AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,68

sur 85 notes
5
0 avis
4
6 avis
3
6 avis
2
1 avis
1
0 avis
J'ai la poisse littéraire en ce moment ! J'ai enchainé les déceptions et les lectures qui font mal aux neurones. Je me suis donc tournée vers une valeur sûre dans l'espoir de ne pas me prendre la tête et de rire. J'ai donc choisi Lansdale et son célèbre duo Hap et Léonard. Vous savez le blanc hétéro démocrate qui a un coeur d'artichaut et le noir homo républicain qui a un tatou de compagnie ? Voilà ces deux-là ! Je les adore ils me font rire et mènent toujours des enquêtes complètement foldingues. En plus sous couverts de ne pas se prendre au sérieux il y de jolis pics qui fusent sur la société de consommation, l'hypocrisie de notre monde, la société américaine… bref ça détend sans être dénué de sens.

Je vous l'accorde ils ne font jamais dans la dentelle mais là j'ai trouvé que l'auteur y était allé un peu fort sur le langage fleuri et les scènes de sexe dans tous les sens. Bon ce n'est pas du porno non plus mais il a un peu forcé la dose. C'est un peu cru par apport à d'habitude. J'aurais pu passer l'éponge sur ce problème de dosage si l'histoire n'avait pas eu du mal à décoller. Comme d'habitude Hap se bagarre (tiens tout seul pour une fois) mais pour une fois avoir joué les chevaliers servants lui a réussi. Pas pour longtemps… comme d'habitude nos deux comparses vont, grâce à leurs grandes gueules et leurs manières de rustres, se mettre dans le pétrin. Mais tous ces rebondissements et ces histoires dans l'histoire ont fait que la première partie ne m'a pas convaincue même si la deuxième était un peu plus palpitante.

Malgré tout j'ai beaucoup aimé le personnage de Brett loin des clichés sur les fragiles demoiselles ainsi que la manière dont évoluent les personnages de Hap et Léonard. Et si j'ai moins rie que d'habitude j'ai quand même aimé quelques répliques bien senties et quelques passages rocambolesques. Et puis sur le fond j'apprécie toujours cet auteur pour son absence totale de politiquement correct.

Un petit coup de mou dont je ne vous tiendrez pas rigueur monsieur Lansdale compte tenu de la qualité des autres aventures, mais j'ai hâte de découvrir ce qui va arriver prochainement à mes deux potes !
Commenter  J’apprécie          5226
Si je vous dis sombrero, mezcal, soleil de la mort qui tue ?
Comment ? Londres ?
Arf, pas loin mais ce sera pour une autre fois.
Avis de gros temps sur le Mexique !
Aïe!aïe!aïe!aïe! Caramba!

Leonard à la colle avec John, Hap avec Brett, côté vie privée, c'est la mélodie du bonheur.
De plus, Hap vient de tirer une carte chance et voir ainsi son compte en ruine crédité de 100000$, niveau flouze, tout baigne.
Non, c'est au rayon emmerdes que ça pêche. Pas l'ombre d'une baston à se mettre sous la pogne, pas le moindre sifflement de balle pour vous caresser les cages à miel dès potron minet.
Qu'à cela ne tienne, le Mexique, destination détente et découverte habilement choisie de nos deux compères, devrait y pourvoir pour les quelques décennies à venir.

Des fois ça veut et pis des fois non.
On tendrait ici clairement vers un p'tit non négatif.
Non pas que ce Lansdale soit imbuvable, l'auteur étant allergique à cet état de fait, mais ressentir un Tsunami annoncé comme une douce brisette caressante n'est pas pour aider à vendre le circuit touristique.

Le problème, un départ et une arrivée canon.
Entre les deux, comme un énorme trou d'air qui dure au point de s'incruster chez vous et passer pour votre nouveau poteau.

Les dialogues, toujours aussi corrosifs, aident cependant à ingurgiter la pilule.
Leonard, Hap et leur bande de potes qui ferait passer les Expendables pour une joyeuse troupe de ballerines anémiques, assurent le show final.
Mais le compte n'y ait pas.
Malgré la découverte de Marteau-piqueur, vrai salopard prenant régulièrement votre crâne pour une tête-de-clou qu'il enfonce allègrement tout en sirotant sa tequila, je reste sur ma faim, une fois n'est pas coutume avec cet auteur qui se maintient toutefois largement au-dessus de la mêlée.

