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Citations sur Moura (56)

Quand on a peur, quand on a mal, on n'ennuie pas les gens. On cache sa peine. On la tait. On l'enfonce en soi.
p. 377
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La première haïssait la seconde, qui n'adressait pas la parole à la troisième. Comment les remplacer toutes, sans pour autant se brouiller avec aucune ?
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Finies les barricades, oui. Mais aussi les bals et les raouts. Adieu le faste, les fleurs et les violons. Sur toutes les promenades qui bordaient la Neva, plus de défilés d'élégantes dans leurs landaus.
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Et que le temps passe ! Et que la vie est courte ! Profitez-en, ma chérie, profitez de votre jeunesse tant qu'elle dure. Goûtez-en chaque instant. Et gardez-en précieusement le souvenir. C'est tout ce qui nous restera à nous, les femmes comme il faut, dans nos vieux jours : le souvenir… Le souvenir du bonheur. Le souvenir de l'amour. Le souvenir d'une heure, juste d'une heure, de passion…
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Le malheur demeure un pain dur et solitaire qui se bouffe dur et solitaire jusqu'à la dernière miette.
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Il y a un sain côté "chacun pour soi" dans la peine, on ne peut pas s'en débarrasser sur son voisin.
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Elle était une aristocrate. Elle aurait peut-être pu être une communiste. Elle n'aurait jamais pu être une bourgeoise.
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A dater du 31 août 1914, Sankt-Petersburg ne s'appelerait plus Saint-Pétersbourg, mais Petrograd.
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...cet homme doué d'une curiosité, d'une intelligence et d'une énergie sans égale, ne savait ni se taire, ni écouter, ni s'arrêter, ni attendre. Et son impatience, doublée de son manque de tact, le perdrait.
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De son vrai nom Alexeï Maximovitch Pechkov, il était né à Nijni-Novgorod, d'un père tué par le choléra quand il avait trois ans. Son grand-père le battait. Après la mort de sa mère, il avait dû prendre la fuite et gagner sa vie à douze ans. Tour à tour apprenti boulanger, garçon de magasin, débardeur, clochard, vagabond, il avait vécu sa jeunesse dans les bas-fonds. Et ce pseudonyme de Gorki -Amer- qu'il avait choisi à l'âge de vingt-quatre ans pour signer ses premiers textes, disait clairement sa colère et sa détermination à dénoncer d' amères vérités sur les injustices et la brutalité de la vie en Russie. Six ans plus tard, en 1898, il publiait Croqis et Récits, le recueil qui le rendrait célèbre. Et depuis, il ne cessait plus d'écrire. Le triomphe de sa pièce Les Bas-Fonds, puis la parution de La Mère en feuilleton dans une revue new-yorkaise en 1906, l'avait propulsé sur la scène internationale. Nouveauté du sujet, nouveauté de la forme, nouveauté du regard: on comparait aujourd'hui son genie à celui de Tolstoï. Les deux hommes s'étaient bien connus. L'un et l'autre comprenaient la littérature comme un acte politique qui pouvait changer le monde.

La determination de sortir les livres des bibliothèques de la classe privilégiée et d'en faire un bien commun à la portée du plus grand nombre, participait de cette croyance
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