peur de ressentir la même chose avec le tome 2, même s'il a été écrit par Bottero...