Trop de mou dans la corde à noeuds.
Un opus en deçà du niveau habituel et c'est la franchise Collins/Pine qui chute vertigineusement en passant d'une note globale de 18 à 17,5.
Devra se reprendre au cinquième trimestre !
Commenter  J’apprécie          399
« Ça caille sa race hein… »

Je n'ai pas retrouvé mon zizi ce matin, tout planqué qu'il était, voulait pas se bander la virilité, c'est quand j'ai ouvert les volets que c'est parti en couille, il a dit : « Moi je me casse, ça se fera sans moi… »

Bouquin commencé en Avril, sur les plages de "Playa del Carmen", et ouais, je me faisais bronzer sur le sable fin des plages du Mexique, transat à l'air, complètement dans l'ambiance, mais pas concentré… Ma nana s'étant émancipée d'une manière d'enculée, impossible de me foutre dans l'ambiance… Bon c'était aseptisé là bas, mais sympa, belles plongées et un putain, de requin bouledogue croisé à 200 m des côtes mais à 20 m de profondeur, pépère et un peu timide…

Fin janvier j'ai enfin terminé ce bouquin, et j'ai galéré, j'aime pourtant nos deux anti héros au coeur beauf, d'une vulgarité succulente…Mais là on tombe dans la surenchère de l'emmerdement avec un grand A comme Engleterre… les mecs collectionnent les grosses galères, et au final tu tires la langue tellement c'est tiré par le cul de la fille du pêcheur qui se sont foutus dans une merde improbable…

Putain mais ça caille, je me réchauffe pas, je ne suis pas frileux de nature, mais fumer engendre des déconvenues, comme se geler son petit cul à la chaleur hivernale… Pis faut s'habiller chaudement si tu ne veux attraper la mort, et moi j'ai juste un sweat à l'allure racailleux, capuche gangsta sur la calvitie pas assumée, clope au bec, je me cancérise, le regard noir pour faire peur au silence qui m'entoure…

Pourtant j'avais lancé une campagne fumette : « Qui veut fumer avec moi ? Qui veut fumer avec moi ? »

Mon patron m'a regardé, je l'ai regardé, il n'a pas sourit, j'ai baissé ma tête de gansta en cancérise, et j'ai filé fumer ma clope seul tout avec bite et mon briquet, enfin ma bite quand à elle s'est travestie pour l'occasion de ce froid de canard…

Bon Léonard est toujours aussi noir et pédé, ça me plait bien d'enfoncer la morale puritaine, un pays capable d'élire la plus grosse boutade du siècle, quand tu te revois devant ton poste de télé il y a quelques mois en arrière, les yeux hallucinés devant autant de conneries, que ton sourire restait coincé devant ce clown grotesque, à la réussite surprenante… T'y croyais pas hein, personne n'y croyait et pourtant ils l'ont fait, alors je crois que c'est bien de bousculer par la littérature ou le cinéma les codes religieux qui gangrènent les mentalités d'idées à la con...moi plus socialiste que con, bah oui hein, quand tu penches à gauche, t'as le savoir, tout le monde le sait, t'es le winner bobo decalo qui sait tout, les autres on s'en branle… Alors quand tu vois en France, une manif contre l'IVG, t'aurais bien envie de leur faire bouffer de l'embryon, criant au meurtre, revendiquant leur bouffonnerie d'emmerdeur, car dieu créateur de la misère humaine condamne cette infamie...

Ouias ouais, bah moi je me souviens que Dieu y voulait pas de môme, et qu'il a un peu pété un câble quand Eve a croqué dans le pêché originel de sa mère la pute… Alors sa mère la pute ne vise personne, dieu étant le premier machin dans l'univers, et de « sur croix » masculin, cela va de soit, il n'avait pas de maman, à moins que, mais en fait c'est qui a crée dieu ? parce que bon, lui il a crée tout plein de truc, comme la branlette, mais personne n'a cherché à savoir de quel trou noir il venait…

Enfin bref je m'égare, vulgaire et de gauche vite fait, juste pour me sentir supérieur, je conseille les bouquins de Lansdale, parce que l'on s'y marre, parce que c'est vulgaire et divin...

A plus les copains
Commenter  J’apprécie          344
Putain qu'ça fait du bien !

Un bail que je n'étais pas reparti faire un tour au Texas chez mes deux potes Hap et Leonard.

Quand je suis arrivé, Hap venait de sauver la vie d'une gosse qui s'était fait salement tabasser et amocher par un malade. Elle en a même perdu un oeil. Terrible. le hasard a voulu que la môme soit la fille du propriétaire de l'usine de poulet dans laquelle il bosse. le gars, tellement heureux que sa fille ait survécu, a offert 100 000 dollars à Hap en signe de sa reconnaissance.

Hap a d'abord refusé. Pas son style d'accepter du pognon comme ça. Pis, finalement, il s'est ravisé. Après tout, pourquoi refuser ? Et puis, je crois qu'il avait besoin d'oublier sa rupture avec Brett. Alors  il a décidé de nous offrir un petit voyage.

Du coup, nous voilà partis tous les trois pour une croisière direction le Mexique. Mais alors, comment vous dire, pas le genre La Croisière s'amuse, plutôt la croisière sanglante !

Déjà, les choses ont mal commencé sur le bateau, pas vraiment à la hauteur de nos espérances, et à terre ça s'est pas arrangé. Hap a trouvé le moyen de se dégoter un joli petit lot. Autant elle avait un joli petit cul, autant c'était un vrai nid à emmerdes. Après la croisière, la galère !

Quand on s'est fait attaquer par une bande de tarés, j'ai bien cru qu'on allait y rester. Un truc de malades, de vrais tueurs qui vous dézinguent la tête et réfléchissent après. J'avais l'impression d'être dans un Tarantino, gare aux éclaboussures ! Plus d'une fois, j'ai failli faire dans mon froc. Heureusement Hap et Leonard, en baston comme en amitié, ils assurent !

Bon, je ne peux pas tout vous raconter mais sachez que si  j'ai bien flippé, je me suis aussi bien marré, ils ont toujours de ces conneries à sortir ces deux-là !

Ah, j'm'en souviendrais de cette escapade au Mexique ! Putain qu'c'était bon !
Lien : http://bouquins-de-poches-en..
Commenter  J’apprécie          284
Après avoir enchaîné plusieurs lectures assez sombres, j'avais envie d'un peu de légèreté. Et quoi de mieux qu'une aventure de Pine et Collins pour se marrer un coup ?!

Si ce "Tsunami mexicain" démarre sur les chapeaux de roues avec une baston saignante, la suite de cette nouvelle aventure ronronne un peu. L'intrigue n'est pas vraiment captivante et on ne peut pas dire qu'elle soit bien menée. le récit traîne en longueur et l'aspect policier du roman ne présente pas un grand intérêt. En fait, je n'ai guère été étonnée de découvrir, à la fin de l'ouvrage, que Lansdale avait repris certains éléments d'une nouvelle pour composer ce roman. Cela se ressent clairement dans la façon dont l'intrigue est menée (une succession de situations reliées entre elles de façon parfois un peu forcée) et dans le rythme du récit, assez plan-plan, ce qui est un comble quand on sait de quoi est capable Lansdale.

Malgré cette grosse faiblesse narrative, "Tsunami mexicain" reste une lecture plaisante. Hap et Leonard sont toujours Hap et Leonard et c'est un plaisir de les retrouver. C'est un peu comme prendre des nouvelles de vieux potes qu'on a pas vu depuis un bail. Et Lansdale excelle toujours autant dans l'art du dialogue et le sens de la formule. Ça chambre à tout va, les bons mots s'enchaînent.
De plus, Lansdale mitonne encore une fois une galerie de personnages secondaires aux petits oignons.

Grâce aux dialogues percutants et aux personnages bien dessinés, on ne s'ennuie pas, on rit souvent. Et c'est bien ce que j'étais venue chercher, un moment de poilade avec de vieux amis. "Tsunami mexicain" est loin des meilleurs épisodes de la série Pine et Collins, avec son intrigue faiblarde et sans surprise, il sera vite oublié, mais il m'a tout de même permis de passer un bon moment. C'est déjà pas si mal.

Mise à jour relecture décembre 2023 :
Lors de ma 1ère lecture, ce tome m'avait un brin déçu. Depuis quelques mois, je relis toute la série, dans l'ordre cette fois, et en arrivant à ce tome j'étais forcément pas trop emballée vu qu'il ne m'avait pas laissée un super souvenir. Et bien, je dois dire que je revois ce "Tsunami mexicain" à la hausse. Mes impressions mitigées au sujet de l'aspect policier n'ont pas changé, je trouve toujours l'intrigue pas vraiment réussie, trop fouillis, trop alambiquée inutilement. Mais les dialogues m'ont vraiment régalée. Je ne les avais pas suffisamment savouré lors de ma précédente lecture, là j'ai vraiment kiffé. Certains passages sont vraiment désopilants et provoquent de francs éclats de rire. Une très bonne relecture qui me fait donc rajouter une étoile à ma note.
Commenter  J’apprécie          260
C'est encore sur un combat épique que s'ouvre cette nouvelle aventure d'Hap Collins et Leonard Pine. Sauf que cette fois, ce n'est pas à un écureuil qu'a affaire Hap, mais à un type bourré de drogue et proche de l'invulnérabilité. de ce combat, Hap ressort avec l'occasion de prendre quelques vacances et décide partir avec son pote Leonard pour une croisière dans le golfe du Mexique. Mais, bien entendu, la grande gueule de Leonard leur attire quelques inimitiés et, par rebond, les deux compères finissent par échouer dans un patelin mexicain où, une fois de plus, ils attirent les problèmes.

On avait souvenir, quelques années après une première lecture, d'un épisode décevant. Un constat que vient confirmer en partie cette deuxième lecture. de fait, Tsunami mexicain commence plutôt bien. Certes, on n'est pas franchement surpris par ce qui se passe, mais on apprécie de retrouver les deux héros de Joe Lansdale et leurs amis ainsi que le plume ironique et crue de l'auteur :

« -Tu m'as manqué, dis-je.
-T'es sûr que c'est pas ce que j'ai entre les jambes qui t'as manqué ?
Brett était comme ça, vulgaire jusqu'au bout des ongles. Avoir jadis été sacrée Miss Patate Douce de son lycée, à Gilmer, ne lui était pas monté à la tête. »

Pour reprendre une comparaison éculée mais qui veut bien dire ce que l'on ressent, lire une nouvelle aventure d'Hap et Leonard, c'est un peu comme enfiler une bonne vieille paire de pantoufles. C'est confortable, pas forcément très beau, mais on y est bien. En tout cas jusqu'à la fin de la croisière catastrophique des deux Texans.
Après quelques épisodes rocambolesques, Joe Lansdale semble assez vite un peu perdu. Et l'on a l'impression qu'il fait trainer certaines situations en longueur, en laisse tomber d'autres et, surtout, ne sait pas toujours où il va. Il en ressort une suite de scènes intéressantes prises à part mais dont les liens semblent parfois artificiels. Tant et si bien que, plus on avance dans le roman, plus le plaisir s'émousse. Certes, on rigole toujours aux dialogues cyniques et grossiers des personnages, aux descriptions imagées, mais on peine a s'intéresser au fond de l'intrigue, trop étiré, haché… manquant singulièrement d'épaisseur.

Tsunami mexicain apparaît finalement comme le gros creux, le coup de mou, dans les aventures d'Hap et Leonard et l'on ne peut s'étonner de constater qu'après cela, la Série Noire ait cessé de publier Lansdale même si l'on est en droit de le regretter. Un volume à réserver aux inconditionnels.

Lien : http://www.encoredunoir.com/..
Commenter  J’apprécie          110
Qu'il fait bon de retrouver de vieux amis ! Si, si, je vous assure, il est agréable de retrouver Hap et Leonard, et leur capacité à se retrouver dans des situations totalement inimaginables. Toute personne partant en croisière en revient – eux aussi, mais de manière très particulière, après moults bagarres, coups de machettes, et autres blessures qui furent soignées à la dure. Hap rencontra aussi une femme fatale, une femme qui se retrouve dans une position impossible, parce qu'elle ne savait pas trop ce qu'elle voulait faire dans la vie, parce qu'elle n'était pas allée au bout des choses qu'elle avait commencées, parce qu'elle a joué double jeu aussi. Oui, Leonard avait vu plus clair dans son jeu que Hap mais Leonard ne se laisse pas éblouir par les femmes, et si cela devait arriver, j'en serai la première catastrophée : Leonard est unique, qu'il conserve sa singularité et son humour.

Alors oui, Hap et Leonard auraient espéré faire des pauses dans cette affaire, pour ne pas dire la laisser derrière eux, notamment quand ils sont revenus aux Etats-Unis. Hap s'est mis en ménage avec Brett, infirmière de son état qui ne mâche pas ce qu'elle a à dire, et Leonard est retourné avec John – jusqu'à ce que le Mexique vienne les rattraper. Ce n'est pas que les deux amis vont prendre leur temps, c'est plutôt qu'ils vont se faire aider, par Hanson, par Jim Bob, par tous ceux qui veulent que justice soit faite. Enfin… la justice, ce n'est pas vraiment possible, sauf à la rendre eux-mêmes. Ils se gardent bien de juger les autres, ce qui ne veut pas dire que le bien ou le mal les indiffère. Il est des personnes qui ont eu des raisons de faire tel ou tel métier, de choisir tel ou tel moyen pour gagner de l'argent, il est des compromissions, des petites lâchetés quotidiennes. Seulement, Hap n'est pas le genre à laisser faire, si laisser faire, c'est être d'accord, par omission, avec les abus que l'on voit. Il est d'autres choses avec lesquelles il n'est pas d'accord, et Leonard non plus, seulement, ils n'ont plus vraiment la main sur la dernière partie de ce roman noir – jusqu'à un certain point. Hap est partisan d'aller au plus simple, au plus sûr, tant que l'on obtient un résultat. D'autres veulent faire des coups d'éclats, veulent que tout se sache, or le corps même de l'intrigue prouve que parler, bavarder est tout le contraire d'agir – à croire que certains ne savent pas tirer les leçons de ce qu'ils ont vécu. D'autres ont la naïveté de préférer l'argent à … et bien à tout. Pour reprendre une formule bien connue, on n'emporte pas l'argent dans la tombe.
Tsunami mexicain est une intrigue mouvementée, sanglante, violente, où la corruption règne, où la justice ne sera rendue qu'au péril de la vie. Autant dire que nos deux héros ne sont pas rendus. Mais, au moins, ils ne savent pas encore que le prochain volet de leurs aventures leur fera rencontrer Vanilla Ride.
Commenter  J’apprécie          40
j'avais adoré "les marécages " de cet auteur du coup, j'ai voulu en lire un autre, c'est très différent à ce que je m'attendais, j'ai tout de même bien aimé ce polar noir.
Commenter  J’apprécie          40
Parce qu'il sauve la fille du patron de l'usine de poulets, dans laquelle il travaille comme gardien, des coups d'un psychopathe, Hap Collins se retrouve subitement détenteur d'un chèque de 100 000 dollars et d'un mois de vacances. C'est l'occasion rêvée pour embarquer son pote Leonard Pine dans une croisière sur le golfe du Mexique et se la couler douce. Mais on ne refait pas Hap et Leonard, et c'est dès l'appareillage que les embrouilles commencent. Quant à la première escale, elle devient aussi la dernière puisque les deux amis se retrouvent coincés dans un trou perdu et dangereux dans lequel ils vont bien vite se sentir obligés de faire le ménage...

Cinquième aventure en France de Hap Collins et Leonard Pine, Tsunami mexicain se pose comme un divertissement pur et dur. On en retiendra l'humour décapant et le rythme effréné. Pour cet opus particulier, on regrettera par contre le manque de renouvellement de Joe R. LANSDALE dans le développement de ses intrigues et peut-être aussi la mise en retrait de Leonard par rapport à Hap. En d'autres termes on est ici en présence du moins bon roman de la série, cet avis mitigé ne devant pas faire oublier que cela demeure d'une lecture très agréable.
Commenter  J’apprécie          30
C'est le premier livre de Lansdale que je lis et je suis un peu déçu. Les aventures de Hap et Léonard ne m'ont pas captivé...
Commenter  J’apprécie          10




Lecteurs (181) Voir plus



Quiz Voir plus

Titres de la série 'Hap Collins & Leonard Pine' de Joe R. Lansdale

le 1e, Savage Season (1990), est paru en France en 2014 sous le titre :

Les Mécanos de la Lune
Les Mécanos de Vénus
Les Mécanos d'Uranus
Les Mécanos de la Terre

8 questions
28 lecteurs ont répondu
Thème : Joe R. LansdaleCréer un quiz sur ce livre

{* *}